
Sarah Saldmann Vie Privée – Son téléphone n’a pas arrêté de sonner pendant cinq jours d’affilée. Sa boîte aux lettres est un gâchis complet. Et les colis de courrier sont livrés par coursier à son bureau du 7e arrondissement de la capitale.
Après la publication, le 26 janvier, du livre explosif de l’écrivain Victor Castanet, Les Fossoyeurs (Fayard), qui expose les problèmes systémiques du plus grand fournisseur de maisons de retraite au monde, elle aussi s’est retrouvée sous les projecteurs
600 plaintes contre Orpea et 500 contre Korian
Après la sortie du livre, le gouvernement a lancé deux enquêtes, l’une administrative et l’autre financière, sur l’ensemble du groupe qui gère 354 établissements à travers la France. Cependant, le PDG nouvellement nommé, Philippe Charrier, n’a pas tardé à démentir les allégations.
Elle compile tous les conseils qu’elle a reçus en vue d’une grève coordonnée contre Orpea en mars ou avril.Parce que chaque réclamation reste distincte, il ne s’agit pas d’une “class action” au sens américain, a-t-elle précisé. Le plan est de tous les laisser tomber en même temps dans le but de submerger Orpea. Sinon, l’organisation acceptera de leur envoyer une lettre générique si chacun lance son propre processus séparé.
Sarah Saldmann prévoyait de poursuivre Korian dans l’émeute, l’autre gros chien de la filière Ehpad (364 entreprises françaises), dont elle avait reçu un déluge de témoignages relatant des incidents similaires.Sophie Boissard, la PDG du groupe, a pris les ondes pour éloigner l’entreprise de l’affaire Orpea face au tollé général des politiques et des investisseurs.
DomusVi, le troisième acteur privé avec 250 propriétés, n’échappe pas à la détermination de l’avocat.Son nom commence à apparaître dans le flux d’appels que nous recevons, peut-être seulement deux ou trois fois par jour au début, mais cela se produit tous les jours maintenant.
Sarah Saldmann, interrogée par la commission des affaires sociales de la Chambre des représentants le 17 février, a déclaré avoir reçu plus de 600 plaintes contre Orpea, 500 contre Korian et 39 contre DomusVi.Elle a déclaré aux législateurs que les preuves comprenaient “des témoignages de personnes souhaitant porter plainte ainsi que des témoignages anonymes”.
Témoignages, le tout pêle-mêle
Il y a une énorme liste d’accusateurs de haut niveau. L’homicide accidentel, la mise en danger délibérée de la vie d’une autre personne, le fait de ne pas aider une personne en détresse ou d’infliger des violences par négligence sont tous des crimes. Sarah Saldmann affirme que malgré le large éventail de circonstances, tous les témoignages sont cohérents.
Dans une rafale de mitraillette, elle a dit : “Ils décrivent de graves négligences : des patients laissés dans des lits débordants, confinés dans leur chambre, privés de soins et de nourriture”, comme pour éviter de devenir trop obsédés par les “horreurs” d’un cas donné.
Malgré son air aimable, la femme de 30 ans dit avoir du mal à suivre toutes les photos flashy qui accompagnent ces signaux.En payant le prix de la chambre entre 4 000 et 6 000 € par mois, on pourrait s’attendre aux services d’un palace”, note Sarah Saldmann. Ses clients sont des “familles faciles qui ne s’intéressent pas à l’argent mais souhaitent que leur statut de victime soit reconnu pour que ces pratiques cessent”, frustrées et en colère.
En commençant par résoudre les problèmes avec les agences de santé publiques et privées qui ne surveillent et ne contrôlent pas correctement les Ehpad. “C’est ce qu’on appelle une visite de courtoisie si vous inspectez les entreprises une fois tous les huit ans et donnez un préavis”, a plaisanté l’avocat.
Les contre-mesures initiales de Tesla
Sarah Saldmann sait qu’elle doit partir en guerre contre des ennemis bien plus grands qu’elle. Rien pour l’effrayer. En effet, cette fille d’un cardiologue de renom s’est plutôt armée dans le bureau d’un des « ténors » du barreau, Maître Olivier Pardo, avec qui elle a effectué son stage de fin d’études.
Avant de commencer sa propre pratique du droit de la famille et de la défense pénale dès le début de sa carrière. Ensuite, pour prendre les devants sur un dossier sensible : l’accident mortel de la voiture Tesla à Paris en décembre dernier, qui a également fait 20 blessés.
Alors que l’enquête est en cours, Sarah Saldmann prend la défense du chauffeur de taxi qui a été interrogé et placé sous contrôle judiciaire, et elle salue ceux qui ont rejeté l’idée qu’il y avait un problème avec la technologie du véhicule, comme le ministre des Transports Jean-Baptiste Djebbari.Tesla, Orpea ou Korian, aucune différence au combat.
Un certain nombre de conditions préalables doivent être remplies avant que le crime d’abandon de famille puisse être considéré comme commis. Pour qu’il y ait défaut de paiement (3) et que ce défaut de paiement (4) soit intentionnel, (1) il doit y avoir une décision (2) qui prévoit une obligation familiale.
