
Video Interpellation Nahel – L’interrogatoire de police qui a finalement coûté la vie à Nahel a été filmé et fait le tour des réseaux sociaux. Un témoin peut quitter les lieux d’un accident et monter dans une autre voiture avant l’arrivée de la police. Plus de 150 personnes ont été arrêtées et des rapports de violences ont afflué de toute la France. Jeudi, il y aura une marche silencieuse en soutien aux jeunes.
La diversité n’est pas encore prête à redescendre. Deux jours après Nahel, l’adolescente assassinée, une autre vidéo d’interrogatoire est devenue virale sur Internet. Sur ces photos, un policier se gare à côté d’une voiture qui vient de percuter un mur.
Quelqu’un sort de la voiture et s’enfuit avant que la voiture ne s’arrête. Une cagoule lui sera remise à ce moment, et il sera jeté à terre par le flic. Une vidéo extrêmement clivante.
L’Inspection générale de la police nationale poursuit son enquête et l’officier responsable des coups de feu fait désormais l’objet d’une surveillance accrue.
Plusieurs villes françaises ont été secouées par une vague de violence pour la deuxième nuit consécutive. Après avoir été touché par des coups de feu, un immeuble de Villeurbanne a pris feu. Un bâtiment de l’administration locale près de Lille a été incendié. Enfin, des événements ont été signalés dans toutes les grandes villes de France, dont Paris, Lyon, Toulouse et Dijon. Cent cinquante personnes ont été priées de partir.
La famille Nahel a appelé à une manifestation silencieuse ce jeudi près du lieu du drame à Nanterre, devant la préfecture des Hauts-de-Seine. La mère de l’adolescente prévoit de se filmer en train d’exprimer sa “révolte pour son fils”.Le gouvernement élève des chèvres et des porcs ensemble.
Le président français Emmanuel Macron a convoqué jeudi matin une réunion de crise de la cellule de crise du ministère de l’Intérieur après une nouvelle nuit violente. Le président du pays a qualifié les violences survenues hier soir d'”injustifiables”.
Ses commentaires les plus récents sont cohérents avec sa déclaration précédente selon laquelle le comportement de l’officier était “inexplicable, inexcusable”, qu’il avait fait la veille. Les syndicats de police sont sur les nerfs après cette déclaration.
Jeudi matin, Gérald Darmanin a repris le service client des forces de l’ordre et a tweeté son “soutien aux policiers, gendarmes et sapeurs-pompiers qui font face avec courage”. Comme ils l’avaient fait la nuit précédente, des voleurs ont fait irruption dans un certain nombre de commerces du centre-ville et les ont volés. Enfin, les groupes de jeunes se sont dispersés dans d’autres entreprises du nord de la ville.
La nuit du 30 juin au 1er juillet voit le retour des gangs de jeunes masqués et très mobiles dans les rues du centre de Marseille, notamment les artères commerciales Saint-Férréol, Paradis, Rome et République. Après une nuit particulièrement violente à Nanterre, un policier a abattu lundi Nahel, 17 ans.
Le dernier bilan de la préfecture de police des Bouches-du-Rhône fait état de 95 interrogatoires nocturnes ayant fait 31 blessés légers parmi les policiers.L’équipe d’intervention policière souvent appelée « The Raid » est arrivée au centre-ville.
CRS, un fournisseur de renforts, est arrivé. Un hélicoptère de la police a effectué une patrouille nocturne au-dessus de la ville française de Marseille. La même chose s’est produite la nuit précédente et de nombreux magasins du centre-ville ont été cambriolés. Enfin, les groupes de jeunes se sont dispersés dans d’autres entreprises du nord de la ville.
La nuit du 30 juin au 1er juillet voit le retour des gangs de jeunes masqués et très mobiles dans les rues du centre de Marseille, notamment les artères commerciales Saint-Férréol, Paradis, Rome et République. Après une nuit particulièrement violente à Nanterre, un policier a abattu lundi Nahel, 17 ans.
Le dernier bilan de la préfecture de police des Bouches-du-Rhône fait état de 95 interrogatoires nocturnes ayant fait 31 blessés légers parmi les policiers.L’équipe d’intervention policière souvent appelée « The Raid » est arrivée au centre-ville. CRS, un fournisseur de renforts, est arrivé. Un hélicoptère de la police a effectué une patrouille nocturne au-dessus de la ville française de Marseille.
Lorsqu’une scène d’urgence est particulièrement dangereuse, les pompiers savent qu’ils peuvent compter sur les flics. Les caméras de vidéosurveillance nous montrent non seulement où se trouve le feu, mais aussi qu’il y a des actes d’agression qui s’y déroulent. Un porte-parole du bataillon a déclaré : « Nous avons demandé à la police d’intervenir en premier.
