
Olivier Dacourt Fils – Le dernier documentaire d’Olivier Dacourt s’intéresse au plus proche des grands sportifs français : la progéniture des sportifs. Dans Papa, l’ancien milieu de terrain de l’équipe de France et actuel conseiller de Canal + Marc Savourel leur donne la parole et les interroge sur les enjeux de grandir avec un champion.
“Partager” avec son papa”
Les pères célèbres pour leurs exploits sportifs ne facilitent pas toujours la tâche de leurs enfants. Joakim Noah et Tewin Dacourt, les fils d’Oliver Dacourt, ont dû “partager” leur célèbre père avec d’autres personnes à l’école et dans d’autres contextes quotidiens, et la pression a parfois été difficile.
Le documentaire fait allusion à un héritage sportif transmis par des générations de champions. D’autres ont eu du mal à atteindre leur plein potentiel dans le sport qui a fait leur renommée, contrairement à Iliana Rupert (basket) et Romain N’Tamack (rugby), qui ont suivi les traces de leur père sans se sentir obligés de le faire.
Yannick et Joakim Noah font un bon travail pour expliquer les difficultés de Joakim au tennis et pourquoi il a finalement décidé de passer au basket. vie rose des enfants d’athlètes professionnels. Le consultant de l’équipe de football de la chaîne cryptée a proposé un nouveau documentaire sur les enfants de champions qui ont décidé de suivre les traces de leurs parents, et il sera présenté en première le 21 novembre.
Après ses deux précédents documentaires, “Ma part d’ombre” et “Je ne suis pas un singe”, Olivier Dacourt vient de terminer un troisième film avec son collaborateur de longue date Marc Sauvourel. Le documentaire “Papa”, diffusé sur Canal+ le 21 novembre à 21h15 GMT, met en lumière les enfants de champions qui se livrent sur leur éducation hors du commun, notamment sur les joies et les épreuves qu’ils ont endurées ainsi que sur leur désir de continuer dans les pas de leurs parents.
C’est ainsi qu’Olivier Dacourt a rencontré non seulement Joakim Noah et Oran Djorkaeff et Iliana Rupert et Giuliano Alesi et Romain Ntamack, mais aussi son propre fils Tewin Dacourt. Il a également rencontré des pères inquiets comme Yannick Noah. L’ancien footballeur a pleinement confiance dans cette dernière tentative.
TV MAGAZINE : D’où vient le film “Papa” ?
Auteur : Olivier DACOURT – L’inspiration pour ceci est venue d’une conversation que j’ai eue avec mon fils. La dynamique “père-fils” est bien comprise, mais l’expérimenter de première main est un jeu de balle entièrement nouveau.
Parce qu’il est le premier et aussi parce qu’il a suivi mes traces jusqu’à Strasbourg, mon fils majeur a beaucoup souffert. Donc, ce film avait une sorte de message pour mon fils de 16 ans. Je voulais qu’il sache que je suis fière de lui, peu importe ce qu’il accomplit, mais surtout depuis qu’il est mon fils. Les parents veulent une progéniture bilingue et multiculturelle.
Toi et ton fils Tewin êtes filmés ensemble. Qu’as-tu appris ? Tout d’abord, je n’étais jamais allé chez lui avant ! Il aimerait se lancer tout seul… Il y a beaucoup de curiosité parmi nous, et j’ai beaucoup appris moi-même en filmant le documentaire. Nos enfants essaient de nous protéger du monde, alors ils ne nous disent pas tout ce qui se passe à l’extérieur.
Ils sont conscients que les perspectives des gens varient selon la façon dont ils se présentent. Mes trois fils préféreraient que je ne les regarde pas jouer au football car leur père semble toujours être sur le chemin. Je ne voulais pas que mes enfants regardent le football parce que je connaissais le genre de langage auquel ils seraient exposés.
