
Philippe Noiret Jeune – Philippe Noireti est l’un des monstres sacrés du cinéma français, avec plus de 120 films à son actif, grâce à sa classe toute britannique et sa phrase traînante particulière. Philippe Pierre Fernand Noiret est né dans une famille de riches commerçants et a fréquenté le lycée Janson de Sailly, où il a été un brillant mannequin (il a échoué trois fois au baccalauréat).
Lorsqu’il rejoint la troupe du TNP en 1953, il découvre ses premières réalisations au théâtre, qui est sa véritable passion. Il y a interprété les airs classiques les plus populaires pendant sept ans.
Il y rencontre Monique Chaumette, comédienne, et ils se marient en 1962. Parmi leurs enfants se trouve Frédérique Noiret, qui devient par la suite assistante à la réalisation et scénariste. La Pointe courte d’Agnès Varda lui donne son premier rôle au cinéma dans les années 1960 Zazie dans le métro de Louis Malle, lorsqu’il incarne l’oncle Gabriel.
Il s’est fait connaître en tant qu’acteur de soutien dans le cinéma français au cours de cette période, mais uniquement à la suite de rôles de soutien. La Vie de château de Jean-Paul Rappeneau est le premier film qu’il réalise presque entièrement seul en 1965.
Un film d’Yves Robert de deux ans, Alexandre le Bienheureux, l’a rendu célèbre, faisant de lui un nom connu dans l’industrie cinématographique française. En 1973, le Festival de Cannes est secoué par une polémique autour de cette comédie irritante.
Mes chers amis de Mario Monicelli et Forget Palermo de Marco Ferreri et Francesco Rosi sont deux de ses œuvres les plus populaires en Italie. En 1975, avec Le Vieux Fusil de Robert Enrico, il remportera le César du meilleur acteur pour son rôle de veuf qui tue les cruels soldats allemands de Romy Schneider.
Sa première collaboration avec un réalisateur est sur le film L’Horloger de Saint-Paul, sur lequel il travaille avec Bertrand Tavernier à cette époque. Après cela, lui et Tavernier sont devenus des amis proches et ont travaillé ensemble pendant des années.
Bertrand Tavernier, le producteur de L’Horloger de Saint-Paul, lui fait découvrir d’autres films, dont Que la fête commence (1975) et Le Juge et l’assassin (1976). Après cela, lui et Tavernier sont devenus des amis proches et ont travaillé ensemble pendant des années.
Let the Party Begin était l’un des films sur lesquels ils ont travaillé ensemble (1975). Il rencontre Bertrand Tavernier, qui l’aide à développer son premier tableau L’Horloger de Saint-Paul. Après cela, lui et Tavernier sont devenus des amis proches et ont travaillé ensemble pendant des années.
Que la fête commence (1975), Le juge et l’assassin (1976), Coup de torchon (1981), et La vie et rien d’autre pour lequel Philippe Noiret a obtenu son deuxième César du meilleur acteur en 1990 sont quelques-uns des films sur lesquels ils ont travaillé. ensemble..
La fille d’Artagnan (1994). Dans les années 1980, il s’est fait un nom en tant que projectionniste dans des films mondialement acclamés, dont Cinema Paradise de Giuseppe Tornatore et The Postman de Michael Radford, dans lequel il incarne l’artiste chilien Pablo Neruda en exil.
L’Africain de Philippe de Broca et Fort Saganne d’Alain Corneau comptent parmi ses rôles marquants. Il co-écrit avec Thierry Lhermitte en 1984 la trilogie Ripoux de Claude Zidi ou les exploits de deux flics véreux.
Ripoux contre ripoux sortira en 1990, suivi de Ripoux 3 en 2003. En 1996, il retrouve de vieux copains Jean Rochefort et Jean-Pierre Marielle dans Les Grands Ducs de Patrice Leconte. Michel Boujenah de Père et Fils l’avait dirigé dans 3 Amis en 2006, ce qui lui donnait l’air épuisé.
Il a succombé à un cancer à la fin de l’été de sa vie. Philippe Noiret entame une formation théâtrale après plusieurs échecs au baccalauréat et intègre en 1953 le Théâtre National Populaire sous la direction de Jean Vilar.
Au bout de ses sept années là-bas, il épouse l’actrice Monique Chaumette qu’il avait rencontrée dans le groupe ; ils ont eu une fille ensemble en 1962. Il forme également un duo de cabaret comique avec Jean-Pierre Darras, bien loin des pièces du NPT.
En 1956, il joue pour la première fois dans La Pointe courte d’Agnès Varda, mais ce n’est qu’en 1960 qu’il revient au grand écran dans Zazie dans le métro de Louis Malle. Après avoir joué dans Thérèse Desqueyroux de Georges Franju en 1962, Philippe Noiret enchaîne les seconds rôles avant de se faire un nom dans La Vie de château de Jean-Paul Rappeneau.
Ce n’est qu’en 1967, lorsque Alexandre le Bienheureux d’Yves Robert le fait connaître des connaisseurs et du grand public, qu’il peut se consacrer pleinement au cinéma et délaisser la scène.
