Reda Kateb Maladie

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Reda Kateb Maladie – Depuis le 19 janvier 2022, un nuage sombre plane sur l’industrie cinématographique. Aujourd’hui, l’acteur Gaspard Ulliel, 37 ans, deux fois lauréat du prix Céline, est décédé dans un accident de ski. La veille au soir, sur le domaine skiable de la Rosière en Savoie, l’acteur qui avait incarné Yves Saint-Laurent sur grand écran avait percuté un autre skieur à l’intersection de deux pistes bleues.

Incohérent et allongé au sol après l’accident, il a été pris en charge par les secours et transporté par avion au CHU de Grenoble. Les médecins n’ont pas pu sauver l’acteur. Depuis, la mort de Gaspard Ulliel, son public et un grand nombre de célébrités lui ont rendu de nombreux hommages sur les réseaux sociaux.

Des personnalités comme Guillaume Canet, Jean Dujardin, Alexandra Lamy ou encore Reda Kateb se sont prononcées sur le décès de l’acteur. L’acteur est apparu dans l’émission Popopop d’Antoine de Caunes sur France Inter le 19 janvier 2022, pour promouvoir sa prochaine photo, dans laquelle Isabelle Huppert joue également.

Reda Kateb (aujourd’hui 44 ans) est un nom connu du cinéma français, mais avant sa percée dans Un prophète de Jacques Audiard, il a fait face à des années d’incertitude. Dans le podcast L’argent de poche signé SoFilm, l’acteur revient sur l’époque où les huissiers frappaient fréquemment à sa porte.

Les étoiles ne naissent pas, elles sont faites. Le succès est venu tardivement pour l’acteur Reda Kateb, qui avait plus de 30 ans lorsque son rôle dans Un prophète de Jacques Audiard (2009) est devenu un succès critique.

Depuis, il est devenu une figure incontournable du monde du cinéma ; il a remporté le César du meilleur acteur masculin dans un second rôle en 2015 pour sa performance dans Hippocrate, et il est apparu dans de nombreuses productions françaises acclamées, dont Le Chant du loup, Hors normes et la série télévisée En Thérapie. Il a également été membre du jury de la 14e édition du Festival du Film Francophone d’Angoulême cette année.

L’humoriste a connu des débuts difficiles, mais il a gardé la tête haute, n’a jamais perdu espoir et a effectué plusieurs petits boulots pour joindre les deux bouts jusqu’à ce qu’il soit reconnu.

Il a travaillé comme animateur pour enfants, boulanger, projectionniste et représentant du service à la clientèle pour une grande compagnie de téléphone (une expérience qu’il a partagée à l’époque avec un autre acteur en herbe, Medi Sadoun), donc Reda Kateb n’a pas eu peur de mettre ses manches retroussées en attendant le rôle qui allait enfin le faire sortir.

Les blanchisseurs sont passés chez moi.Reda Kateb, qui a récemment fait la une des journaux pour avoir publié un message d’attaque cinglant contre Roselyne Bachelot et affirmant ne pas être devenu trop grand pour sa culotte après son succès (il a dit, “je sens bien le sol sous mes pieds”), s’est ouvert sur son années de galère extrême dans le premier épisode du podcast signé SoFilm L’argent de poche. En raison de la précarité de ma situation, j’ai souvent ressenti un sentiment d’urgence.

Je n’avais aucun équipement de sécurité, pas même un parachute ou une ceinture de sécurité. Sur la base de ses représentations sur scène, ndlr, je gérerais le téléphone ou gérerais moi-même les manœuvres. Mais j’ai vraiment pensé que; Je m’en voulais. Je croyais en un avenir meilleur. Je n’ai pas pensé aux coquines qui viendraient chez moi et essaieraient de se servir de ce que je n’avais pas.

J’ai pris ma télévision et mon microscope à côté quand ils sont venus. L’acteur poursuit, “Je n’étais pas du tout abattu, ni figé de peur après avoir révélé qu’il avait passé les 17 dernières années de sa vie à vivre dans un appartement de deux chambres en ville. Ce n’est que lorsque j’ai atteint la trentaine que j’ai admis que l’incertitude pouvait en fait s’avérer utile.

Et ce n’est qu’à ce moment-là que les choses ont vraiment commencé à s’ouvrir pour moi dans le monde du théâtre.Conscient de la bonne fortune qu’il a connue via son association avec Un prophète, il poursuit, la tête bien plantée sur les épaules.

Je suis dans un métier où tout reste précaire, même si aujourd’hui on m’a donné un statut, ça les choses se passent très très bien depuis plusieurs années… Je ne peux pas te donner de garantie quant à l’avenir… Mais je laisse mon enthousiasme mener le bal, continuer sur ses bons débuts est tout ce qui pourrait mal tourner pour elle.

Reda Kateb Maladie

Son nom révèle quelque chose, c’est certain. Reda Kateb est l’un des acteurs les plus convaincants de sa génération, passant sans effort d’un rôle à l’autre. Cet homme de 42 ans continue de briller sur grand écran avec des rôles dans “Un prophète” (Jacques Audiard, 2009), “Hippocrite” (Thomas Lilti, 2014), “Django” (Etienne Comar, 2017).