Sans même mentionner la comparaison…
Un enfant de huit ou dix ans ne peut être comparé à un adulte qui a construit une carrière réussie. Je ne voulais pas que mes enfants jouent au football parce que je savais qu’ils seraient exposés à un langage inapproprié. Je les ai inscrits au tennis et au taekwondo, mais ils ont tous fini par pratiquer le football à la place. Dans le film, on voit que Joakim Noah n’est pas d’accord avec cette comparaison. Et peut-être que son succès peut être attribué au fait qu’il s’est retiré du chaos.
Savez-vous à quel point il est difficile d’être le “fils de” quelqu’un d’autre ?
Je suis allé au centre de formation de Strasbourg pour vérifier mon enfant et j’ai vu ma photo accrochée au mur. Cela m’a fait mal au ventre. Je me suis dit : « Quoi que tu fasses, ce petit gars ressentira de la pression en voyant son père à l’entraînement.
Et même s’il ne donne pas de préavis, quelqu’un lui rappellera toujours que son père est passé par là. Je n’aurais jamais eu à l’envoyer à Strasbourg si j’avais su utiliser un recul. Les enfants de mes amis, Martin Djetou et Manuel dos Santos, m’ont également dit qu’ils se sentaient comme des étrangers à cause de leur désignation “fils de”. Tous les jeunes athlètes devraient regarder ce documentaire.
Comment avez-vous choisi les personnes pour intervenir ?
Les Noahs sont une incroyable dynastie sportive dans trois disciplines. Cellules d’Alesi, Djorkaeff ou Ntamack, entre autres. L’histoire d’Ilana Ruppert est belle. L’idée de résilience prend plus de sens avec elle. En apprenant le décès de son père, elle a pris la décision de se mettre au basket à un niveau plus sérieux. Je crois que le sport reflète la société dans son ensemble. Il n’est pas facile de suivre les traces d’un parent qui réussit dans n’importe quel domaine.
Par conséquent, je pense que tout le monde se retrouvera dans cette vidéo. Pourquoi choisissez-vous de montrer autant de sports différents ? Je veux démontrer comment les perspectives varient selon les domaines académiques. Être le « fils de » ou la « fille de » pourrait avoir ses avantages.
Il a le potentiel d’ouvrir de nouvelles voies à la Formule 1. Le rugby est un sport ancré dans l’histoire et la tradition. C’est une situation unique dans le football. C’est le sport le plus regardé et probablement le plus.
Holger Rune accède aux quarts de finale avec une victoire 6-4, 6-1, 6-3 sur Genaro Alberto Olivieri sur le court Philippe-Chatrier. La deuxième séance du 16e de finale se joue ce samedi à Roland-Garros, et le Danois est un outsider crédible dans cette rencontre. Il a gagné par forfait puisque son adversaire, Gaël Monfils, s’était blessé au tour précédent. Monfils était plus reposé que son adversaire qualifié.
Pas de quoi s’inquiéter pour le sixième en tête de série après seulement deux heures de jeu, malgré deux breaks concédés. Il affrontera le vainqueur de Cerundolo contre Fritz au huitième et dernier tour.Casper Ruud, quart de finaliste l’an dernier mais sorti tôt cette fois-ci, a perdu un set au troisième tour face à Giulio Zeppieri (ATP 129) samedi à Roland-Garros.
En 2 heures et 35 minutes, le Norvégien a battu le Chinois Zhang Zhizhen (ATP 71) 4-6, 6-4, 6-1, 6-4. Il lui a fallu plus d’une heure pour rechercher au tribunal Suzanne-Lenglen ses marques.
Le double vainqueur de l’Open de Genève en 2021 et 2022 a été poussé au bris d’égalité par les puissantes volées et le service droitier de Zhang Zhizhen, qui s’est avéré trop vulnérable derrière ses propres seconds services.
Alors qu’il menait 5-4 dans le deuxième set, Zhang Zhizhen s’est effondré sous la pression et a cédé le break sur un ballon blanc. Casper Ruud a retrouvé sa confiance et a dominé le troisième set avant de se contenter d’un break dans le quatrième set décisif.
