Catherine Matausch Mariage – Du monde catholique au monde de l’art, la présentatrice du JT de France 3 a fait la transition avec grâce et candeur. En l’honneur de Karine Villatte Cette fois, cependant, l’attention ne sera pas portée sur sa ressemblance clichée, mais plutôt sur ses œuvres d’art. Catherine Matausch, journaliste de France 3, a assuré le commissariat d’une exposition collective qui s’est déroulée du 5 mai au 19 juin aux galeries Saint-Pierre et La Fabrique.
D’où est venue l’idée de cette exposition collective ? Avant tout, je dirais qu’elle est née de rencontres. L’ami de Domecy, Bruno Daviot, a été la figure centrale du voyage. Il a proposé l’idée, et la ville d’Avallon m’a contacté. J’ai pris mon rôle au sérieux et j’ai contacté des artistes dont j’admirais le travail.
Les artistes locaux m’ont été imposés par lui. J’ai toujours espéré que la photographie, la sculpture et la peinture trouveraient un moyen de coexister harmonieusement dans le monde de l’art. Cette union a produit une exposition à la fois diversifiée et équilibrée, avec les contributions des deux partenaires.
Quel genre d’interactions avez-vous eu avec les musiciens ? Ce fut une fantastique aventure de groupe. L’expression “club des cinq” est l’une de mes préférées pour nous décrire. En fait, nous croyons tous aux mêmes principes de bonté, de générosité et de mal.
Ce fut un réel plaisir de rencontrer les artistes que j’admirais. Nous voyageons tous sur la même longueur d’onde, portés par la même aspiration et partageant la même pudeur. Ce résultat me surprend. J’ai beaucoup apprécié le processus de construction du puzzle, en particulier la fixation des tissus et leur placement à leur place. Et une fois les travaux en place, ils ne sont plus notre propriété.
Le grand public est plus familier avec les journalistes qu’avec les artistes ; comment caractériseriez-vous votre métier ? L’utilisation de pastels me permet de travailler rapidement, en détaillant des détails sans importance qui, autrement, ennuieraient un journaliste. Des contes sans histoire qui véhiculent tout. Le journaliste témoigne, l’artiste aussi. Autrement. Parler de ce que je fais dans la vie est simple, mais décrire l’acte de peindre ne l’est pas. Néanmoins, je me révèle, et c’est crucial pour moi.
Pourquoi est-il crucial de rendre publiques ces informations ? Cela m’a aidé à comprendre l’impact de ma performance sur ma progression de carrière. L’art est une quête solitaire, mais pour progresser, il doit être partagé. Je n’ai fait que cinq expositions jusqu’à présent, mais je sais que je dois me forcer à en faire plus car elles sont source d’inspiration et de conversation. Mais ce n’est pas si simple de se vendre. En tout cas, voyager ici m’a donné l’occasion de voir une belle partie du monde, et j’en suis tombé amoureux immédiatement.
Elle a été visiblement absente de l’émission d’information Face à l’info de CNews pendant plusieurs jours. La célébrité de l’information et confidente d’Eric Zemmour a annoncé à ses followers sur Instagram qu’elle était hospitalisée. Quelques jours plus tard, l’ex-journaliste de “Touche pas à mon poste” ne se présentait pas exactement sous son meilleur jour.
La journaliste de 52 ans a partagé ses nouvelles allongée dans son lit, les bras autour de son partenaire. Christine Kelly a annoncé “Tout va bien” le 6 juillet sous une photo d’elle en train de dormir publiée sur les réseaux sociaux. Elle a seulement confié qu’elle était épuisée et que cela passerait bientôt, car elle ne voulait pas que la conversation entre dans sa vie personnelle.
Un seul mot qui a grandement alarmé la légion de lecteurs dévoués de la journaliste qui loue son objectivité et son sérieux. Vous pouvez lire des messages comme “Bon rétablissement à notre journaliste préférée” et “Remettez vous très vite chère Madame, vous êtes une personne rare et précieuse” sous son post.
Une autre photo du soutien-gorge perfusé de Cyril Hanouna a été postée sur Instagram par son ex-copine journaliste le même jour. Là encore, l’hôtesse se garde bien de dévoiler son identité. L’auteur de Libertés sans expressions (Ed. Cherche midi) a révélé quelques “bonnes nouvelles”.
Christine Kelly a profité de cette occasion pour exprimer sa gratitude au personnel médical qui a pris soin d’elle pendant son rétablissement. J’apprécie la gentillesse des médecins et des infirmières. La journaliste et mère de Léa, 6 ans, a fait remarquer: “Quel genre de qualités humaines faut-il pour s’inquiéter des autres.”
Christine Kelly ne veut plus parler de ses problèmes de santé pour le moment. La raison pour laquelle elle a été admise à l’hôpital n’est pas mentionnée. Une chose est sûre cependant : la journaliste de télévision a hâte de retrouver sa vraie passion : son métier.
