Romain Taofifenua Origine – Le nouveau second cordeur de Toulon après le départ de Paul Willemse est Romain Taofifenua. Pour terminer sa préparation à la Coupe du monde à Marcoussis, il prévoit de rejoindre le reste de l’équipe déjà au Japon. Du 20 septembre au 2 novembre 2019, il se tiendra. Romain est né le 4 décembre 1990, ce qui lui fait aujourd’hui 28 ans.
Assimilation en équipe de France :
Avec les Bleus, Romain Taofifenua a été choisi 12 fois. Il a joué pour la dernière fois pour la France le 23 février 2018, contre l’Italie dans le tournoi des 6 Nations. Il fait partie des six réservistes, dont Anthony Belleau, Vincent Rattez, Charles Ollivon, Etienne Falgoux et François Cros, appelés par Jacques Brunel pour une seule mission.
Cela porte à quatre le nombre total de membres du Wallis et Futuna XV.
Premièrement, Peato Mauvaka n’a jamais fait partie de l’équipe de France. Il n’a remporté qu’un seul championnat majeur dans sa carrière, mais c’était avec le Stade Toulousain, et il a été l’une des plus grosses surprises de la saison.
Emerick Setiano, cheville ouvrière de Toulon, est entré dans notre monde à l’âge vénérable de 22 ans. Il n’a aucun antécédent en club et fait ses débuts avec le XV tricolore.
Alors qu’il a disputé 40 matches avec le XV du coq auparavant, Sébastien Vahaamahina est sélectionné pour sa première Coupe du monde. Son premier choix a été fait cette année-là, en 2012. Vahaamahina, 27 ans, est un natif de Nouméa d’ascendance wallisienne qui joue comme attaquant de deuxième ligne.
La rivalité des Bleues et de Toulon
Pour être titulaire à Toulon ou en équipe de France, l’aîné des Tao, que l’on savait un peu blasé, a eu recours à la violence. Il a 30 ans et a appris les ficelles de la deuxième ligne, sans doute le poste le plus rustique du rugby, à Perpignan, où l’on aime le jeu des attaquants.
Son père, Willy, est parti en créant la South Pacific Rugby Academy à Nouméa. De toute évidence, Papa Tao est fier des réalisations de son fils “C’est incroyable que malgré son âge avancé, il ait pu saisir la nature de son travail et s’y épanouir. Même avec les bonnes performances des jeunes deuxièmes lignes (Geraci et Pesenti) dans l’Autumn Cup, il a pu conserver sa place dans l’équipe.
Sa taille et son profil de tracteur poussant et d’ouvrier dans l’ombre m’ont inquiété. Malgré la propension croissante de Romain à intervenir dans le jeu.
Fabien Galthié promeut le concept de finisseur au rugby « Ces joueurs sont prêts à débuter et méritent de le faire autant que n’importe qui d’autre.
Les finisseurs font partie intégrante de notre quotidien et ils contribuent grandement à l’équipe, à l’intérieur comme à l’extérieur. de la salle de musculation. Il faut donner aux enfants du temps de jeu car cela favorise le développement, augmente la densité de population, et s’intègre dans nos routines habituelles. Même si personne n’est installé de manière permanente en équipe de France, nous devons encore prendre une décision.
En tant que leader, Romain apparaît calme et posé.
Même si son entraîneur ne tarit pas d’éloges sur lui, Romain Taofifenua garde son calme et ne fait preuve que d’humilité. Certainement pas une maison qui l’inciterait à revenir. Ce qui m’a manqué ces dernières années, c’est un sens de la constance dans mes performances.”
Ses paroles présentent des dangers pour le rugby qu’il joue pour Toulon et l’équipe de France. Il a gagné la confiance de gens comme Patrice Collazo dans le Var et Fabien Galthié en bleu et il récompense toujours cette confiance.
Avec l’aide de son frère Sébastien, il est devenu un commandant naturel sur le champ de bataille. La dernière rumeur du club selon laquelle les frères Tao font leurs valises et quittent Toulon est une affaire de famille. La publication de rugby Midi Olympique affirme que Sébastien a accepté de jouer pour Bayonne.
Romain est suivi de près par le LOU (Lyon Olympique Universitaire) qui est à la recherche d’une deuxième ligne d’expérience, et il est certain d’y croiser son cousin germain Filimo. Par ailleurs, Pierre Mignoni, ancien entraîneur de Romain au RCT, est désormais l’entraîneur principal du club lyonnais.
Fidèle à son caractère, le Calédonien prendra son temps pour aborder ce sujet. e suis également libre de rester à Toulon. Le nombre d’athlètes qui restent avec le même club tout au long toute leur carrière professionnelle diminue.
Nous sommes censés nous diversifier, donc si cela signifie prendre mon temps, je ne vais pas me précipiter. Le Top 14 est quelque chose que je me vois faire pendant les cinq à six prochaines années.
Saison à main-d’œuvre limitée
Est-ce la dernière année de Romain à Toulon ? Une certitude, la saison est encore unique pour les raisons que nous connaissons tous dans le monde du sport professionnel. Matchs de boxe où les spectateurs sont absents en raison du sujet traité préjudiciable à leur santé.
A Toulon, où le Pilou Pilou est vénéré, le rugby se joue avec une ferveur exceptionnellement intense (traditionnelle chant guerrier d’avant-match et les « Fadas de la rade », groupe de supporters fidèles). Romain manque de toutes ces fonctionnalités.
Il y a une courbe d’apprentissage abrupte lors du retour à la maison depuis votre stade d’origine… C’est une réalité à laquelle nous devons faire face.”