Un choix définitif. Le délit d’abandon de famille ne peut être défini sans la présence d’une provision alimentaire judiciaire. Un jugement, un accord légalisé, un accord de divorce ou de séparation, une copie notariée d’un acte, ou une convention à laquelle l’organisme délibérant sur la pension alimentaire ou la pension alimentaire a donné force exécutoire (pour les ex-conjoints ou partenaires de pacs) peuvent tous valoir comme décisions fixant des obligations alimentaires.
Veuillez noter que la décision doit être définitive (la procédure est sans appel) et exécutoire [4]. Il est donc nécessaire que le débiteur en soit conscient, ce qui implique généralement une explication linguistique via huissier.
Un devoir moral envers sa famille.La décision doit prévoir expressément une obligation familiale. Il peut s’agir de la distribution d’un bon d’alimentation. Il peut s’agir d’un enfant mineur ou majeur, mais il peut aussi s’agir d’un parent ou d’un conjoint.
Le plus souvent, il s’agit d’un paiement effectué par un parent à l’autre dans le cadre d’un accord de partage des frais d’éducation d’un ou de plusieurs enfants mineurs.Enfin et surtout, le devoir familial comprend tout acte de service ou de contribution financière.
Il peut s’agir de pensions alimentaires ou de pensions alimentaires pour enfants versées dans le cadre d’un règlement de divorce ou d’une autre obligation financière.Le montant de la taxe alimentaire et les modalités de son paiement sont précisés dans toute décision judiciaire (convention homologuée, accord amiable de divorce, jugement, etc.).
Il y a eu un défaut de paiement.Lorsqu’un délai de grâce de deux mois s’est écoulé et que l’obligation alimentaire n’a pas été pleinement honorée, un défaut de paiement s’est produit. Cela signifie que même en cas de paiement partiel, le délit d’abandon de famille peut être qualifié.
Veuillez noter que les paiements doivent être effectués directement au destinataire prévu et non par l’intermédiaire d’un tiers. En ce sens, il a été déterminé que le crime d’abandon de famille est exemplifié lorsqu’un père donne ses coupons alimentaires à l’un de ses enfants plutôt qu’à la mère de ces enfants.
Le tribunal précise que le prévenu a été reconnu coupable d’abandon de famille car “le versement de sommes d’argent à son fils Arnaud par l’intermédiaire de la créancière ne pouvait le dégager de son obligation de verser la pension par ces mains” et que “le les juges ont en outre ajouté que cette retenue répétée d’août 2001 à juin 2002, par les mains de Brigitte Y… de la pension fixée pour Arnaud alors qu’il était pleinement conscient de la nécessité de subvenir à ses besoins”
Même si le débiteur rembourse la dette après les deux mois, le crime d’abandon de famille peut être qualifié de crime [6]. Ainsi, une action en justice peut être intentée lorsqu’un paiement est en retard depuis deux mois.
En pratique, les paiements peuvent être effectués par virement bancaire ou par chèque (les espèces ne sont pas recommandées car il n’y aurait aucun moyen de prouver le paiement). Le défaut de paiement peut être démontré en montrant qu’il n’y a pas de crédit sur le compte bancaire du débiteur.
Défaut délibéré d’effectuer un paiement.Tout manquement à un engagement alimentaire doit être fait volontairement. Le débiteur doit être conscient de sa responsabilité légale mais choisir de l’ignorer.Cependant, si le débiteur ne peut pas effectuer le paiement en totalité en raison d’un quelconque obstacle physique, cette exigence n’est évidemment pas remplie.
Mais la loi a tendance à être plutôt dure quand il s’agit d’impossibilité matérielle. En règle générale, la force majeure peut être utilisée comme excuse, mais les paiements doivent toujours être effectués après la fin de l’incident.Mais la loi a tendance à être plutôt dure quand il s’agit d’impossibilité matérielle.
Enfin, précisons que le paiement d’une pension alimentaire a été priorisé par rapport à tous les autres frais.Pour la période couverte par l’arrêté de prévention, M. Z. percevait des revenus mensuels d’un total de 8 632 euros, et il estimait pouvoir faire face à toutes ses obligations alimentaires en privilégiant ses ressources.
Si la cour d’appel a renversé par erreur la charge de la preuve de l’insolvabilité du défendeur, sa décision ne devrait pas être critiquée.Typiquement, c’est le débiteur (celui qui a été lésé) qui engage des poursuites pénales afin de récupérer les sommes dues.
Si les conditions précitées sont remplies, la victime du non-paiement peut porter plainte auprès d’un commissariat ou d’une brigade de gendarmerie. Les pièces justificatives (sms, relevés bancaires, correspondance, etc.) doivent être présentées.
Vous pouvez également déposer une plainte auprès du procureur de l’État ou du gouvernement fédéral.Les citations directes peuvent être choisies si vous avez besoin de réponses rapidement. Pour éviter des procédures abusives ou interminables, le tribunal peut exiger une consignation sous la forme d’une somme forfaitaire avant de poursuivre une affaire.En raison de la nature technique de la procédure, il est conseillé.
