Nicolas Loth Journaliste Fils De

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Nicolas Loth Journaliste Fils De – Pour arriver ici, je n’ai pas étudié du tout. Quelques mois d’histoire et de cours STAPS, mais jongler entre le travail scolaire et le vélo est devenu un défi pour moi. Mes parents avaient déménagé, rendant la tâche encore plus difficile. Pensez-vous pouvoir un jour remplacer “The Voice” Daniel Mangeas sur le Tour de France ? Vous l’avez battu dans des courses comme la Route du Sud. Tout cela n’est-il qu’un rêve ?

Je ne regarde qu’occasionnellement “The Voice”. Il y a deux courses par an. Un jour de travail comme annonceur du Tour de France ? Évidemment, ce serait une grosse affaire. Un rêve, en effet ! Je me rapproche d’eux puisque cette année ASO va tester pas mal d’enceintes dans leurs essais, et je vais faire le patronage sur les départs de Paris et Nice au mois de mars et dans l’info voiture. ASO a reconnu qu’il n’était pas nécessaire de lancer un deuxième Daniel Mangeas car l’original laisserait derrière lui sa voix, ses inflexions, ses mots d’esprit, etc.

L’équipe de production du Tour souhaite avoir un duo de reporters au départ et à l’arrivée : un expert vélo et un animateur/journaliste qui se baladerait avec une caméra dans la foule, dans le bus avec les coureurs, etc. Un style inédit d’animation dans laquelle je me sentirais chez moi; un qui serait également passionnant en raison des nombreuses possibilités passionnantes qu’il présenterait.

Un conférencier africain et ami à moi Soufiane Coulibaly m’a dit un jour (je l’ai pressé car j’avais besoin d’aller vite à l’aéroport ce jour-là !) « Le rire est au cœur de l’animation. Ça ne sert à rien de travailler dans ce domaine si on n’aime pas il “. Il a tout à fait raison, Soufiane. Les gens vont au théâtre pour se détendre, s’amuser et se régaler les yeux, il est donc évident que l’acteur ou l’actrice se prend trop au sérieux.

Quel moment sportif ou cycliste vous a le plus marqué ?

J’en possède deux. Samuel Sanchez, qui a terminé deuxième derrière Sylvain Chavanel lors du Tour du Haut Var 2003, m’a dit “La ligna la puta” quand on m’a demandé d’aller chercher le deuxième de la course pour que je puisse l’aider à monter sur le podium. Ils ont dit qu’il reviendrait sur le front.

Un peu plus tard, son sourire revint, mais il semblait toujours incroyablement déçu. Je dirais qu’il pleuvait assez fort. J’ai découvert un nouveau coureur préféré dans le peloton : c’est un coureur. Un vrai guerrier qui se comporte avec dignité. Une personne qui n’est jamais évasive. Ce véritable Parisien a été cycliste professionnel avec l’équipe Lejeune-BP en 1976 et 1977. Il a concouru en tant qu’amateur de l’ACBB.

Agréable et classe

Pendant de nombreuses années, ce personnage aimable et élégant a tenu un restaurant juste en face du Palais des Sports à l’entrée de Versailles, où de nombreux acteurs et musiciens célèbres dînaient chaque soir après une représentation.

Au début des années 1990, Jean-Pierre Loth crée une course professionnelle appelée les Boucles parisiennes. Son fils, Nicolas, a fondé La Bordure, une organisation cycliste très respectée qui produit des documentaires sur le sport.

L’ancien coureur Nicolas Loth est français. Mais il a aussi une attitude cochonne envers l’Europe. Mais il est aussi conférencier sur des parcours comme la Route du Sud, que nous avons bouclée dans son intégralité en juin. Il a tout laissé tomber pour nous permettre de mieux le connaître, et il a plusieurs autocollants et pédales. Rencontre.

Vous considérez-vous avant tout comme un écrivain ou un orateur public ?

Pour être honnête, je n’en ai aucune idée. Vous pouvez m’appeler commentateur sportif si vous le souhaitez. Cela décrit mieux ce que je fais au quotidien que toute autre explication à laquelle je peux penser. Journaliste, c’est vraiment un métier noble.

