Pierre Louis Baudey-Vignaud Parents

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Pierre Louis Baudey-Vignaud Parents – Lorsque la mère de Pierre-Louis a été assassinée en Irlande en 1996, il n’avait que 15 ans. Avant le procès du meurtrier présumé, nous l’avons rencontré. Pierre-Louis Baudey-Vignaud, gestionnaire de fonds immobiliers de 38 ans, se rendra cet été à Toormore, un village du comté de Cork, en Irlande, avec sa femme et ses enfants.

Sa mère, Sophie Toscan du Plantier, épouse de l’éminent producteur de cinéma Daniel Toscan du Plantier, y a été brutalement tuée dans la nuit du 22 au 23 décembre 1996, et sa maison reste perdue dans la lande balayée par les vents.

A l’âge de quinze ans, Pierre-Louis Baudey-Vignaud perd sa mère. Depuis, il n’a pas quitté cette côte sauvage qu’elle adorait encore plus qu’avant. Malgré le fait que Ian Bailey, l’homme que les autorités soupçonnent d’avoir commis le crime depuis 22 ans, était présent et extrêmement proche.

A la cour d’assises de Paris, il vient d’être reconnu coupable par défaut (le verdict n’a pas été rendu à l’heure où j’écris ces lignes). Même s’il avait fait l’objet de deux mandats d’arrêt européens par l’Irlande, l’ancien écrivain indépendant, qui mesure désormais 1,90 m, vivait pourtant avec sa compagne à moins de cinq kilomètres du domicile de Sophie Toscan du Plantier à La Prairie.

« La maison de ma mère est le seul lien entre moi et mes enfants. » Du coup, Pierre-Louis Baudey-Vignaud est prêt à accepter la chance de le rencontrer.

Il a rencontré Ian Bailey quatre fois au cours des dernières années. Avec ma fille et mon fils, j’ai mangé des crêpes au village il y a un an. Je devais garder mon calme devant les enfants. Pour une raison quelconque, malgré le fait qu’il soit un reclus, je l’ai trouvé vraiment agressif.

Le principal suspect, Pierre-Louis Baudey-Vignaud, attend ce procès depuis vingt ans, cultivant le souvenir de sa mère et se souvenant de ces moments heureux avant que son insouciance d’adolescent ne lui soit volée. La justice irlandaise ne l’a jamais inculpé et il a toujours contesté la capacité des magistrats français à le juger. Comment pourrait-il en être autrement après tant d’années de réflexion et de réexamen ?

Pierre Louis Baudey-Vignaud Parents

Le gentleman discret qu’il a toujours été choisit ses mots avec soin et maîtrise sa voix dans ce café parisien où il nous attend à une table du fond, à l’abri des regards. Contrôlez vos émotions pour ne pas vous laisser emporter par elles. Son ton est confiant.

Pour lui, retourner à Toormore était un choix facile. Cependant, le corps de Sophie Toscan du Plantier, 39 ans, a été retrouvé au portail ouvert menant à la résidence le 23 décembre 1996. Au lendemain de l’attentat, son visage avait été mutilé, et ses beaux cheveux blonds étaient trempés. en sang.

Ses mains et ses bras portaient les cicatrices de la bataille. Le bas de son corps avait été lacéré par les ronces. Avant de se précipiter dans le jardin, elle avait clairement ouvert la porte à son agresseur. Il a été trouvé sur la table de la cuisine, avec un pot de miel sur le dessus pour indiquer la page en cours.

Pierre Louis Baudey-Vignaud Parents : Sophie Toscan du Plantier

Pierre-Louis Baudey-Vignaud, s’appuyant sur l’acte d’accusation produit en 2018 par Patrick Gachon, n’a aucun doute sur la culpabilité de Ian Bailey, malgré l’absence de preuve du policier scientifique reliant ce dernier à la scène du meurtre. Comme le souligne le fils de la victime , “S’il n’y a pas d’éléments incriminants en eux-mêmes, l’ensemble des preuves concordantes laisse d’emblée perplexe.”

Le lendemain du meurtre, Ian Bailey s’est présenté avec une lacération au front et des égratignures aux mains que les témoins ont décrites comme étant causées par des ronces. Qu’il n’ait pas passé la nuit chez sa compagne était un mensonge.

Il a également tenté de vendre à la presse locale des photographies de la scène du crime obtenues avant l’arrivée de la police et des informations sur les circonstances du meurtre, que les autorités n’ont jamais divulguées, à des journalistes.

A trois reprises devant témoins, dont des clients d’un bar où il buvait, il a avoué être le meurtrier, mais jamais devant la police. C’est une affaire d’État en Irlande, et tout le monde connaît cet homme », explique maître Alain Spilliaert, le

Depuis, Toormore, une ville d’un peu plus d’un millier d’habitants, vit au rythme du dossier. Chaque année, Pierre-Louis Baudey-Vignaud fait une messe pour sa mère, lorsqu’il prend la parole à la clôture de l’office pour rappeler à l’assemblée qu’un meurtrier (présumé, ndlr) habite à moins de 10 kilomètres.

A pied, la résidence de Ian Bailey est à environ 40 minutes de la maison de Sophie Toscan du Plantier. Ian Bailey est né et a grandi à Manchester, en Angleterre, et vit à New York depuis 1991 avec son partenaire, un peintre local, Jules Thomas. « Même si je sais où le trouver, je ne me ferai pas justice moi-même », confirme Pierre-Louis Baudey-Vignaud.

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