Thierry Le Luron Cause De Sa Mort – Thierry Le Luron est décédé en 1986, pourtant les rumeurs sur sa mort ont longtemps couru. Le comédien lui-même est à blâmer; bien que sachant qu’il était malade, il a rassuré les journalistes sur le fait qu’il pouvait se tenir admirablement, a minimisé la gravité de sa situation difficile auprès de ses amis et de sa famille et a continué à travailler debout.
Sa famille et ses amis disent qu’il s’est convaincu qu’il pourrait vaincre la maladie malgré les prédictions contraires des médecins. En 1984, il a découvert qu’il avait un cancer et s’est rendu aux États-Unis pour voir des spécialistes, ce qui lui a donné une mince chance de survie.
Au mois de décembre 1985, son État devient impérial et il est de nouveau suivi à Paris. Les médias rapportent des cas de sciatique, de fatigue extrême, de méningite, de bronchite ou encore de toxoplasmose. Près de Washington, DC, Thierry Le Luron expérimente un nouveau traitement expérimental.
Il est soigné par le Dr Léon Schwartzenberg en France. Thierry Le Luron a été traité pour un cancer de l’estomac, de l’intestin et de l’œsophage par chimiothérapie. Il est décédé le 13 novembre 1986, à l’âge de 34 ans, des suites d’un cancer du poumon.
C’était une théorie largement diffusée bien avant le décès du comédien, mais la vérité derrière elle n’a jamais été établie. Même sa propre famille ne savait pas grand-chose de la vie personnelle de Thierry Le Luron parce qu’il était tellement réservé à ce sujet. Martine Simon Le Luron, sa sœur, a publié un livre sur leur frère en 2013. Dans une certaine mesure, elle évoque la propagation du cancer, mais aussi peut-être le virus Sida.
En raison du système immunitaire affaibli de l’humoriste, le cancer se serait propagé plus rapidement. On connaît également l’histoire romantique du comédien avec des hommes comme Jorge Lago, récemment décédé, qui a succombé aux effets du Sida. Il y a toujours eu des rumeurs selon lesquelles Thierry le Luron était un grand consommateur de la drogue Sida, bien que cela n’ait jamais été confirmé.
En l’honneur de Thierry Le Luron, France 2 diffusera un épisode spécial d’Un jour, un destin le dimanche 6 novembre à 23h30. Lorsqu’on lui a demandé ce qui avait tué le comique, la cause officielle du décès donnée comme cancer en novembre 1986, alors qu’il n’avait que 34 ans, était un mystère. Dans une biographie de l’actrice, sa soeur Martine laisse entrevoir une autre direction.
Vingt-sept ans après la mort de l’humoriste Thierry Le Luron, sa sœur Martine a révélé ce qu’elle croit être la vérité sur sa disparition prématurée en 2013. Le 6 novembre, France 2 annonçait que Thierry Le Luron, sujet du documentaire Un jour/Un destin, était décédé d’un cancer.
Durant cette brève période, des rumeurs se sont répandues sur son état de santé, mais l’homme de 34 ans est bien décidé à les dissiper en faisant semblant de prendre des vacances avec son amie Line Renaud à Las Vegas afin de pouvoir poser pour des photos de vacances.
Depuis 1981, le flet est connu sous son nom propre. Surtout dans toute l’Europe, le silence radio sur “l’épidémie” était la règle. Lorsque les premiers personnages célèbres l’ont annoncé en 1985, la nouvelle a provoqué un émoi. À ce moment-là, Thierry avait sûrement été vaincu. Martine a attendu vingt-six ans pour révéler la vérité et fêter ses “retrouvailles” avec le frère de génie.
Trois ans après la disparition d’Huguette, sa mère, il a enfin pu affronter les émotions enfouies par la perte. Lattès) est doux et grassouillet et évite la polémique. Elle nous présente un enfant “grand comme trois pommes et une crêpe” (comme on dit dans le village des parents de l’enfant, Ploumanac’h) et qui devient énorme, comme dans un film familial, avec une caméra à la fois amusée et complice. Thierry a complètement changé la face de son industrie. Martine est très attachée à cela. C’est la vie elle-même qui l’a finalement mis fin après toutes ces années à brûler des planches.
Les premiers signes d’un “cancer” apparaissent en décembre 1985. Thierry va essayer de cacher cette “hyène” qui le taraude depuis dix mois, mais il ne s’y laisse pas faire. Au fur et à mesure que la préoccupation des médias pour sa santé grandit, son affichage extérieur d’optimisme dynamique augmente également; ces photos de lui début septembre 1986 dans sa bastide tropézienne le montrent détendu, bronzé et content.
Dans deux mois, cette pièce à conviction sera oubliée. Tout au long de 1986, il change son histoire, disant qu’il a récupéré chez Line Renaud à Las Vegas tout en recevant un traitement au célèbre Bethesda Naval Medical Center près de Washington, D.C.
Mentionnant parfois la bronchite virale, la sciatique et la méningite. Quand notre journaliste lui a demandé s’il était octogénaire, il a souri et a dit : « J’aimerais finir mes jours dans les vignes de Margaux. J’ai déjà tant sacrifié à Bacchus.» Thierry mime Le Luron dans le jeu tragique de la vérité.
Simon-Le-Luron Martine. Thierry est décédé six mois plus tard, le 13 novembre 1986, et ses mots sont restés gravés dans ma mémoire depuis. En un sens, Thierry lui appartenait. Ma mère a enduré beaucoup de douleur dans ses derniers jours.