Martin Weill Taille – Lorsque vous visitez Tipik, vous pouvez vous procurer un exemplaire du magazine de journalisme de longue durée de Martin Weill, qui porte le nom de l’auteur. Le journaliste parcourt le monde pour rendre compte des personnes, des lieux et des choses qui comptent pour nous.
Un rassemblement entièrement visuel avec des reportages, des rencontres inattendues et des décors surréalistes. Martin Weill a travaillé comme journaliste au Quotidien et au Petit Journal pendant six ans au total.
Plusieurs fois, il a fait le tour du monde. Il a rendu compte des conflits armés en Irak et en Syrie, ainsi que de la crise des migrants et de la montée de l’extrême droite en Europe. Il a mené des entretiens avec des personnalités comme François Hollande, Emmanuel Macron et même Donald Trump. Il est allé en Amérique pour faire un reportage sur les élections américaines de 2016.
Les États-Unis d’Amérique, la Russie de Vladimir Poutine, l’autoroute de la cocaïne, les théories du complot et le Brésil de Jair Bolsonaro sont au programme. TITRE DU DISQUE 19 : LA FIN DU RÊVE AMÉRICAIN Alors qu’une pandémie sévit, le mastodonte américain vacille et son système est sous le feu des critiques. Le rêve américain est l’idéal sur lequel ce système est basé. Une vision individualiste et matérialiste universellement applicable du succès. Si tu le veux vraiment.
Donald Trump en a fait son thème central. Avec ce rêve américain, Martin Weill et ses équipes ont pu en voir les forces et les faiblesses juste avant que la crise n’éclate. Nous avons voyagé de la Californie à la Floride et au Texas pour rencontrer des gens qui ont réalisé le rêve américain. Un riche réfugié iranien. Un prévisionniste Bitcoin qui a amassé une fortune avant d’avoir 30 ans.
Le roi du pétrole est convaincu que l’or noir sauvera l’humanité. Vous apprendrez aussi le contraire du rêve américain. Ces États-Unis, où les inégalités n’ont jamais été aussi élevées et où les services publics sont à un niveau historiquement bas. au point que de nombreuses personnes de la classe moyenne ne peuvent plus se permettre de prendre soin de leur santé. Une question qui n’a jamais été aussi pressante est de savoir si oui ou non c’est la fin du rêve américain.
J’annoncerai la teinte de ceci plus tard. Malgré le fait que j’apprécie beaucoup le travail de Martin WEILL (dont vous vous rendrez vite compte), je ne serai pas tout à fait poli avec lui dans cette entrée. Aujourd’hui, j’aimerais attirer votre attention sur un “jeune” journaliste dont vous avez certainement déjà entendu parler.
Martin WEILL, né le 11 avril 1987 à Paris et âgé aujourd’hui de 27 ans, a étudié à l’Institut d’études politiques de Bordeaux, à l’Université de Cardiff et à l’École supérieure de journalisme de Lille (ESJ). Diplômé de l’ESJ en 2012, il travaille brièvement pour TF1, réalisant des reportages pour les JT de 13h et 20h, avant de rejoindre l’équipe Supplément de Canal+ en septembre de la même année. Il y rencontre le surdoué JRI (Journaliste Reportage Images) Félix SEGER (oui, oui !). Depuis le 26 août 2013, les lecteurs du Petit Journal (LPJ) ont pu suivre le dynamique duo.
Il n’y a pas beaucoup d’images de Martin WEILL, qui travaille à la télévision, disponibles en ligne. En fait, il devient évident que la même image est utilisée pour illustrer la grande majorité des articles à son sujet. Un tel “studio photo” mis en scène si vous voulez.
Beaucoup de soin semble être apporté à sa vie personnelle (et tant mieux). Bien que j’ai pu trouver une bonne interview de lui en 2013 (malgré le fait qu’il tweete rarement et donne peu d’interviews), j’ai trouvé que les informations qu’il a fournies dans ces interviews étaient souvent vagues. Après avoir tout lu, écouté, regardé et RE-regardé, voici quelques réflexions.
Google veut vous aider dans vos quêtes parce qu’il « veut être votre ami ». Pour ce faire, il propose des titres de recherche suggérés basés sur les requêtes les plus populaires saisies dans la barre de recherche. Lorsque quelqu’un enregistre “Martin Weill”, nous lui suggérons immédiatement son nom sur Google. Quelles sont les personnes qui utilisent Google les plus curieuses d’en savoir plus sur lui ? Les captures d’écran ci-dessous montrent que tous les utilisateurs de Google ne partagent pas les mêmes préoccupations.
Les recherches Google sur “Martin WEILL” donnent souvent des résultats le comparant à l’auteur du “Petit Journal” (cela correspond, il écrit pour cette publication). A cause de son patronyme, on se demande s’il n’était pas un peu pistonné (son père, Claude WEILL, était un journaliste qui occupait un poste de responsabilité au sein de la rédaction de l’Obs (ex Nouvel Obs)).
Et bien sûr, aucune personne célèbre n’est à l’abri de la question du “couple”. Mis à part le fait que la “taille” de Martin se classe quatrième dans les recherches proposées, il n’y a pas eu grand-chose à raconter jusqu’à présent.
Contrairement à Google Images, cela devient intrigant. Il semble que tout le monde aimerait voir des photos de Martin et de sa petite amie sur son Instagram si c’est possible. pour essayer de deviner sa taille, j’ai supposé Et puis il y a la question du piston, mais tout le monde semble supposer que c’est le fils de Laurent WEIL (fail!). Non, mais sérieux, c’est quoi ce troll.
Vous n’allez pas me dire qu’il est possible de passer à côté du fait que vous essayez de retracer une lignée paternelle d’un ensemble de noms à l’autre. … Oh, et pendant que nous sommes ici sur Google Images, j’aimerais attirer votre attention sur le fait qu’en portant simplement deux chemises, l’une en jean et l’autre bleue, vous pouvez représenter avec précision 70 % de vos rapports LPJ (en gros; je n’ai pas fait le calcul). Si vous jetez un.