Casper Ruud, qui a atteint la finale à Paris et à l’US Open l’année dernière, est le joueur le mieux classé dans la moitié inférieure du tableau après l’élimination de Daniil Medvedev (n°2). Et en finale pour la huitième place, il affrontera Nicolas Jarry (ATP 35), son dauphin de l’Open de Genève l’an dernier et son “bourreau” cette fois-ci.
Holger Rune (sixième tête de série) est un autre outsider de cette moitié de tableau qui s’est facilement qualifié pour le quatrième tour. Le Danois, récent finaliste des Masters 1000 de Monte-Carlo et de Rome, a écrasé le qualifié argentin Genaro Alberto Olivieri (ATP 231), 6-4, 6-1, 6-3. Il pourrait à nouveau rencontrer Casper Ruud en demi-finale.
Le match était physique. Une véritable bataille menée sur la poussière d’une louche. De nombreux longs rallyes et jeux. Avec du tennis, du courage et beaucoup de cœur, Olivieri a réussi à remporter l’une des victoires les plus importantes de sa vie.
L’oriundo de Bragado s’est qualifié pour cette compétition lors du tour de qualification. Henri Laaksonen (numéro 214), Michael Geerts (numéro 253) et Adrian Andreev (numéro 215) y avaient déjà été chargés. Il lui aura fallu plus de quatre heures de travail pour venir à bout du Français Giovanni Mpetshi Perricard (N°237) au premier tour. Les scores finaux étaient de 7-6 (3), 4-6, 4-6, 7-5 et 6-1.
Gardez à l’esprit qu’il avait déjà participé à l’Open d’Australie, à Wimbledon et à l’US Open, mais avait été éliminé à chaque tour. Avec cinq victoires d’affilée, la situation parisienne a pris de l’ampleur.Il devrait être le 190e plus haut du monde en novembre 2022. Il devrait dépasser ce stade de sa carrière car, quoi qu’il arrive à partir de maintenant, il a laissé Paris classé parmi les 175 meilleurs joueurs du monde.
Holger Rune (n°6) vous attend au prochain tour. Le Danois part en grand favori, mais Olivieri n’a rien à perdre et préfère rester à rêver éveillé à Paris.Un an après s’être fracturé la cheville en demi-finale face à Rafael Nadal, Alexander Zverev est revenu dans les huit derniers samedi après avoir battu Frances Tiafoe (12e) 3-6, 7-6 (7/3), 6-1, 7 -6 (7/5).
Il a été confirmé que Holger Rune est un outsider après sa victoire déséquilibrée 6-4, 6-1, 6-3 sur Genaro Alberto Olivieri. Il affrontera son compatriote argentin Francisco Cerundolo (23 ans), dans l’espoir de répéter sa surprise au premier tour de l’année précédente. Casper Ruud, classé quatrième, est également revenu à sa position précédente après avoir battu Zhizhen Zhang, classé soixante et onzième en Chine, 4-6, 6-4, 6-1, 6-4. Il affrontera le Chilien Nicolas Jarry (35 ans) au prochain tour.
Chez les dames, la journée a commencé par un forfait dramatique de Rybakina, une adversaire indétrônable de Swiatek, avant le début de son match face à l’Espagnole Sara Sorribes (132e). J’ai du mal à courir et à respirer, c’était donc le seul choix que j’avais. Iga Swiatek respire l’élégance et la prestance. Le joueur polonais de 22 ans s’est imposé en 51 minutes, battant le joueur chinois de 80 ans Xinyu Wang 6-0, 6-0. Coco Gauff, n°6 mondiale et ancienne finaliste, a battu la Russe Mirra Andreeva en deux sets (6-7 (5/7), 6-1, 6-1).
Sept des douze titres en jeu lors de l’avant-dernier tournoi du genre à se dérouler dans tout le pays ont été remportés par des Boliviens lors de l’Open junior du Guadalquivir, qui s’est terminé samedi à Tarija.
