
Mort Albertine – Peut-être qu’Albertine H. serait encore allongée sur son lit de mort dans sa maison de Bretoncelles s’il n’y avait pas le courage du maire (Orne). Cet été, Daniel Chevée, l’édile de ce village du Perche de 1464 habitants, s’est sérieusement inquiété du sort de ce nonagénaire.
Au début, il y avait le compteur d’eau. Dès le début juillet, l’édile s’aperçoit que l’index de Madame H. n’a pas été mis à jour depuis une décennie, et que son fils, également nommé Daniel, l’a toujours livré à la ville. Je n’en ai jamais eu”, a déclaré l’élu à TF1info.
Suite à la tempête, le maire de Bretoncelles ordonne à tous les habitants âgés de 90 ans et plus d’être contactés. Étrangement, aucun numéro de téléphone n’a été attribué à Albertine H., qui aurait eu 99 ans cette année.
Daniel Chevée ne cesse de demander à sa voisine et fille de voisin, Annick, comment va sa mère. Elle répondait régulièrement : “Oui oui, tout va bien.” Comme elle n’avait pas le droit de rester avec sa grand-mère depuis 41 ans, elle n’a fait que rapporter ce que son mari avait dit.
Ainsi, Daniel Chevée s’interroge si oui ou non la dame âgée bénéficie d’une aide à domicile ou emploie une femme de ménage. Rien ne semble être là quand il regarde. Difficile aussi de douter de ses proches.
Le fils de cette dame est un artisan chauffagiste à la retraite, et sa fille est une ancienne coiffeuse ; les deux sont appréciés et investis dans la communauté. Le 25 août, j’ai dit à Annick.
Écoute, le ‘tout va bien’, ça commence à bien aller ! Pour paraphraser un célèbre dicton français, “Si vous n’étiez pas élu, cela ferait une si bonne histoire que j’aurais appelé les gendarmes pour qu’ils arrivent et qu’ils vérifient”, les pensées que je garde pour moi comprennent, “je donne huit jours à la police avant que j’appelle des renforts.”
Il n’aura pas le temps d’alerter la police à l’avance. Quatre jours plus tard, c’est lui qui reçoit un appel téléphonique de son assistant. Elle a insisté pour que je vienne la voir immédiatement en disant.
C’est très urgent, ça concerne ma mère. Lors de la visite du maire d’Annick, Daniel, le fils d’Albertine, est allongé par terre entouré de pompiers. La femme explique que son mari vient de tomber malade après lui avoir dit que sa mère était décédée “après plusieurs années”.
Après que le couple ait rendu visite à la grand-mère d’Annick le matin du 29 août pour lui apporter le petit-déjeuner comme ils le faisaient depuis des années, Annick a finalement conquis son mari. En ce jour particulier, l’homme est incapable de marcher car il a été affligé d’un long Covid.
À l’extérieur de la maison, sa femme insiste pour qu’il laisse les “triangles sandwich” et autres aliments. Elle poussa la porte et vit un impénétrable jardin de broussailles. Elle aurait dû lui dire : « Tu peux laisser ta mère vivre là-dedans », ou quelque chose comme ça. Et maintenant, prédit le maire, “il est brisé”.
L’équipe de recherche de la gendarmerie a été appelée et est en route. Il semble que l’armée soit entrée par effraction dans la maison après que les agents de la ville aient nettoyé le jardin de sa végétation. Cependant, le corps d’Albertine H. n’est pas visible.
Le 30 août, alors qu’il est interrogé dans son lit d’hôpital, Daniel raconte à sa famille que sa mère est décédée “au bout de cinq ans” et que son corps repose sur son lit. Cette brigade criminelle est enfin arrivée à Bretoncelles.
Les enquêteurs commencent tout de suite à regarder sous le lit. Mais après tant d’années, il ne reste plus rien. Tout sauf la poussière et la saleté a disparu. La plus grosse corne avait à peu près la taille de mon majeur.
L’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale s’est vu confier les restes osseux récupérés pour analyse. L’édile ajoute : « Madame H. avait aussi une prothèse dans le dos ; cela permettra une identification rapide, car les prothèses sont numérotées.
Les habitants de la ville endormie de Bretoncelles sont sous le choc en attendant l’identification officielle du corps. Certaines personnes se sentent mal d’avoir raté des signes avant-coureurs comme l’obscurité la nuit ou l’absence de feu dans la cheminée.
Depuis le décès de son mari Marcel en 2003, Albertine H. vit seule ici. Depuis que son autre fils avait coupé les ponts avec elle il y a dix ans, Daniel était son seul hôte. Reste à savoir pourquoi Daniel a gardé secrète la mort de sa mère. Est-ce une tentative de nier la mor.
A-t-il cotisé à la caisse de retraite de sa mère ces dernières années Un concept auquel le maire n’adhère pas. Il est propriétaire d’un immeuble de trois logements distincts sur la commune de Bretoncelles.
Il possède une belle maison dans le village voisin. audits financiers et des changements de casting dans le cercle restreint d’Alberta H. sont actuellement en cours. Le Parquet d’Alençon a délégué le contrôle d’investigation à la Brigade de recherche de Mortagne-au-Perche.
Il y a toujours le fait que la résolution de cette situation tragique pourrait ne jamais être connue. Le maire de Bretoncelles déplore, “Daniel va très mal, et on n’a pas dit qu’il quittait son Covid.” “Il pourrait très bien emporter ses secrets avec lui.”
Le 29 août, un corps est découvert au domicile d’Albertine H. à Bretoncelles (Orne). Son fils et sa belle-fille là-bas ont toujours donné l’impression qu’elle était toujours en vie.