Quand je fais des reportages pour mon site labordure.fr ou quand j’ai couvert les finales de Coupe de France pour Eurosport il y a un an, j’ai l’impression d’être un vrai journaliste. Dans une circonstance comme celle-ci, je suis en contact avec les coureurs.

Nicolas Loth Journaliste Fils De : Jean-Pierre Loth

Est-il vrai que feu votre père, Jean-Pierre, travaillait comme coureur pour BP ? Avez-vous fait la même chose? Vélo, caméra et micro — Vélo, vidéo, micro ! Je viens d’une longue lignée de cyclistes. Mon grand-père était un pilote de course professionnel et mon père a passé du temps à apprendre des meilleurs. Je voulais être un pro depuis que je suis gamin. J’ai toujours visé l’excellence dans tous les sports que j’ai pratiqués. Basket, skate et vélo.

Pourtant, je n’ai commencé à faire du vélo qu’à l’âge de 15 ans environ (sans compter un long passage dans une académie de cyclisme et d’innombrables tournées de pâté maison pendant lesquelles je me suis entraîné à me faire passer pour Thierry Claveyrolat).

Nicolas Loth Journaliste Fils De

J’ai commencé à le prendre au sérieux au lycée et je me suis concentré presque exclusivement dessus depuis l’obtention de mon diplôme. Mais il y avait quelque chose qui n’allait pas, c’est que je n’arrivais pas à rester concentré pendant toute une saison. J’avais souvent l’esprit ailleurs, c’est pourquoi je me demandais souvent si j’étais ou non fait pour ce travail.

Et puis, lors de l’étape de pré-saison de mon équipe à Anglet, les obsédés d’internet ont voulu filmer mes impressions sur Mangeas (pour présenter mes potes), Christophe Moreau, etc. Il y a eu un peu de buzz autour de ces vidéos dans le milieu cycliste, et je suis apparemment devenu le “coureur-imitateur” du peloton. En conséquence, on m’a demandé d’agir en tant qu’annonceur pour une course, puis une autre, et une autre après. Le microscopique et le visuel m’ont toujours captivé.

En plus de mon travail d’animateur, j’ai monté une petite société de production pour faire progresser l’utilisation de la vidéo dans le cyclisme amateur. J’ai rassemblé des résumés du tournage, du montage et du montage que j’ai faits pour le Challenge d’Or réalisé par des cyclistes. Vous savez que vous avez des ennuis lorsque vous restez debout jusqu’à 5 heures du matin car vous ne pouvez pas mettre votre vidéo en ligne depuis votre chambre d’hôtel en plein Poitou-Charentes.

Vous vous demandez à quoi ça servira, mais quelques années plus tard, vous recevez un appel de Jacky Durand disant que lui et Alexandre Pasteur ont regardé vos résumés pour en savoir plus sur un cycliste polonais (ils commentaient à l’époque le Tour de Pologne) et qu’il veut que tu remplaces Pasteur pour quelques tours de Coupe de France pour Eurosport car Pasteur ne peut pas tout garantir.

Quelques mois plus tard, j’ai contacté Alex Pasteur pour une entrevue. Je lui ai parlé de mon parcours et de la façon dont je voulais commenter d’autres sports que le cyclisme. Il m’a fait essayer de commenter un match de foot avec lui puis le marathon de Berlin en septembre 2012 avec un consultant, et depuis je suis un habitué d’Eurosport.

Le journalisme était-il votre vocation dans la vie ? Où es-tu allé à l’école pour arriver ici ?

Le journalisme m’a toujours intéressé, mais je crois qu’il y a un long chemin à parcourir avant de pouvoir se qualifier de “vrai” journaliste. Ce que je fais est considéré comme du journalisme, mais à mon avis, un vrai journaliste est quelqu’un qui est sur le terrain et qui rapporte.

Je m’attends à gravir les échelons régulièrement, mais il faudra que “mes patrons” aient plus confiance en moi, et cela exigera que je travaille beaucoup et que je prouve que je suis compétent dans le domaine que j’ai choisi.

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