
Mort De Shaina – L’affaire est glaciale, tout comme l’approche du tueur pour tuer Shana en 2019 à Creil, où elle a été poignardée trois fois, aspergée d’huile essentielle et incendiée de son vivant. Le procès pour son meurtre débutera à la maison d’arrêt pour mineurs de Beauvais le lundi 5 juin. L’accusé n’avait que 17 ans au moment des faits, et il risque une incarcération définitive pour comportement délictueux.
L’accusé, qui n’avait que 17 ans au moment des faits, doit désormais en répondre devant le tribunal présidant les mineurs délinquants. Le 25 octobre 2019 à Creil, Sha’na a été poignardée, aspergée d’essence, puis incendiée jusqu’à sa mort.
La violence contre lui a duré deux ans.L’histoire de la vie de Shana est une véritable calamité avant sa mort. Car quatre jeunes mineurs, qui seront condamnés début 2022, ont agressé l’adolescente deux ans avant qu’elle ne soit tuée.
L’enchevêtrement infernal de Shana venait de commencer. Selon le témoignage du frère de Shana, Yasin Hansye, les images de l’agression qui se sont propagées sur Snapchat lui ont donné la réputation de “fille facile” et l’ont rendue vulnérable aux actes de harcèlement dans sa ville natale de Creil.
Sans l’amour et le soutien de ses proches, cette routine infernale se poursuivra jusqu’à sa fin tragique le 25 octobre 2019. Après avoir été gardé sous clé pendant quelques jours tout au plus, le jeune adolescent sera poignardé puis brûlé vif. dans un cabanon de sa ville. Lundi prochain, le tribunal entendra le cinquième homme de 17 ans avec qui elle avait eu une liaison.
Il clame l’innocence
Soupçonnant qu’il avait tendu un piège à la victime, il a eu de longues conversations par SMS avec elle le jour de sa mort. Shana a été retrouvée morte avec une brûlure à la jambe et des blessures au visage, ainsi qu’un récit détaillé de son meurtre écrit par l’un de ses amis. France Info évoque également le portable qui fonctionne jusqu’au moment de la mort présumée de l’adolescent avant de s’éteindre brutalement, ainsi que la recherche du soir sur l’administration des peines et la justice.
La scène du crime n’avait pas d’ADN et l’accusé avait clamé son innocence. Parce qu’il s’agit d’une affaire à la fois complexe et terrifiante, la cour d’appel des mineurs devrait se réunir en privé jusqu’au 9 juin pour rendre son jugement.
L’accusé risque une incarcération permanente dans un établissement criminel sécurisé. L’émotion est toujours vive dans le quartier du Plateau, où le corps d’une adolescente de 15 ans a été découvert le 25 octobre 2019, et où se déroule le procès de son présumé meilleur ami et meurtrier. commencera le lundi 5 juin.Il y a des gens dont les visages marquent tout un quartier.
Celle de Shana Hansye fait partie de la collection du plateau de Creil (Oise). On entend souvent un mélange de sympathie et d’horreur exprimé dans l’expression “pauvre gamine” lorsque le nom de l’adolescent est prononcé.
La fin tragique de la jeune fille aux cheveux noirs, tragiquement assassinée et brûlée vive le 25 octobre 2019, alors qu’elle était enceinte, est encore présente dans toutes les mémoires comme le procès de son ami d’enfance, qui sera jugé pour meurtre. , débute ce lundi à la cour d’assises des mineurs délinquants de l’Oise.
Depuis ce lundi 5 juin 2019, un jeune homme se compare aux chaises suite au décès de Shana, 15 ans, à Creil. Son ancien meilleur ami, qui avait 17 ans à l’époque, a été accusé d’avoir tué et incendié la jeune fille alors qu’elle était encore en vie.
A partir d’aujourd’hui 5 juin, jusqu’au vendredi 9 juin prochain, un jeune comparaîtra devant le tribunal de la jeunesse de l’Oise. Shana, 15 ans, qui était probablement enceinte de lui et qui avait subi des agressions sexuelles collectives à Creil en 2017 est accusée d’avoir été victime d’un assassinat et de brûlures à vif en 2019.
Le jeune homme, alors âgé de 17 ans, est soupçonné d’avoir attiré la jeune fille, âgée de 15 ans, dans le cabanon d’un ouvrier jardinier, où il l’assassinera plus tard et mettra le feu à son corps. Il a toujours nié son implication.
Shana a été agressée sexuellement dans une clinique pour déprimés il y a deux ans, et jeudi, une cour d’appel a confirmé les condamnations de quatre autres jeunes hommes qui ont été condamnés à des peines allant de six mois à deux ans de prison avec sursis pour leur rôle dans l’incident. Les agresseurs de Shana ont tenté de cacher sa sexualité en la blessant, alors ils ont filmé l’incident.
Le 27 octobre 2019, la police suite à une rumeur a retrouvé le corps d’une jeune fille presque entièrement calciné. Les examens médicaux et médico-légaux de l’arme blanche ont révélé de “multiples blessures”, notamment dans l’abdomen, ainsi que des poursuites dans les poumons, prouvant qu’elle respirait encore lorsque l’incendie s’est déclaré.
