
Rachida Dati Enfant – Alors que Rachida Dati n’a jamais divulgué au public le nom du père de sa fille Zohra, le Point précise sur son site qu’il s’agirait de Dominique Desseigne, PDG du groupe Lucien Barrière. Alors que l’ancien garde des Sceaux s’est toujours refusé à dévoiler le nom du père de sa fille Zohra, née en janvier 2009, le journal Le Point insinue sur son site Internet qu’il s’agit de Dominique Desseigne, PDG du groupe d’hôtels de luxe et de casinos. Lucien Barrier.
Une information, qui pourtant selon lepoint fr aurait été confirmée par une porte-parole du groupe Lucien Barrière. Quant au futur père de Zohra”. Je n’ai aucune déclaration à faire, sinon la justice me le reprocherait”, a-t-il déclaré à la publication. Si l’affaire fait la Une de plusieurs médias, l’ancien Garde des Sceaux conteste l’information publiée par le Point.
Depuis la naissance de sa fille le 2 janvier 2009 à Paris, l’actuelle maire UMP du 7e arrondissement a toujours mis un point d’honneur à garder le secret sur le père de sa fille. Grands patrons, animateurs, journalistes. De nombreuses identités ont été évoquées lors de la naissance de la jeune Zohra, sans jamais avoir de preuves substantielles pour déterminer l’identité du papa.
Rachida Dati Enfant: Zohra Dati
Parmi les noms publiés à l’époque par la presse, celui de Dominique Desseigne, qui avait alors démenti l’information. Interviewée par Elle fr en janvier dernier, Rachida Dati est revenue sur l’accent qu’elle mettait sur le secret de sa vie personnelle. Une volonté à laquelle les médias ne semblent pas vouloir se plier.
Le tribunal a tranché. Le PDG du groupe de casinos et d’hôtels Barrière a choisi de contester ce verdict, selon la chaîne d’information en continu. En novembre 2012, Rachida Dati avait assigné Dominique Desseigne en reconnaissance de paternité. Il a notamment relevé que l’ancien garde des sceaux n’avait pas fourni “assez d’éléments précis sur la période de conception” de l’enfant, comme des échographies par exemple.
Un rejet qui a permis aux tribunaux de trancher en considérant qu’il s’agissait d’un aveu de paternité. En octobre 2013, Rachida Dati a demandé une pension alimentaire d’un montant de 6 000 € par mois, selon VSD. Un chiffre que Dominique Desseigne a toujours refusé de payer.
“6.000 euros pour un enfant de cet âge (4 ans et demi à l’époque, ndlr), c’est du jamais vu”, avait alors affirmé l’avocate du PDG, Me Michèle Cahen. Le tribunal de grande instance de Versailles est allé dans le sens de l’ancien garde des sceaux, recalculant toutefois la somme à verser.
L’homme d’affaires a en réalité été contraint de verser une pension alimentaire d’un montant de 2 500 € par mois, exigible rétrospectivement à partir de décembre 2013. Rachida Dati s’est confiée sur son récit dans l’émission ‘Une Ambition intime’ face à Karine Le Marchand, ce dimanche 7 novembre.
L’ancienne ministre de la Justice est notamment revenue sur sa grossesse qui a tant fait parler, l’occasion de dénicher des images inédites avec sa fille Zohra. Un duo mère et fille très discret. Face aux caméras de l’émission Une ambition intime diffusée sur M6 Rachida Dati s’est ouverte sur sa grossesse ce dimanche 7 novembre.
Je discutais constamment. J’ai fait des réunions où je suis resté debout pendant des heures. Je n’ai pas ralenti le rythme ni diminué mes activités”. Mais le 2 janvier 2009, Rachida Dati est devenue maman d’une toute petite Zohra, qu’elle a baptisée en l’honneur de sa mère.
Depuis ce jour, la femme politique se fait très discrète sur sa fille unique. Bien que le nom de la mère et de la fille ait défrayé la chronique à cause du supposé père de cette dernière. En effet, le jeune enfant a été conçu d’une liaison avec Dominique Desseigne, un homme d’affaires.
Mais avant que la justice ne tranche grâce à un test de paternité, des rumeurs parlaient d’une liaison avec Nicolas Sarkozy, le président de l’époque. Après les revendications, Rachida Dati a protégé sa fille en la gardant à l’écart des projecteurs.
Sauf que sa réputation inattendue a eu un impact sur la scolarité de Zohra. L’homme politique a notamment partagé une anecdote sévère : “J’ai essayé de la protéger de ça, mais elle a vécu toute sa scolarité primaire.
