Rugbyman Frappe Sa Femme – Mohamed Haouas, pivot international du MHR, a été interpellé vendredi soir pour violences conjugales et détenu à la maison d’arrêt du commissariat central de Montpellier.Mohamed Haouas, joueur international des Eperviers de Montpellier (il devrait être transféré à l’ASM Clermont Auvergne pour la saison à venir), a été interpellé vendredi soir pour suspicion de violence conjugale et est actuellement détenu au commissariat central de Montpellier.
La nouvelle a d’abord été rapportée samedi matin par le quotidien sportif français L’Équipe, puis confirmée par une source proche de l’enquête : le joueur de l’équipe de France Mohamed Haouas a été interpellé vendredi soir à Montpellier par une équipe de CRS pour avoir prétendument agressé son coéquipier deux fois : une fois dans le centre-ville et une autre sur l’avenue Lepic près de l’avenue de Toulouse. Il semble que Mohamed Haouas était grincheux. Ce samedi prochain, il sera entendu sur les faits présumés.
A Lire, Trop, le rugbyman de 29 ans du MHR a été condamné à 18 mois de prison avec sursis l’année précédente pour cambriolage lors d’un meeting en 2014 et a comparu devant le tribunal le 12 mai pour violences volontaires au cours de la même année. Le 30 juin, il verra sa peine fixée. Le rugbyman fait face à de nouvelles contestations judiciaires.
Juge de relecture instantanée du lundi
Dès ce samedi après-midi, on sait que Mohamed Haouas sera déféré mardi devant le tribunal correctionnel pour une audience immédiate qui doit débuter à 14 heures. Ce n’est qu’une des nombreuses questions inscrites au rôle ce jour-là. Le joueur du MHR saura d’ici demain à 18h30 s’il est libre ou en détention ; le JLD passera l’appel après étude du dossier.
Scène d’un vol est également disponible à lire.Jeudi à 17h45, des témoins ont appelé la police après avoir constaté ce qu’ils croyaient être l’enlèvement des muscles d’une femme devant le complexe commercial Polygone en plein cœur de Montpellier, où travaille sa concubine. Il s’agissait d’allégations de violence domestique contre Mohamed Haouas, qui aurait fui les lieux avec sa concubine après l’avoir forcée à monter dans la voiture du couple.
Aucun des gémissements
Suivant les pistes fournies, une équipe de CRS a pu stopper la voiture du couple dix minutes plus tard avenue Lepic, non loin de l’avenue de Toulouse, et certifier qu’aucun enlèvement n’avait eu lieu. Cependant, le rugbyman a été appréhendé et placé en garde à vue. Leur collègue, qui n’avait jamais pris un jour de congé auparavant, a renoncé à porter plainte.
Plus de détails à venir. Selon La Provence, le demi-arrière de Provence Rugby Jonathan Ruru a été renvoyé au club après avoir été accusé d’avoir agressé la petite amie d’un de ses coéquipiers.Le club de rugby de Provence a de nouveau évoqué son nom.
Un an et demi après l’incident de Ludovic Radosavljevic, au cours duquel il a été suspendu 26 semaines pour avoir tenu des propos racistes envers le joueur de Nevers Christian Ambadiang, l’équipe d’Aix-en-Provence se retrouve au milieu d’un nouveau scandale.
Avec son successeur, Jonathan Ruru, 30 ans. Depuis le 2 décembre, le Maori All Black n’a plus été revu avec le club de Pro D2, apparemment en raison d’une blessure génitale. Cependant, La Provence affirme que la vérité est plutôt différente.Il a été violemment corrigé par un autre joueur aixois.
L’équipe de Pro D2 a remercié le demi-milieu, qui est largement considéré comme l’un des meilleurs joueurs de la ligue, pour avoir frappé la petite amie de son coéquipier. Après la trêve hivernale, les événements ont avancé. Une rencontre était prévue avec les conjoints et amis pour sonner la nouvelle année et renforcer les liens du groupe avant la prochaine manche du championnat.
Cependant, la situation a dégénéré lorsqu’un Jonathan Ruru ivre a attrapé la jeune femme par la gorge.Le geste du demi de mêlée a été violemment corrigé par un autre joueur aixois, qui a cassé la machette et le coude du demi. Il a été transporté à l’hôpital, où il a été opéré, puis transféré au Centre Européen de Rééducation par le Sport de Capbreton. Et il lui était toujours impossible de trouver une place dans l’équipe quelques semaines plus tard.
La direction de Provence Rugby, qui ne s’est pas prononcée à ce sujet, et le président Denis Philipon ont décidé de se séparer de leur joueur malgré le fait qu’il reste deux ans à son contrat. Ses avocats en contestent les raisons, affirmant que la soirée était organisée dans un cadre privé et non sportif, mais il a été convoqué pour un entretien de préparation à une licence.
L’ancien international du XV de rugby Marc Cecillon, à 59 ans, n’a pas éludé ses responsabilités lundi 10 septembre au tribunal correctionnel de Perpignan. Cette carcasse de 1,92 mètre de haut et de 110 kilogrammes a simplement brouillé ses excuses lorsque son patron l’a remarqué. Il était passé de la mêlée au poste d’ouvrier agricole dans les vignes P-O. Sur le banc civil, il les accepte le cœur gros, presque aussi triste que cet ouvrier dévoué.
