
Affaire Dominici Gabin – Le drame policier franco-italien de Claude Bernard-1973 Aubert, L’affaire Dominici, avec Jean Gabin, Victor Lanoux et Gérard Depardieu, est connu sous le nom de L’affaire Dominici en français et L’affare Dominici en italien. L’histoire est basée sur l’affaire Dominici de 1952.
Le tournage a eu lieu dans les lieux actuels de Ribiers et Peipin dans les Hautes-Alpes.Le vieux villageois Gaston Dominici est arrêté et semble avouer le meurtre d’une famille britannique près de la ferme familiale de la Provence rurale après la découverte des corps des victimes sur le bord de la route.
Lorsqu’il est reconnu coupable et condamné à mort, sa peine est commuée en prison à vie en raison de sa santé défaillante.Claude Bernard-Aubert a réalisé en 1973 le film franco-italien-espagnol L’Affaire Dominici.
Recrée l’enquête policière sur l’affaire judiciaire éponyme de 1952 dans ce film tourné en 1972. Dans le rôle de Gaston Dominici, patriarche accusé du meurtre de trois Anglais par la justice et sa famille, Jean Gabin campe le rôle. A cette date de 1952, Lurs, petit hameau de Haute-Provence, voit le jour.
La police a découvert trois corps dans le secteur. Des touristes anglais ont été pris en embuscade et tués au milieu de la nuit avant que leurs corps ne soient jetés sur cette route étroite de Provence.
Le lendemain, une enquête est ouverte. Nul doute que Gaston Dominici, un patriarche de soixante-quinze ans qui habite la ferme voisine, est une personne d’intérêt pour le surintendant.
L’affaire Dominici, qui défraya la chronique en 1952, est examinée dans ce film. Un père de famille nommé Gaston Dominici a été reconnu coupable du meurtre d’une famille anglaise sur une route près de chez lui malgré l’absence de toute preuve ou raison de l’incriminer. Il a été condamné à mort à la suite de cette affaire.
Claude Bernard-Aubert (France/Italie/Espagne, 1973) est le réalisateur. Gaston Dominici met en vedette Jean Gabin (Gaston Dominici), Victor Lanoux (Gustave Dominici) et Gérard Darrieu (Clovis Dominici) ainsi que Jean-Pierre Castaldi (le premier journaliste), Michel Bertay (Périez), Jean-Pierre Castaldi (Zézé) et Geneviève Fontanel (la capitaine de police) (Yvette Dominici) Dans la nuit du 4 au 5 août 1953, un couple d’Anglais et leur fille sont assassinés dans leurs tentes. Il s’agit d’une reconstitution de l’histoire vraie de l’affaire Dominici.
En 1954, Gaston Dominici, un fermier âgé, a été reconnu coupable de meurtre et condamné à mort. L’affaire Dominici, qui défraya la chronique en 1952, est examinée dans ce film. Un père de famille nommé Gaston Dominici a été reconnu coupable du meurtre d’une famille anglaise sur une route près de chez lui, même s’il n’y avait aucune preuve physique ou raison de croire qu’il était responsable.
L’Affaire Dominici, qui défraya la chronique en 1952, fait l’objet de ce documentaire.En fin de compte, un père de famille nommé Gaston Dominici a été condamné à mort pour le meurtre d’une famille de touristes anglais qui ont été retrouvés poignardés à mort le long d’une route qui traversait sa propriété.
Que Madame la Guillotine ait fait sa première victime en 1792 et qu’elle y soit encore en 1977 est incroyable.Les opposants à la peine capitale prétendent depuis longtemps qu’elle est inefficace comme moyen de dissuasion et qu’il y a eu trop d'”erreurs judiciaires”.
Si la condamnation à mort de Gaston Dominici n’avait pas été annulée et qu’il n’avait pas été libéré de prison en raison de sa santé dégradée, alors lui aussi aurait été victime d’une justice aveugle.
Même si tant de détails de l’affaire ont été omis, le film parvient toujours à être assez efficace. De solides performances et une excellente gestion de la scène du procès se retrouvent dans ce film, qui a été tourné sur les lieux où se sont déroulés les événements.
Un scientifique anglais, sa femme et leur fille de dix ans ont été retrouvés morts dans leur voiture dans la ville française endormie de Lurs après qu’un apparent manque de motivation ait été découvert par la police.
A la vue du cadavre de la jeune fille, le commissaire Sebeille, brillamment interprété par Paul Crauchet, est horrifié et jure de traquer le tueur (ou les meurtriers).Gaston Dominici (Jean Gabin), patriarche de la ferme Dominici proche de la scène du meurtre, est une grande performance de Gabin, qui inculque l’expérience d’une vie à l’écran dans son interprétation du personnage.
Le juge président est partial, et bien que l’un des fils de Domenici ait admis son parjure, la décision du jury est prédéterminée.Même si ce film n’est pas aussi bon que “Goupi Mains Rouges” de Becker, qui montre les courants profondément désagréables de la vie rurale, aucun des protagonistes du film n’en ressort en sentant la rose.
Daniel Ivernel et Evi Maltagliati doivent être mentionnés respectivement comme juge et Madame Dominici. Gérard Depardieu est le neveu simple d’esprit de Domenici, et il est à un an de sa première collaboration avec Bertrand Blier.Claude-Bernard Aubert est le choix idéal pour s’attaquer au problème d’un système judiciaire défaillant, mais André Cayatte n’est pas disponible.