Shana avait quitté le dîner familial auquel elle avait assisté la nuit précédente, pour ne jamais revenir. Un test de grossesse positif a été découvert par ses proches dans son sac à main.L’adolescente, qui avait subi une IVG quelques mois auparavant, était de nouveau enceinte, selon de nombreuses sources de connaissances. Selon l’enquête, elle a cru les allégations et a donné l’identité du père comme étant l’homme.
Même si nous nous sommes déjà fait une opinion, nous voulons toujours connaître la vérité. Plusieurs fois, Shana a reçu des coups de poing dans l’estomac. L’autopsie révélera qu’elle a respiré la fumée de l’incendie, fournissant une preuve concluante qu’elle était toujours en vie au moment de sa mort. Son corps était si méconnaissable que le médecin légiste a tenté d’empêcher ses proches de le voir. Son identification a été rendue possible par une bague, un bijou transmis de mère en fille.
La première pierre du calvaire de Shana
Pour raconter l’histoire de Shana, pour visualiser son calvaire, il faut évoquer des images de chiots russes, de drames qui s’empilent puis se précipitent sur l’adolescente comme un piège. La fille se plaignait de quelque chose depuis deux ans avant que son corps ne soit retrouvé dans cette cabane. C’était un cas de violence de masse.
Elle avait 13 ans, et son copain d’enfance Ahmed* avait un an de plus. Selon l’histoire racontée dans sa plainte, si Shana ne le rejoignait pas dans une clinique sobre, il l’a menacé de publier sur les réseaux sociaux des images d’elle nue qu’il avait prises d’elle sous la contrainte.
Quelques instants après son arrivée, il aurait reçu l’ordre de commettre une fellation. Deux autres adolescents se présentent en même temps qu’elle refuse l’offre. Ils en prennent soin, le démontent, puis le soumettent à un balayage numérique pénétrant et à un tube Labello.
Les faits ont été requalifiés en agressions violentes et sexuelles lors de la rencontre. Ils ont été condamnés à des peines allant jusqu’à deux ans de prison avec sursis après qu’un appel eut été entendu jeudi dernier. Ahmed a également découvert que son nom figurait dans une base de données de délinquants sexuels.
Me Negar Haeri, l’avocat de la famille, estime que “cette affaire a posé la première pierre du calvaire de Shana”. Elle contribua à asseoir sa réputation et affaiblit la jeune femme dont les propos avaient toujours été des faux pas imprudents. Juridiquement parlant, elle n’a aucun lien avec le meurtre, mais elle déclenche les événements qui mèneront finalement à sa chute.
Après que des vidéos de l’attaque aient été partagées sur des plateformes de médias sociaux comme Snapchat, l’adolescente a été ostracisée pendant deux ans et a reçu le surnom de “fille facile” par ses concitoyens.
Et il n’est toujours pas tiré d’affaire avec la loi; Ahmed est soupçonné d’avoir agressé Shana en mai de cette année malgré l’interdiction de retourner à Creil. Toutes les preuves ont été rassemblées et analysées, mais le procès n’a pas encore commencé.
Un test de grossesse positif
Cet été 2019, Shana se fait un nouveau petit ami. Youssef, à 17 ans, est un senior. Elle a eu 15 ans le 11 août et vient de recevoir son brevet. Il admet l’avoir approchée “fin août/début septembre” pour des faveurs sexuelles en raison de sa notoriété. J’ai été servi par elle. Il dit au thérapeute : “Je savais pourquoi je lui parlais.”
Si les rumeurs sont vraies, elles n’ont pas été vues depuis la mi-octobre environ. Cependant, Shana et lui ont échangé 122 textos le jour de sa mort. Aucun enregistrement de leur conversation n’a été localisé, mais l’accusatrice affirme qu’elle était centrée sur la grossesse non planifiée de l’adolescente. Ses parents ont trouvé un test positif dans son sac à dos après sa disparition. Youssef affirme que Shana lui a dit qu’elle voulait garder le bébé alors qu’il essayait de la persuader d’avorter.
Depuis son interrogatoire, l’accusé a nié tout acte répréhensible. Ni son ADN ni aucun vêtement taché de sang n’ont été retrouvés sur les lieux du crime ou à son domicile. Cependant, un de ses amis a déclaré aux enquêteurs que Youssef s’était confié à lui le soir du meurtre. Je l’ai fumé, aurait-il dit. «
Il m’a dit qu’il prenait un couteau, un pantalon et une bouteille d’huile essentielle pour rencontrer Shana au squat du jardin. J’avais l’intention de la tuer puisqu’elle portait mon enfant. Il lui a demandé de se changer et elle l’a fait comme d’habitude. Une fois complètement nu, il lui a donné plusieurs coups de poing, a-t-il déclaré lors d’une dispute. Youssef rétorque, “Mentor”.