“Mes Mousquetaires m’ont envoyé cette photo. “Je leur manque”, rapporte la journaliste en postant une photo d’elle et de ses collègues Marc Menant, Dimitri Pavlenko, Charlotte d’Ornellas et Mathieu Bock-Côté sur le plateau de l’émission. J’apprécie tous les mots aimables que mes amis et ma famille ont envoyés. Vous êtes ma force. Christine Kelly est restée muette sur le moment où elle compte revenir à l’antenne.
Après SOIR/3 de Francis Letellier le samedi 2 juillet de 22h45 à 23h55, la rédaction nationale de France 3 diffusera une émission spéciale animée par Catherine Matausch en l’honneur d’Albert II de Monaco et de Charlène Wittstock.Catherine Matausch proposera 70 minutes pour rendre compte de l’événement en lien avec des invités duplex de la Principauté et à travers des reportages éditoriaux, le tout en simultané avec le dîner officiel.
Images d’hier et reportages d’aujourd’hui font revivre l’histoire du Rocher et l’épopée des Grimaldi, la solennité de la cérémonie religieuse tenue dans la cour d’honneur du palais, le faste du cortège royal dans les rues de Monaco, et la joie des fêtes. Reportage-bijou sur le dilemme de Charlène Wittstock, dépeignant le Prince Albert en éco-militant qui préfère les voitures propres pour les cérémonies.
La demande est venue de mon conjoint. Aline, une Parisienne de 45 ans résolument favorable au mariage, confie : “Cela fait des années que j’attends qu’il le fasse”. J’ai toujours voulu une proposition amoureuse, alors j’ai attendu trois ans pour qu’il se sente prêt. Alors je savais qu’il en voulait un aussi”, explique cet abonné du Planète qui se marie dans quelques mois : “Je le savais juste.
Vingt ans après la mise en place du PaCS, le taux de nuptialité a quelque peu augmenté en 2019, le ramenant aux niveaux pré-PaCS, comme le rapportait alors Le Figaro. Étant donné que l’âge moyen du mariage a baissé de 5,5 ans au cours des deux dernières décennies, il survient également plus tard dans la vie.
Selon les données de l’Insee, sur lesquelles s’appuie chaque jour l’actualité, les femmes attendent d’avoir 35 et 8 mois pour se marier. Se marier avant de fonder un foyer devient inhabituel, comme le note Sylvie Le Minez, experte de l’Insee sur le sujet : « Le couple se forme plus tard et se sépare davantage.
Aline est indifférente à la teneur de la situation. Elle pense qu’être mariée est une expérience qui change la vie et qui peut renforcer n’importe quelle relation. Je viens d’une famille avec une culture du mariage très limitée. Ma mère ne s’est jamais mariée et ses parents ont divorcé à la fin des années 1960, alors qu’une telle chose était encore inhabituelle. Par conséquent, se marier est devenu un objectif personnel pour moi. C’est un gros problème pour ma petite amie et moi et notre relation », dit-elle.
Il s’agit autant d’afficher notre affection pour nos proches que de la célébrer avec eux. C’est un moment inoubliable qui durera toute une vie. Elle poursuit en énumérant d’autres avantages qui, à son avis, continuent de justifier la pratique, qui a été étiquetée “desuet” pendant des années. En 2016, par exemple, le gouvernement libéral de Belgique n’a pas hésité à publier un titre sur la question.
Beaucoup de gens, j’en suis sûr, préviennent ceux qui envisagent de se marier qu’il se terminerait inévitablement par un divorce. Le taux de divorce est en effet assez élevé ; le Huffington Post a rapporté 44% en 2016 (si ma mémoire est bonne). Mais notre abonné ne “voit pas en quoi cela rendrait le mariage obsolète”.
Lorsque deux personnes se marient, cela signifie qu’elles s’aiment. Même après un divorce, le passé reste le même. L’avenir ne devrait pas toujours déterminer le présent, surtout dans une situation comme celle-ci. Le divorce est un signe clair que l’amour n’est plus présent. Ce n’est pas qu’il n’y est jamais allé”, explique la femme.
Elle a également souligné que l’institution a ses avantages.
Cela signifie-t-il que le mariage est une partie nécessaire de toute relation ? Pas du tout nécessaire. Et les dernières réflexions d’Aline : “Je ne pense pas que ce soit une étape nécessaire, dans aucune relation.” A mon avis, il ne faut pas perdre de vue qu’il s’agit d’une solution à 2, il est donc impératif que tout le monde la veuille.
Cependant, il existe d’autres options pour les couples qui ne sont pas intéressés. Je crois que chaque effort commun, que ce soit un voyage, l’achat d’une maison ou l’arrivée d’un nouvel enfant, a le potentiel d’affaiblir les liens d’une relation de couple.
