Nahel Nanterre Origine – L’officier soupçonné d’avoir tué Nahel, 17 ans, mardi à Nanterre pour son refus d’obtempérer aux réquisitions de la police, a été déféré jeudi 29 juin.Ce brigadier de 38 ans est décrit comme « aguerri » et « irréprochable », et il a été décoré à de multiples reprises pour son service dans la police nationale.Jeudi soir, il a été placé en garde à vue et interrogé pour « homicide volontaire ».
Il est soupçonné d’avoir tiré le coup mortel qui a tué Nahel. Nahel, un jeune de 17 ans, a été tué mardi lors d’un contrôle routier de routine à Nanterre (Hauts-de-Seine), et le policier accusé de l’avoir retenu dans une pièce de théâtre avant d’appuyer sur la gâchette en réponse à un refus ostensible de se conformer a été mis en examen pour « homicide volontaire ».
Le procureur de la République de Nanterre, Pascal Prache, a précisé jeudi 29 juin que le policier de 38 ans avait été interrogé par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), et qu’il avait soutenu avoir agi en un état de légitime défense.
Le préfet de police de Paris l’a décrit comme “un brigadier aguerri, qui avait la confiance de sa hiérarchie”, et il a servi activement dans la police nationale française au cours de la dernière décennie.
Depuis septembre 2022, ce père de famille est employé par la Direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC) comme chauffeur pour la Direction régionale des transports et de la sécurité des Hauts-de-Seine. Ses pairs l’ont qualifié d’« irréprochable » pour son dévouement à son travail.
Ils ont dit à un Parisien, “Ce n’est pas une tête brûlée, pas un cow-boy”, faisant l’éloge d’un “gars extraordinaire” et louant son “sens de l’engagement”. Nos recherches indiquent que le motard a été honoré de huit des lettres de félicitations et une médaille pour le service du ministère de l’Intérieur depuis son entrée dans la force.
Par ailleurs, il a reçu deux médailles de bronze : la première en 2018 pour sa bravoure et son dévouement lors du mouvement des Gilets jaunes, et la seconde en 2021 pour sa participation à l’interrogatoire d’un preneur d’otage et kamikaze à Bernes-sur-Oise , dans le Val d’Oise.
La nuit du 29 au 30 juin 2023 a été tumultueuse dans une Bretagne qui partageait les mêmes problèmes que le reste de la République française. Il est vrai que les responsables politiques bretons partagent un code génétique avec leurs homologues de l’autre côté de la frontière, mais cela n’a pas aidé à lever les lunettes de la xénophobie et du fanatisme migratoire depuis 40 ans.
Les cas se sont multipliés ces derniers jours avec des groupes de racailles qui ont pris cette joie à cœur, notamment dans les villes de Nantes, Rennes et Brest, malgré la réponse limitée des forces de l’ordre. À un moment donné, les citoyens ordinaires devront défendre leur maison, leur famille et leur vie par eux-mêmes, car on ne peut pas compter sur le gouvernement pour le faire. On dit aux flics de ne rien faire et les agences gouvernementales sont débordées.
Dans un pays où les médias grand public ont averti il y a quelques mois seulement que “l’ultra droite” constituait la plus grande menace, l’ensemble du contrat social a été remis en question. Le résultat final se voit désormais. Sous l’effet de la nuée de sauvages, d’animaux et de mourants (40 ans de gauchisme dans l’Éducation nationale, la fin de la scolarité, les enfants immigrés parfois élevés sans père, le rap et les ghetto comme pierres de touche culturelles), tout est pillé.
Comme prévu, les quartiers “sensibles” sont en émoi suite à la mort d’un jeune de 17 ans abattu par la police à Nanterre après avoir refusé de cesser de résister à son interpellation pour la deuxième fois en sept jours.
Ce tumulte est porté par le discours politique standard de la victimisation. Des tags, des incendies et des émeutes se sont propagés de Nantes à Carhaix. Quel est le problème avec les îles britanniques ? Ici comme ailleurs, il y a des choses à détruire et des fonds à réclamer par les politiques et les organisations pour une « politique de la ville » à la fois coûteuse et inefficace.
Nahel M, un ressortissant algérien, a été tué alors qu’il conduisait une Mercedes AMG de location. Or, selon l’agence d’information de Libération Check News (28.06), il avait déjà été condamné pour refus d’obtempérer par le juge des enfants en septembre 2022, avec une “sanction éducative” à la clé qui semble n’avoir servi à rien.
Des poursuites judiciaires étaient en cours contre lui, mais il n’avait encore été reconnu coupable d’aucune des accusations. Le Figaro précise qu’il a été interpellé “à deux reprises pour usage et détention de stupéfiants et pour recel de vol.”