Il a été condamné à vingt ans de prison en novembre 2006. Au tribunal, c’est un jeune homme de quatorze ans à Nîmes. Après sa libération conditionnelle en 2011, il a complètement cessé de parler de lui-même ; le rapport de son suivi judiciaire est impeccable.
Aucune peine de prison purgée
Mais Marc Cecillon ne le cache pas à la foule. Sa boisson problématique est l’alcool. Ce sera, promet-il, le dernier dérapage comme celui qui s’est produit il y a dix jours dans le quartier de Collioure un soir d’ivresse après les vendanges.
L’irrévérencieux Marc Cecillon. Son patron a décidé de le renvoyer chez lui dans sa propre voiture. Sur le chemin, cependant, l’ancien joueur de rugby trouve amusant de tirer sur les freins avec sa main. Le chauffeur lui ordonne de descendre, prévient ses compagnons et poursuit sa route vers la grotte. Où Marc Cecillon arrivera bientôt à pied et agape.
Il kidnappe son patron et quelques ouvriers, les charge tous dans une voiture et repart dans le 4×4 volé. Finalement, il est appréhendé et placé en garde à vue avant d’être transféré en détention provisoire pendant 48 heures et immédiatement présenté devant un juge pour comparaison. Thèmes : conduite imprudente (sans permis et à grande vitesse), violence d’une personne qui semble en état d’ébriété et consommation excessive d’alcool (volume).
Me Youssouf Sow, son avocat, a plaidé grâce, et le tribunal présidé par René Scognamiglio l’a libéré de prison après qu’il eut été condamné à 350 euros d’amende, douze mois de prison (dont six devaient être purgés avec sursis), et deux ans d’essais. Fourni avec le devoir de prendre soin, de travailler et de réparer le tort.
Les faits se sont déroulés les 3 et 4 décembre, à la sortie d’une discothèque de Biarritz. Le journal Sud Ouest rapporte qu’un joueur de l’Aviron Bayonnais, qui se trouvait alors avec des amis, était visiblement ivre. La jeune femme a affirmé que l’homme de 29 ans lui avait causé des blessures à caractère raciste. Il a également uriné devant les clients de la discothèque.
Les tireurs d’élite l’ont finalement jeté dehors. La victime et ses amis quittent finalement l’établissement nocturne un quart d’heure plus tard. C’est là que les choses commencent à mal tourner, selon eux. Le plaignant réclame 23 000 euros.
Le joueur de rugby ressasse ses insultes précédentes. Une autre jeune femme reçoit un gifle après que le volume ait augmenté et que le pilier ait été utilisé. Heureusement, il n’y a pas de conséquences physiques graves du coup. La victime n’a pas été observée en train de demander une incapacité temporaire de travail (ITT), bien qu’elle ait affirmé souffrir de détresse psychologique depuis un certain temps.
Elle porte plainte pour agression. Convoqué au commissariat de Biarritz, l’auteur reconnaît avoir menti. Cependant, il nie le caractère racial des blessures. Selon les informations de France Bleu, le tribunal a décidé de ne retenir le gifle que faute de preuves.
Il réduit la gravité à une simple violation des normes. Le joueur de l’Aviron Bayonnais sera libéré pour une composition pénale, une batterie de sanctions décidées par le procureur sans que le joueur n’ait à passer devant un juge.
Il pourrait s’agir d’une amende pécuniaire et de conditions telles que la participation à un programme obligatoire d’éducation ou de sensibilisation. Selon les informations dont nous disposons, la victime réclame des dommages et intérêts d’un montant de 23 000. La situation pourrait toutefois ne pas rester inchangée.
Selon Sud Ouest, la jeune femme qui aurait subi une agression à caractère raciste a déposé une plainte officielle concernant l’incident lundi dernier, deux semaines après qu’il se serait produit. Une plainte dont ni la police de Biarritz ni la promenade de Bayonne n’avaient connaissance à cette heure.
Il n’a pas encore répondu officiellement à l’Aviron Bayonnais Rugby Pro. Comme ce fut le cas en août dernier avec Antoine Battut, entraîneur adjoint, accusé d’avoir agressé une infirmerie de la Clinique Aguiléra de Biarritz, le club pourrait prendre des mesures disciplinaires. Avant son procès pour violences conjugales mardi à Montpellier, la star du rugby Mohamed Haouas a dormi derrière les barreaux.
Le juge a décidé de le placer en détention provisoire, a indiqué l’avocat du joueur, Marc Gallix. Après que sa femme a été agressée dans une voie publique de Montpellier, la police l’a placé en cellule de détention vendredi soir. L’avocat a précisé les types spécifiques de violence que cette personne n’a pas signalés.
Marc Gallix a admis que Mohamed Haouas « a des antécédents judiciaires » avant de dire : « Le défi majeur de lundi, c’est que je réussisse à le faire sortir de prison ». Le joueur du MHR devra faire face à un procès immédiat devant le tribunal correctionnel de Montpellier, où il pourrait être condamné à une peine pouvant aller jusqu’à trois ans de prison.
“Il en a fait une balayette”
Sachant que la liste des 42 joueurs retenus pour la Coupe du monde devrait être dévoilée le 21 juin, le colosse montpelliérain (1,85 m, 123 kg), qui rejoindra le club de Clermont à la reprise prochaine pour trois saisons, pourrait voir ses chances de par.
