Affaire Jean Pierre Dufresne – Pour l’instant, aucune réponse n’a été apportée à ce sujet. Toujours en liberté neuf mois plus tard, le tueur de Jean-Pierre Dufresne, habitant de Golancourt, au nord de Noyon, est toujours en liberté.Poignardé à mort à sa résidence à la porte sud du village était un homme de 51 ans qui était connu pour être solitaire et calme.
Il a été découvert par Vincent Van Hamme, un agriculteur et son patron, qui l’ont trouvé dans son champ. Un voisin de Jean-Pierre Dufresne se souvient, “Pourtant, nous ne connaissions pas de mauvaise compagnie, même si depuis quelque temps une BMW verte arrivait souvent chez lui le soir”.
L’homme de 50 ans a reçu la visite de deux hommes et d’une femme dans une BMW, mais nous ne savons pas pourquoi. Cependant, aucune action n’a été prise sur l’idée.Le lendemain du second tour des élections municipales a vu la mort de Jean-Pierre Dufresne dans un tragique accident de voiture.
A Golancourt, c’était le jour de l’enquête. Mardi 24 mars, les habitants de ce village de l’Oise, qui se situe près de Noyon, ont commencé à se poser des questions.Auparavant, Jean-Pierre Dufresne avait été retrouvé mort la veille à son domicile de la rue de Paris près de l’entrée de la ville ; sa cause de décès n’a pas encore été déterminée (Courrier Picard du 25 mars). “Je suis terrifié.
Le voisin le plus proche de Jean-Pierre Dufresne dit : « J’habite juste à côté et on se demande ce qui peut nous arriver. Selon elle, les collègues de la victime se sont rendus chez lui hier après-midi alors que les gendarmes enquêtaient sur de nouvelles pistes.
Malgré sa solitude, c’est un homme gentil et travailleur. Malgré sa nature recluse, la victime était bien connue dans cette communauté d’environ 400 habitants et était caractérisée comme “un homme bon et amical”.
A la ferme Bonneuil à Golancourt, à quelques kilomètres de son travail, il était secret et timide même lorsqu’il était avec nous.Alors que Jean-Pierre Dufresne n’a que 14 ans, il commence à travailler dans les champs de pommes de terre en tant qu’employé agricole. Ses expéditions de pêche du week-end revenaient de temps en temps.
Enfin, il a passé plus de temps à discuter avec ses quatre collègues qu’avec nous, ses supérieurs.Selon les mots de la femme de son employeur, “C’était la maison de sa grand-mère.” Cinq ans se sont écoulés depuis son décès. Depuis lors, il vivait seul dans la maison. Le patron de la victime a découvert le corps vers 8 heures du matin lundi, craignant de ne pas avoir vu l’homme au travail.
Jean-Pierre Dufresne avait une vision unique : “C’était un travailleur fantastique, il n’a jamais été malade ni manqué de travail.” Selon la femme du gérant de la ferme, “il allait avoir 52 ans en juin”.
Jean-Pierre Dufresne semble avoir mené une existence solitaire, mise à part quelques visites de sa mère.En revanche, il y a eu de nombreux allers-retours de voitures devant chez lui pendant environ un mois et demi.” Certains habitants de la rue de Paris ont vu le quartier évoluer.
Une question cruciale devra être résolue par l’enquête de la gendarmerie, qui privilégie la théorie de l’homicide volontaire.Pas de réponse du parquet de Senlis, qui est en charge du dossier, et de la gendarmerie hier soir. Une énorme plaie a été retrouvée sur le corps de la victime, selon nos connaissances.
On ne sait pas exactement comment Jean-Pierre Dufresne est mort ; on ne sait pas ce qui s’est passé. Le 26 mars, jour d’une autopsie qui pourrait avoir lieu, les enquêteurs peuvent s’attendre à obtenir de nouvelles informations.
Le sondage Elabe pour L’Express et BFM a constaté que l’écart entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen en cas de second tour entre les deux premiers sondages se rétrécit. plans pour les prochaines élections.
Par rapport au scrutin précédent, le président sortant perd 3,5 points, alors que son concurrent RN obtient le même montant, établissant un rapport de force de 52,5 % contre 47,5 %.Si la présidente du Rassemblement national retrouve la forme, c’est en raison de diverses variables qui jouent en sa faveur.
Lundi dernier, un tribunal de Marseille a condamné un homme à douze ans de prison pour viol. S., 20 ans, a été condamné à vingt ans de prison à Reims, en France, le vendredi 10 juillet pour le meurtre d’une femme de 86 ans tuée en 2017. Condamné à 20 ans de prison à l’âge de vingt- une.
La cour d’assises des mineurs de la Marne a reconnu vendredi S. coupable de “meurtre sur personne vulnérable” après trois jours d’audience à huis clos et l’a condamné à vingt ans de prison.Un homme de 35 ans a été accusé d’homicide volontaire par le juge d’instruction dans l’affaire des brûlures de Carignan. Aurait tué Jean-Marc Pinto si l’occasion s’était présentée.