Une source policière a révélé que 994 personnes à travers la France ont été interrogées du jour au lendemain, dont 406 dans ou autour de la capitale.Environ 2 560 incendies ont été signalés sur la voie publique et environ 1 350 véhicules ont pris feu.
Les chiffres étant inférieurs à ceux de la nuit précédente, Gérald Darmanin a qualifié l’état de violence actuel de “moins intense”. Dans la soirée du jeudi 29 juin et la matinée du vendredi 30 juin 2023, de nouvelles émeutes éclatent dans plusieurs villes françaises. Près de 420 personnes ont été interrogées en réponse à la mort par balle d’un garçon de 17 ans.
Le calme n’est pas revenu. Une troisième nuit de troubles a éclaté dans toute la France après que la police a abattu Nahel, 17 ans, après avoir refusé de se conformer à leurs demandes de calme. Après une deuxième nuit de manifestations tendues, le Premier ministre français Gérald Darmanin a annoncé mercredi que 40 000 membres des forces de l’ordre seraient mobilisés, dont 5 000 déployés en région parisienne.
Selon BFMTV, lors d’émeutes en France ce soir, la police a arrêté 421 personnes. Il y a eu des tensions initiales et des actes de violence à la périphérie de la marche en noir organisée par la famille Nahel qui a attiré 6 000 personnes à Nanterre à 14h00.Depuis la mort de Nahel, des émeutes ont éclaté dans les villes de l’Hexagone pour la quatrième nuit consécutive.
À la suite de troubles nocturnes à travers la France, notamment à Marseille et à Lyon, au moins un million de personnes ont été évacuées. Après que Nahel a été abattu par la police le 27 juin à Nanterre, des pillages, des incendies criminels et des destructions de bâtiments se sont produits la nuit suivante.
Des actes de violence aléatoires ont balayé l’Hexagone dans la nuit du 30 juin au 1er juillet. Afin de faire face à ces troubles nocturnes “plus doux”, selon le dernier décompte place Beauvau, un total de 1311 personnes ont été convoquées. Parmi eux, 752 policiers, 406 Parisiens et habitants de la banlieue et 153 gendarmes.
Le ministère de l’Intérieur a confirmé un nombre de victimes supérieur aux 79 policiers et gendarmes initialement signalés. Il y a eu 1 350 incendies de véhicules, 234 incendies/dommages aux structures et 2 560 départs de feu dans les voies publiques.
Selon les données compilées par les forces de sécurité de Beauvau, 31 commissariats, 16 commissariats de police municipale et 11 casernes de gendarmerie ont également été attaqués. Montants en espèces représentant le retrait net depuis minuit.
Petites flambées d’hostilité à Marseille et Lyon
Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé sur TF1 à 20H que 45 000 policiers, gendarmes et unités d’élite (GIGN, Raid, BRI) seront déployés dans les rues pour tenter d’endiguer la marée montante des violences urbaines.
Quelques heures avant l’inhumation de Nahel samedi matin, des dizaines de quads de police stationnaient à l’entrée du quartier du Vieux-Pont à Nanterre, épicentre de la gronde des quartiers populaires encore rythmée par les tirs des morts. personnes.
Malgré la visite d’Emmanuel Macron dans des quartiers longtemps négligés du centre et du nord de la ville plus tôt dans la semaine, les émeutes et les pillages se sont poursuivis dans ces quartiers ce soir.
La soirée a également été retardée dans plusieurs quartiers de Nantes, Grenoble et Lyon en raison de scènes comme celle-ci et d’affrontements entre manifestants masqués et policiers. Vaulx-en-Velin est une banlieue de Lyon, et un homme de là-bas a ouvert le feu sur les forces de l’ordre. Le calme nocturne s’est installé sur Angers comme sur Tours. Les autorités signalent un taux d’occurrence nettement inférieur en Nouvelle-Aquitaine, qui comprend les villes de Bordeaux, Pau et Poitiers.
La violence dans la banlieue parisienne n’a pas augmenté.Le siège de la Division des enquêtes criminelles (DCPJ) a également été la cible d’une tentative d’effraction. Colombes, toujours dans les Hauts-de-Seine, a un puissant parfum de caoutchouc brûlé.
Un brasier a partiellement détruit un bâtiment gouvernemental à Saint-Denis, tandis que dans le Val-d’Oise, la mairie de Persan-Beaumont et la préfecture de police municipale ont pris feu. Des incendies se sont déclarés dans une crèche à Conflans-Sainte-Honorine, une épicerie à proximité de Mantes-la-Ville, un bureau de poste à proximité de Chanteloup-les-Vignes et un restaurant Restos du coeur à Beauvau voisin.
