Ferghane Azihari Parents

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Ferghane Azihari Parents – Voici un sacré blâme pour ceux qui prônent une protection extrême de l’environnement. Dans ce livre incisif, le polémiste Ferghane Azihari démonte un à un les arguments des “verts déclinistes” comme Pierre Rabhi et Greta Thunberg.

Alors même que des alternatives industrielles et technologiques (comme le nucléaire) sauveraient à la fois le climat et le niveau de vie des populations occidentales, ces mêmes peuples se précipitent vers une catastrophe climatique. Il écrit : « Cette objection à la modernité porte les habitudes d’une morale réactionnaire, antihumaniste, puritaine.

Ce livre fait plus que simplement plaider en faveur d’un déclin économique – c’est presque religieux. L’expérience contribue également à faire avancer le développement technologique. Ferghane Azihari souligne à juste titre que c’est la « civilisation industrielle » des sociétés occidentales qui les a libérées de la faim, de l’insécurité, de la vulnérabilité et de l’analphabétisme.

Livraison de la chaîne d’approvisionnement industrielle

Cependant, il estime que nous avons également été épargnés d’un “environnement bien plus toxique que celui dans lequel nous habitons aujourd’hui” en raison de la civilisation industrielle. Le polémiste rappelle que les sociétés préindustrielles n’étaient pas à l’abri du changement climatique simplement parce qu’elles n’avaient pas encore subi de dérèglement climatique.

La preuve nécessite deux actes. Le premier est un argument d’autorité. Ferghane Azihari fait référence à une lettre envoyée par le philosophe Sénèque à son ami Lucilius, dans laquelle Sénèque dit qu’il ne s’est pas senti aussi confiant depuis son départ de Rome à cause de l’atmosphère répressive et toxique de la ville.

Il fait également allusion au poète latin Horace, qui se plaignait de l’obscurcissement des bâtiments causé par la fumée domestique et les émissions de cheminées.Deuxième acte très individualiste. Ferghane Azihari explique que sa famille n’a pas simplement quitté la pauvreté matérielle des Comores pour la France. Ils ont également évité d’être exposés à l’air toxique d’un archipel difficile à classer dans la même catégorie que les pays industrialisés.

Apocalypse et la fin du mois

L’auteur conclut que les solutions aux problèmes de déstabilisation climatique seront trouvées dans le progrès technologique plutôt que dans un retour au passé. Les pays les plus riches sont aussi les plus propres et les plus résistants aux catastrophes naturelles, dit-il, car ils peuvent se permettre de s’équiper de technologies de pointe.

Ceux qui attribuent aux plus pauvres les vertus de la pauvreté sont eux-mêmes les plus riches. Il affirme également que le développement économique et technologique finira par aboutir à un compromis entre la fin du monde et la fin du mois.

Surtout dans les pays en développement qui ne peuvent pas s’offrir le luxe occidental de la sobriété. Que « l’ironie veut que ceux qui attribuent aux plus humbles les vertus de la pauvreté soient perpétuellement les plus riches », comme il le dit, est un adage bien connu.

L’être humain comme centre d’intérêt

Dommage que Ferghane Azihari n’ait aucun intérêt à aider les quelque 10 millions d’espaces de vie (minuscules) qui partagent notre planète avec nous. Les humains ont transformé la Terre en un magnifique jardin pour le plaisir de tous. Ce qu’on appelle “la nature sauvage” n’existe plus, dit-il froidement. On estime que 99 % de toutes les espèces qui ont jamais vécu sur Terre ont disparu. Alors pourquoi s’en préoccuper…

Cette position scandaleusement centrée sur l’humain. L’auteur s’en prend à plusieurs reprises à un « catéchisme » vert qu’il méprise. Néanmoins, comme la Bible, il place l’humanité au centre des choses. Un vecteur d’attaque inattendu pour ses défenseurs.

FAIRVOX/The Tribune – Ferghane Azihari estime que le monde occidental porte injustement la responsabilité de la violence qui sévit dans le monde musulman. Il soutient que la droite radicale islamique est motivée par des principes inhérents à l’islam plutôt que par des facteurs externes.Ferghane Azihari, analyste des politiques publiques.

Chaque jour

Certains dans la presse anglo-saxonne profitent de chaque nouvel attentat terroriste islamiste en France pour critiquer la culture hexagonale séculaire du pays. Elle continue de soutenir les arguments avancés par les penseurs britanniques des Lumières contre l’athéisme de leurs contemporains français.

L’intransigeance française envers la religion peut être à l’origine de l’hostilité des islamistes envers le pays. Ce parti pris explique pourquoi les détracteurs du modèle français ne s’intéressent pas à l’histoire des djihadistes.

Contrairement au Journal du dimanche, peu de médias anglo-saxons ont pris le temps de détailler l’assassin de l’éducation numérique et religieuse de Samuel Paty. Ceux qui jugent la variable religieuse secondaire dans la compréhension de ces atrocités trouveront un fil à répliquer dans cette histoire.

Sans surprise, cette presse anglo-saxonne se fout encore moins quand un professeur britannique fait l’objet de menaces parce qu’il a diffusé des caricatures de Mahomet. Il semblerait que ceux qui vivent dans un pays à religion officielle et qui autorise les tribunaux islamiques soient également à l’abri de la menace djihadiste.

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L’un des principaux problèmes de l’interprétation « tiers-mondiste » de l’islam est qu’elle perpétue les stéréotypes très orientalistes auxquels elle prétend s’opposer.De ce préjugé enfantin jaillit un faux anti-impérialisme.

