
Philippe Campion The Voice – Le premier titre lyriquement tourmenté de Philippe Campion est l’expression de son amour sans fin pour la musique et d’un amour maudit. Cet auteur-interprète-compositeur porte en lui la mélancolie innée des voyageurs dont il est issu.
la mémoire” et “emballe le refrain” de “Il y a ces années.” Il s’agit du premier single de leur prochain album 2022, qui sortira sous le label tôt Ou tard. Des chansons, des albums et des artistes qu’Emmanuel Moire apprécie et souhaite partager avec ses followers sur les réseaux sociaux.
Slimane apparaît comme un ange blessé dans un champ de fleurs sauvages, ses ailes non souillées par le sang. L’image de l’album décrit bien le chagrin et le désespoir qui sont au cœur de nombreuses chansons ici.
Les flèches de l’ange Slimane nous frappent en plein ventre dès la première écoute ; comment pourrions-nous tenir et ne pas tomber amoureux de ses 19 chansons, de ses 19 histoires que nous pouvons nous approprier et qui illumineront nos esprits et nos vies pour longtemps ?
Les mains du temps ont laissé leurs empreintes dans l’écriture, la voix et l’interprétation de Slimane, ainsi que dans la créativité géniale du trio musical qu’il forme avec ses frères Yaacov et Meir Salah.
Slimane, un enfant de la ville, du monde et de la lune, chante les joies et les déchirements de l’amour, du désir, de la parentalité et de la famille, ainsi que des problèmes sociaux plus larges dans des chansons comme “Les roses du bois de Boulogne”, sur une jeune femme qui espère un avenir meilleur.
Quoi de mieux pour fêter ses 30 ans que de sortir son premier album ? Quand Philippe Campion nous joue pour la première fois “These Years”, le premier titre d’Éternel été, on pleure. Une chanson d’amour qui sert de tremplin à un album consacré uniquement à être aimé.
Un album né d’une rencontre inoubliable que ce jeune auteur, compositeur et interprète raconte en onze chansons qui vont droit au cœur. Un journal écrit avec nostalgie sur l’amour, les souvenirs, les regrets, l’absence, le bonheur perdu et l’espoir que tout recommencera un jour.
Philippe Campion pleure cette période de sa vie, qu’il décrit comme « remplissant son existence comme jamais », et nous raconte pourquoi elle a été si importante. Une histoire d’amour dont on aurait facilement pu se moquer.
D’ailleurs, on y croit, et elle nous emporte avec des chansons évocatrices et nuancées qui intègrent un large éventail de styles musicaux des années 1970, de l’orchestre à cordes au piano.
Autant de lettres et de messages envoyés dans l’océan des mots bleus, comme l’a dit un jour un brave chanteur. Dans le rôle principal, une voix qui plane sur des mélodies romantiques à la Michel Legrand. C’est rafraîchissant d’entendre la musique d’un interprète qui n’a pas peur de chanter.
Montréal est l’endroit où Marilyne Léonard a mis les pieds pour la première fois. Ancienne candidate de la version canadienne de The Voice, La Voix, la chanteuse de 21 ans a sorti une mixtape (un recueil de chansons) dans laquelle elle chante sa vie compliquée. Sur “Vie d’Ange”, elle impose sans vergogne son style signature, sa voix et son interprétation teintées d’un détachement cool.
Un album de huit titres (dont “Seule”, “Vie de rêve”, “Quand tu parles”, etc.) au rythme hip-hop groovant, introduit par le titre “Mirage” et ses arrangements instrumentaux éthérés et romantiques. La chanson “Honey” parle d’une rupture, alors que la chanson “La Foule” parle de son amitié avec ses amis : “C’est une sorte d’introspection, de journal intime.
Il y a aussi “Nine to Five”, dans lequel Marilyne exprime ses émotions d’une manière inspirante et sincère. Mais c’est avec l’efficace « Bateaux » qu’elle capte notre attention et nous entraîne dans son univers, où elle évolue entre moments de joie et de spleen qui courent dans ses veines : « /a fait 3 bateaux, bateaux qui prennent l’eau/ A chaque fois j’ai l’impression d’un déjà-vu/Mon flux comme un pansement huileux sur la peau/C’est bon mais ça ne fait que cacher les blessures/». L’album “Vie d’Ange” est une montagne russe émotionnelle. , un ragoût tumultueux de chagrin et de blues qui fonctionne comme un breuvage.
Le nouveau troisième album de Cécile Hercule est une belle union d’expression poétique et de sentiment nostalgique. On y voit de la neige tomber du ciel parisien, et l’on perçoit des notes de solfège et de jasmin ainsi que d’autres senteurs florales en chemin vers un duo léger et gourmand avec Tim Dup.
Un album qui envoûte par ses douces atmosphères et l’humour décalé de son interprète, nous transportant dans un monde où littérature et cinéma se confondent. La chanteuse lyonnaise a partagé son amour des aventures en groupe (elle a fait partie du groupe Mickey 3D dirigé par Michael Furnon) et le plaisir de donner aux autres. Par exemple, écoutez Ours et Oldelaf interpréter “The Silence” ou “Et toi tu m’aimes” avec un accompagnement de ukulélé.
Un grand nombre de ses chansons incluent un langage plein de pensées mélancoliques qui invitent à la rêverie, et dans ces chansons, elle partage ses sentiments avec délicatesse. Une œuvre sincère et pleine d’humour qui pourrait bien être le chant du cygne de Cécile Hercule.