Dans le quartier “sensible” de Pontanzen à Brest, dans la nuit du 28 au 29 juin, des incendiaires ont détruit la Biocoop, 14 voitures (dont trois garées derrière le magasin et quatre devant une concession Fiat) et plusieurs arrêts de tramway. Le bureau du gouvernement local a également été incendié. Quinze méchants ont pris part à l’émeute.Il n’y avait pas assez de “plongeur.
Plusieurs coups de feu ont été tirés à Nantes et trois voitures ont été incendiées dont une à plomb. Les violences commencent dans les quartiers nord de la ville, où des barricades sont érigées boulevard Cassin. Outre les émeutes du Clos Toreau et du Breil, qui ont commencé après un décès causé par un refus d’obtempérer aux autorités, il y a eu aussi des émeutes dans le Breil.
Deux autres véhicules ont été incendiés à Saint-Herblain. Jeudi 29 juin dernier, une marche silencieuse a eu lieu en l’honneur de Nahel, un jeune de 17 ans qui a été abattu par la police mardi à Nanterre, Hauts- de-Seine, après avoir refusé de se plier à leurs exigences. Après une marche paisible, les participants ont vu les tensions éclater lors du cortège en fin de journée.
Selon la préfecture de police de Paris, environ 6.000 personnes se sont présentées à la “marche blanche” organisée à la demande de la mère de la victime alors que Nanterre et plusieurs autres villes d’Île-de-France étaient sur les nerfs. Quelques heures avant le début de la marche, le parquet de Nanterre a annoncé que le policier soupçonné d’avoir tué la jeune Nahel serait interpellé dans la matinée.
Malgré le fait que de nombreuses personnes étaient déjà arrivées au point de rendez-vous prévu devant la préfecture des Hauts-de-Seine, le lieu de départ initial de la marche a dû être modifié au dernier moment. J’ai vu sur Twitter que l’adresse a changé, mais je me demande si beaucoup d’autres l’ont vu et ont inquiété le résident pour qu’il quitte la ville. Les gens se rendent à la préfecture à partir de cette zone.
Les manifestants de Nanterre arrivent au compte-gouttes pour se rassembler devant la médiathèque de Fontenelles. Le cortège devrait donc partir de la médiathèque de Fontenelles, située à proximité de la maison de Nahel dans le quartier Pablo Picasso de la ville. Vers 15 heures, une foule clairsemée commence à se rassembler sur le boulevard Pablo Picasso. Des correspondants étrangers s’installent devant le centre des médias.
Khatim Karima
La rue se remplit alors que les gens commencent à arriver près de l’heure de départ. Les journalistes sont attirés par une élection locale dans le fief de l’opposition du Blanc-Mesnil, en Seine-Saint-Denis. Karima Khatim s’exclame : « On ramène toujours ces jeunes du quartier à leurs origines, malgré le fait qu’ils soient racailles.
La foule se rassemble paisiblement sur l’avenue Pablo Picasso avant de sombrer dans le chaos devant le camion principal transportant la mère de Nahel. La foule scande sans cesse le même ordre : “Police, assassins. Tout le monde déteste la police depuis que la police a tué Nahel.
Des médiateurs en t-shirts rouges portant l’inscription “Ville de Nanterre” tentent de maintenir le cortège sur les rails. L’un des proches de Nahel, portant un t-shirt sur lequel on peut lire “Justice pour Nahel”, proclame depuis l’arrière d’un pick-up : “On va leur montrer qu’on n’est pas des sauvages, qu’ils ont volé un fils, un frère, un ami, un voisin.” La mère de la jeune Nahel, Assa Traoré, monte dans le camion avec Assa Traoré, la sœur d’Adama Traoré, tué dans une tentative d’assassinat en 2016.
La foule s’amenuise à l’approche du théâtre des Amandiers, où il se séparera sur la route départementale ramenant à la préfecture des Hauts-de-Seine. De ce fait, la police garde sa discrétion, tandis que les agents de la ville de Nanterre veillent au contrôle de la circulation.
Plusieurs personnes quittent le camion de tête et marchent vers la place Nelson Mandela, qui est proche de la préfecture. Une heure s’est écoulée, et les bénévoles “chemises rouges” maintiennent toujours la foule ensemble et réitèrent des messages de non-violence.
Dix minutes plus tard, la foule observe une minute de silence à la mémoire de la victime, tandis qu’un groupe de jeunes scanne le slogan “Tout le monde déteste la police” le long des Archives départementales. La mère de Nahel essaie de le rassurer alors qu’elle est à bord d’un fusil de chasse dans le camion familial.