Nicolas Beytout Fils Handicapé – Il n’avait pas dérogé à sa routine habituelle en vieillissant. Même si elle avait quarante-cinq ans, elle publiait un livre, faisant appel à trois jeunes enquêteurs brillants pour mener des enquêtes passionnantes, tout en donnant le ton et le style et en écrivant le titre effrayant aux petites heures du matin.
La mort était la seule barrière entre Jacqueline Beytout et ses objectifs. Marraine unique des “Echos” pendant près de 25 ans, elle décède en 1989.La mort implacable l’a frappée samedi à l’âge de quatre-vingt-neuf ans, dans sa 499e année. Elle a contribué à l’indépendance et à la crédibilité de l’organisme “Les Echosstability” dans le contexte économique actuel.
Le résultat est une revue reconnue qui est une ressource essentielle pour les entreprises exigeantes en termes de libéralisme et de ténacité.Comme un chef de cavalerie lâcherait ses dragons pour former l’ennemi de droite, elle avait lancé Favilla, l’entreprise d’édition, afin de sauvegarder des idéaux et d’inhiber de nouvelles avancées, comme l’Union européenne.
Avec ce qui semble être une pointe de peur dans sa première Favilla, publiée en juin 1974, elle écrit : « Révolution libérale ». À la suite des initiales, “J.Dans l’une des signatures les plus rares de tous les temps, “Favilla” a été dédicacé sur la couverture de l’édition maison. Selon la compréhension de Jacqueline du nom de code de Favilla, “le feu qui rugit sous les cendres”, il représente les pensées du propriétaire du journal.
Rien ne peut s’y comparer. La mèche est au bon endroit, la chemise est bien ajustée et les chaussures brillent. Le porteur est responsable de tout cela.Depuis 1996, Nicolas Beytout, 47 ans, est rédacteur en chef des Echos. Comme s’il s’agissait d’un livre de comptes, le bureau qui porte son nom trône sur une étagère.
Comme Nicolas Beytout a à cœur d’y veiller, la maison a un air sérieux. C’est exactement exact, mon ami. Il est par exemple titulaire d’une maîtrise de droit et d’une certification de l’Institut d’études politiques de Paris, où il a travaillé sur les écrits de Raymond Barre.
Est-ce que Barre vient à l’esprit lorsqu’une discussion sur ses intérêts littéraires est évoquée ? Ses opinions politiques libérales montrent qu’il croit avoir raison, mais il ne croit pas qu’il soit d’extrême droite.
Afin de dégrader systématiquement le service public, nous ne pensons pas que l’entreprise privée soit toujours plus efficace que l’entreprise publique.”comme l’affirme l’écrivain. Les personnes gênées par les parutions de la publication, dans lesquelles il apparaît que « la voix du Medef » résonne, apprécieront la nuance.
Il était dans son unité quand nous l’avons trouvé, mais c’était dans le bon sens. Que se passe-t-il exactement avec les Echos ces jours-ci ? Personne dans l’entreprise ou dans les médias ne s’étonnera du départ inattendu de Nicolas Beytout à la tête du quotidien économique le 29 septembre, remplacé par Francis Morel.
Le PDG d’un journal financier allemand avait également déclaré sèchement que le titre “perdait de l’argent” lorsqu’on l’interrogeait sur le titre dans une interview.Selon la presse, le PDG de LVMH, Bernard Arnault, a retardé son retour à la présidence des Echos jusqu’à la fin de l’élection présidentielle.
L’acquisition de L’Expansion, dernière erreur de calcul stratégique, fonctionnera comme déclencheur et précipitateur d’événements futurs, selon une logique simple.Bernard Arnault rachète Les Echos pour se libérer du fardeau de La Tribune qui connaît des pertes récurrentes. L’expertise financière inégalée de cet éminent bienfaiteur devenait de plus en plus difficile à maintenir en tant que spectacle public.
Arnault a pris une décision intelligente en achetant Les Echos en 2007 au lieu de risquer son argent dans l’économie en investissant dans un journal avec une rédaction incontestée et une entreprise financièrement solide qui a fait des millions en 2006.
Ils étaient 11,6 en 2005 et 14,3 en 2004. Le rédacteur en chef du Figaro Nicolas Beytout avait été embauché par Bernard Arnault pour apaiser le tumulte provoqué par son arrivée. C’était un équilibre délicat avec son ancien employeur Serge Dassault, mais il est apparu que Nicolas Beytout avait acquis de l’autorité aux Échos, où il avait fait toute sa carrière.
La nomination de Nicolas Beytout s’est immédiatement heurtée à une vive opposition au sein de la rédaction du Figaro, qui y voyait la continuation de la posture sarkozyste qu’elle avait prise.