Cela explique pourquoi les musulmans sont tolérants envers les maux que l’islam promeut et pourquoi ils sont hostiles à la modernité. Il soutient que l’invasion européenne impitoyable du monde musulman au XIXe siècle et la persistance de l’impérialisme ne pouvaient conduire qu’à une résistance violente “en réaction” de la part des vaincus.

Selon le livre de François Burgat de 2016 sur l’Islam politique, « le système juridique islamique renvoie à un univers symbolique et normatif considéré comme endogène, « fait à la maison », et imposé ni de l’extérieur par le pouvoir colonial ni d’en haut par les élites ».

En blâmant la terminologie islamique pour la poussée d’indépendance de l’Est, François Burgat laisse entendre que les habitants de la région sont impuissants à effectuer eux-mêmes des changements. En adoptant les meilleurs aspects de la culture du conquérant, l’Orient ne peut espérer combattre une domination étrangère injuste.

Cependant, l’Amérique latine n’est pas revenue aux religions précolombiennes et aux sacrifices humains dans un effort pour combattre la domination impériale de l’Espagne et du Portugal. La politique de « Pas de taxation sans représentation » des Britanniques a été régulièrement utilisée par les Américains pour chasser les Britanniques du Nouveau Monde.

Malgré la brutalité de la guerre napoléonienne, que Benjamin Constant a qualifiée d’« anachronisme funeste », l’Europe n’a pas renoncé à tous les acquis de la Révolution française. Et même si les États-Unis étaient prêts à déclarer la guerre au Japon en 1853 s’il ne s’ouvrait pas au commerce international, ce sont des intellectuels japonais comme Fukuzawa Yukichi qui poussèrent leurs compatriotes à adopter le libéralisme occidental afin de rejoindre la voie de la prospérité. .

Ce serait mentir de dire que le monde musulman n’a jamais été ouvert aux idées occidentales. De toute évidence, l’influence des ramifications du socialisme européen, telles que le baasisme et le nassérisme, dans le monde arabe sape la rhétorique ethno-différencialiste utilisée par les opposants aux Lumières depuis le XVIIIe siècle.

Les peuples ne sont pas nécessairement imperméables aux idées qui ont pris naissance en dehors de leur sphère d’influence culturelle. Il est dommage que de nombreux pays en développement du Sud préfèrent adopter les idées les plus erronées de l’Occident plutôt que de profiter de ses succès.

En savoir plus sur les raisons pour lesquelles l’islam français se détériore ici :

Les problèmes du monde musulman ne sont pas là. Pourquoi le conservatisme sectaire autoritaire l’emporte-t-il alors que ce conflit dure depuis deux cents ans ? Les précédents américains, européens et japonais que nous venons de citer suggèrent que le facteur géopolitique doit être ignoré.

Surtout quand l’Arabie Saoudite est un brillant exemple de tyrannie et d’obscurantisme islamiques. En plus d’être un allié de longue date de l’OTAN, le Royaume d’Arabie saoudite a également été épargné par l’invasion européenne.

Trop d’ordres pour persécuter les “mécréants” se trouvent dans le Coran et la Sunna, les deux principales sources de la tradition islamique.Les pays qui ont été opprimés par l’impérialisme ne sont pas coincés à jamais dans l’obscurantisme. Et l’obscurantisme n’a jamais exigé que la domination impériale s’épanouisse.

Par conséquent, la rigueur exige plus que le simple rejet des interprétations géopolitiques de la violence religieuse. Cela nécessite également de reconnaître pleinement le rôle de l’islam dans le rejet des valeurs contemporaines par une large bande de minorités musulmanes et du Moyen-Orient en Europe.

En fait, le canon islamique (la Bible et le Hadith) contient trop d’ordres pour persécuter les “mécréants” et vante un chef politique et militaire qui, selon ses biographes, a commis de nombreux actes de corruption et de tyrannie.

Faut-il abandonner le désespoir concernant l’Asie ? Edward Sad, dans sa critique de l’orientalisme, était curieusement élogieux envers l’islam tout en se gardant de l’autre cliché qui donne à l’Orient une fausse identité.

Ce que cela ferait, c’est inspirer la grande majorité des musulmans du monde entier à démanteler un culte autoritaire vieux de 1400 ans en faveur de philosophies politiques plus pacifiques dans leur quête d’indépendance.

C’est aussi dans le meilleur intérêt de l’Est ; la région est souvent la première à ressentir le poids de la répression que l’islam fomente.Voici le seul livre qui fait un argument en faveur de la philosophie “libérale” dans le climat intellectuel et social d’aujourd’hui, qui est massivement négatif envers le développement de technologies de pointe. sociétés.

Cela fait deux cents ans que la civilisation industrielle a libéré l’humanité de la pauvreté. Cependant, les écologistes radicaux reprochent aux sociétés modernes de faire passer le profit avant la planète, dépeignant le passé comme un paradis perdu qui n’a jamais existé.

Ferghane Azihari utilise une combinaison d’histoire, de philosophie et d’analyse sociopolitique pour démanteler les arguments des antimodernistes qui, à commencer par Pierre. L’essayiste et commentateur politique français Ferghane Azihari est né en 1993 et est délégué général de l’Académie libre des sciences humaines. (ALSH).Il a également travaillé comme économiste à l’Institut de recherche en économie et fiscalité (IREF).

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