Zone Interdite Menacée De Mort – Ophélie Meunier, journaliste de “Zone interdite” sur M6, a été placée sous protection policière après avoir reçu des menaces de mort en réponse à son reportage sur l’islam radical, a confirmé lundi le parquet de Nanterre à l’AFP.
Suite au dépôt de plainte d’Ophélie Meunier auprès du commissariat de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) le 26 janvier, la Brigade de répression de la délinquance aux personnes a été chargée de mener l’enquête.
L’article a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux et des menaces. Parmi les photos les plus frappantes figurent des filles voilées et séparées des garçons dans une école privée de Marseille et la vente de chiots sans visage dans un magasin musulman de Roubaix, le vendeur insistant sur le fait que l’islam interdit de représenter des caractéristiques humaines.
Certains ont vu une représentation précise et alarmante de la montée de l’islamisme, tandis que d’autres ont vu une représentation trop dramatique et stéréotypée de tous les musulmans.
Ophélie Meunier et un jeune Roubaixais nommé Amine Elbahi qui a témoigné dans l’émission et dénoncé la montée de l’islamisme ont été placés sous protection policière après avoir reçu des menaces de mort. Comme je l’ai dit, c’est dérangeant. Amine Elbahi avait déclaré à l’AFP : “J’aurais dû regarder uniquement les menaces”.
La préfecture de police de Paris a indiqué vendredi à l’Associated Press (AFP) avoir ouvert une enquête sur la ou les sources des appels téléphoniques menaçants passés à ce Roumaine. Il a délégué des fonctions d’enquête à l’Office central pour la prévention des crimes contre l’humanité, le génocide et la guerre (OCLCH).
Des syndicats de journalistes et des médias indépendants comme France Télévisions ont manifesté leur soutien à Ophélie Meunier depuis la diffusion du documentaire. La semaine dernière, Le Monde a publié un éditorial sur la situation, rejoignant notamment L’Express et Le Point.
L’impact potentiel de ces menaces sur « la liberté d’expression et d’information » est mis en évidence. La ministre déléguée à la Citoyenneté, Marlène Schiappa, avait répondu à l’Assemblée nationale et au Sénat : “Je veux, au nom de tout le gouvernement, apporter notre plein et entier soutien à Ophélie Meunier”.
Ophélie Meunier, journaliste de Zone Interdite sur M6, aurait été placée sous protection policière après avoir reçu des menaces de mort en réponse à ses reportages sur l’islamisme. Suite au dépôt de plainte d’Ophélie Meunier auprès du commissariat de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) le 26 janvier, la Brigade de répression de la délinquance contre les personnes (BRDP) a été chargée de mener les investigations.
Vives réactions sur les réseaux sociaux et menaces proférées après la publication par l’écrivain d’un numéro de Zone Interdite sur la montée de l’islam radical, centré sur la ville de Roubaix, le 23 janvier.
La vente de chiots sans visage dans un magasin musulman de Roubaix (le le vendeur a assuré aux clients que l’Islam interdisait de représenter des traits humains) et les filles sorties clandestinement d’une école privée à Marseille et gardées dans une classe séparée des garçons sont deux des images les plus frappantes.
Certains ont vu une représentation précise et alarmante de la montée de l’islamisme, tandis que d’autres ont vu une représentation trop dramatique et stéréotypée de tous les musulmans.
Ophélie Meunier et un jeune Roubaixais nommé Amine Elbahi qui ont témoigné dans l’émission et dénoncé la montée de l’islamisme ont été placés sous protection policière suite à des menaces de mort. Des choses troublantes que j’ai dites. Amine Elbahi avait déclaré : « J’aurais dû regarder uniquement les menaces.
Selon le pavé parisien, une enquête sur les auteurs d’appels téléphoniques menaçants publiés à ce Roumain a été ouverte vendredi. Il est délégué des fonctions d’enquête à l’Office central pour la prévention des atrocités, du génocide et des crimes de guerre (OCLCH).
Des syndicats de journalistes et des médias indépendants comme France Télévisions ont déterminé leur soutien à Ophélie Meunier depuis la diffusion du documentaire. Comme L’Express et Le Point, Le Monde a publié la semaine dernière un éditorial à l’histoire.
La ministre de la Citoyenneté, Marlène Schiappa, avait répondu devant l’Assemblée nationale et le Sénat : “Je veux, au nom de tout le gouvernement, apporter à Ophélie Meunier notre soutien total et sans réserve.”
Une enquête aux graves conséquences. Le 23 janvier, M6 est diffusé en exclusivité Zone Interdite une enquête sur l’islam radical en France. Le sujet a généré un buzz considérable avant même d’être diffusé sur les antennes, avec un boycott organisé sur les réseaux sociaux avec le hashtag #boycottzoneinterditeM6. En réponse à la publication de ce numéro, les journalistes sont devenus une cible privilégiée.
Amine Elbahi, avocat de 25 ans à Roubaix, s’est alarmé de la tendance à l’intégrisme du mouvement communautaire de la ville. Roubaix est la grande ville française la plus pauvre. Le jeune homme a révélé sur BFMTV avoir reçu de nombreuses menaces, dont “des menaces de décapitation, d’égorgement, de s’en prendre à moi parce que j’ai tenu un discours de vérité à face découvert”.
TV Mag a rapporté le 29 janvier que l’animatrice de Zone Interdite, Ophélie Meunier, avait été placée sous protection policière après avoir reçu des menaces de mort jugées vraisemblables. L’AFP rapporte que le SDLP (le service chargé de la surveillance des célébrités) a commencé à surveiller la jeune femme. Le producteur de Zone Interdite a enfin pu partager quelques nouvelles.