Réda Kateb est actuellement à l’affiche du dernier film d’Olivier Nakache et Eric Toledano, intitulé “Hors Normes”, aux côtés de Vincent Cassel, et il nous montre une fois de plus toute l’étendue de son talent. Voici cinq faits (indispensables) à son sujet que vous devez apprendre.

À l’âge de huit ans, il a pris la décision de poursuivre une carrière dans la comédie. Après 30 ans d’efforts, il est enfin prêt à abandonner. A 42 ans, il est l’un des acteurs les plus demandés de l’industrie. Hors normes, il s’impose sur la nouvelle affiche Toledano-Nakache, et c’est une démonstration émouvante d’honnêteté.

« Es-tu toujours aussi calme qu’avant ? Pas toujours mais assez souvent, en effet Ses paroles se fondent en un large sourire. Reda Kateb nous a donné rendez-vous au Café Français à Paris. Fils d’un acteur algérien et d’une infirmière française d’origine tchèque et italienne, il admire l’idée de la citoyenneté comme quelque chose “qui appartient pleinement à tous ceux qui ont la carte d’identité”.

Sa voix est douce, ses pensées vagabondes et son regard aussi – et pas seulement à cause de l’œil droit qu’il aperçoit rarement et qui lui échappe souvent. Sombres et minuscules, ils dégagent une ambiance asiatique, mais ils peuvent s’ouvrir et s’égayer avec un vert berberis.

Le fait qu’il ait inspiré tant de portraits de méchants au cinéma (de la série Engrenages, qui l’a exposé, aux films Un prophète de Jacques Audiard et Zero Dark Thirty de Kathryn Bigelow) témoigne de la force de son personnage.

Cependant, il suffit d’un mouvement imperceptible pour qu’il brille d’une beauté juvénile. Reda Kateb dégage un air lyrique. Une méthode pour s’évader tout en restant pleinement présent. Les thèmes de l’affaire s’harmonisent bien avec ce bavard décontracté, dont le nom se traduit littéralement par “écrire” en arabe.

Reda Kateb : C’est vraiment l’expérience de l’autre personne dans la discussion. Parfois, on a l’impression que l’autre personne ne vous écoute que pour pouvoir intervenir et changer complètement de sujet. Au contraire, je crois que « écouter honnêtement » vient en premier lorsque l’on essaie de communiquer honnêtement.

Cela peut sembler élémentaire, mais dans le monde trépidant d’aujourd’hui, où les gens se soucient beaucoup de la façon dont ils sont perçus par les autres, je pense que c’est d’autant plus précieux. La place établie de Reda Kateb dans le cinéma français n’est plus un secret.

Reda Kateb montre sa polyvalence en incarnant le célèbre musicien Tzigane Django Reinhardt dans un nouveau rôle sorti le 3 avril 2017. Voici comment il est représenté :ADN artistique. Malek-Eddine Kateb Sr. est comédien et co-fondateur, avec son cousin Mustapha Kateb, du Théâtre national algérien. L’oncle de son grand-père, Kateb Yacine, est poète, romancier et dramaturge. En arabe, « kateb » signifie « écrire ».

TÊTE Nécessite une enquête plus approfondie. Terroriste dans “Zero Dark Thirty” de Kathryn Bigelow, goujat dans la série télévisée française “Engrenages”, taulard dans “Un prophète” de Jacques Audiard, de nouveau prisonnier dans “Qu’un seul tienne et les autres suivront”, etc. J’ai été dans toutes les prisons du monde, sourit-il.

PREMIER SOUCIEUX.Sa carrière s’accélère depuis 2012. Et son CV s’étoffe : on a d’abord rencontré le sociologue dans “Gare du Nord” de Claire Simon, et dans “Hippocrate”, il sera médecin.SOURIRE Malade. Il s’est mis aux planches pour la première fois alors qu’il n’avait que huit ans, mais il a dû attendre d’avoir trente ans avant de pouvoir en vivre.

Il a tout fait, du télémarketing à l’animation de fêtes d’enfants en passant par l’entretien afin de rembourser ses dettes. Je ne me suis jamais sentie aussi déconnectée de mon personnage vigilant “Qui vive” (2). Je sais ce que c’est que de vivre dans une telle incertitude parce que j’y suis allé.

TROUVER Crédible Acceptable. Bien sûr, il y a le visage de ce boxeur torturé, mais ce qui ressort vraiment, c’est le regard triste et perspicace dans ses yeux. Quel personnage ! Au cours de leurs premières tentatives, Kathryn Bigelow aurait déclaré: “Je le veux, je le veux.” Même Ryan Gosling le voulait pour son premier long métrage de 2015, “Lost River”. Et vous l’apercevrez peut-être aux côtés de Viggo Mortensen sur l’affiche “Loin of Men”.

COURSES MÉLANGÉES.Bien qu’ayant un père algérien et une mère tchèque et italienne, il s’identifie comme “complètement français” et ne pense pas qu'”être français” soit intrinsèquement méritant.ATTENDEZ-VOUS, Parigot. Il porte un casque, fume des cigarettes en roulant, a une fine moustache et parle avec un fort accent parisien. S’il était parti.

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