
Maryse Burgot Otage – Lycéenne rennaise, elle fréquente d’abord l’université de Rennes 2, où elle débute des études de lettres modernes, puis obtient une licence de journalisme au Centre universitaire de formation au journalisme. Elle a commencé sa carrière à la télévision avec RTL et France 3 après avoir terminé ses études secondaires en 1989 et 1991, puis a rejoint France 2 après un certain temps.
Son premier grand reportage porte sur la pandémie de peste en Inde en 1994. Maryse Burgot est désignée grand reporter après sa libération le 27 août 2000, et elle signalés dans diverses zones de guerre, y compris le conflit du Kosovo. Elle est connue pour sa couverture en 2011 de la catastrophe d’Haïti et du scandale Strauss-Kahn.
Toujours à France 2, la journaliste a été correspondante de l’Élysée en 2014 et journaliste d’investigation internationale en 2017. Maryse Burgot a couvert les premiers affrontements dans le Donbass début 2022, alors que la Russie et l’Ukraine s’affrontaient.
Il serait impossible d’imaginer le monde sans Maryse Burgot
En effet, le reporter de France Télévision se mettra en danger pour rendre compte sans parti pris de sujets polémiques comme les conflits internationaux. Ce mardi 29 mars 2022, La revue des médias relevait l’une des enquêtes parfois complexes qui avaient défrayé la chronique (INA). Maryse Burgot s’est rendue sur l’île de Jolo, aux Philippines, lors de son intervention (qui a duré du 9 juillet au 27 août 2000), dans le but d’interroger le célèbre preneur d’otages Ghalib Andang.
Alors que cette dernière était incarcérée dans une “prison verte”, elle se remémorait les événements passionnants qui s’étaient déroulés tout au long de son calvaire. En plus des scorpions et des serpents qu’elle essayait d’éviter à tout prix, elle devait également faire face à la déshydratation et à la faim.
Maryse Burgot a subi d’autres mauvais traitements de la part de ses ravisseurs, connus pour leurs “mains errantes”. Après sept semaines de détention, elle a été libérée immédiatement. Il n’y avait pas beaucoup de fraternité entre moi et les groupes d’ex-otages. Cependant, j’ai tourné les pages de cette manière. Il suffit de ne pas en parler dans la conversation. C’est fini maintenant, a-t-elle déclaré sur le plateau du JT à 8 heures au retour de son voyage.
Pendant son séjour en Ukraine, Maryse Burgot revient sur ses expériences là-bas
Maryse Burgot a évoqué son voyage de trois semaines en Ukraine dans une interview accordée à Télé Star le 28 mars. La journaliste a une seconde chance d’aborder l’impact de son métier sur sa progéniture. Elle a appelé ses fils de 20 et 17 ans “tous les jours” pendant qu’elle était là, comme elle l’avait précédemment révélé.
Je passe sous silence mon conflit avec eux. Plutôt que de me présenter, je préfère m’enquérir de leur état de santé” lorsqu’elle rentre en France et décide de se confier à quelqu’un.
ls avaient écrit Maman, tu mérites qu’on pense à toi aujourd’hui. Le journaliste de 57 ans a qualifié l’acte de “gentil et gentil”.
Maryse Burgot, journaliste couvrant une intervention près de l’Elysée, a voulu faire passer à l’antenne le conseiller en communication de François Hollande, Gaspard Gantzer, pour s’entretenir avec les nombreux reporters réunis. Ce qui, comme on pouvait s’y attendre, n’a pas plu à l’entourage du président.
L’envoyé spécial a déclaré: “Je soupçonne que ce conseiller en communication n’apprécie pas que nous fassions ces photos, nous allons donc revenir vers nous”, et la caméra s’est alors retournée vers elle. “Elle a terminé son discours en disant:” Je remarque que les gens de l’Elysée ne sont pas très contents que nous ayons montré ces photographies.
L’otage finlandais libéré Risto Vahanen a-t-il trop partagé sa joie de retrouver sa famille ?
Risto Vahanen, qui vient d’être libéré des mains du groupe terroriste philippin Abu Sayyaf après près de cinq mois de captivité sur l’île de Jolo, dans le sud des Philippines,Nous avons consulté les dames sur l’opportunité de rendre cela public ou non.
Il l’a dit en particulier à Tripoli, où le document avait été remis par le négociateur libyen Rajab Azzarouk aux responsables d’Helsinki, et a souligné que les parties impliquées avait été d’avis qu’il fallait le savoir, sans donner de nom, pour que le monde le sache. Mardi, le Finlandais a clarifié ses propos, déclarant qu’il avait été mal compris et qu’il avait seulement suggéré que certains des garçons ies dans le groupe avaient été “abusés”.
Après avoir entendu les premières déclarations de Risto Vahanen, les autres anciens otages sont restés silencieux ou se sont indignés, indiquant qu’ils partageaient son inquiétude quant au traitement réservé par les ravisseurs aux quatre femmes du groupe (trois Françaises, Sonia Wendling, Marie Moarbès et Maryse Burgot , et une philippine, Lucrecia Diablo).
