Marlène Schiappa Vie Privée – Homme politique et essayiste française, Marlène Schiappa est née à Paris le 18 novembre 1982. Actuellement adjointe au maire de la ville du Mans et conseillère municipale de la ville du Mans depuis 2014, elle est également en charge de l’action « émancipation des femmes » à La République en marche.
De mai 2017 à juillet 2020, elle occupera le poste de secrétaire d’État chargée de la promotion de l’égalité femmes-hommes et de la lutte contre les discriminations ; à ce titre, elle sera chargée de promulguer des lois visant à alourdir les peines pour les agressions sexuelles et sexistes. Elle devient ensuite déléguée du gouvernement Castex aux questions de citoyenneté en mai 2018, poste qu’elle occupera jusqu’en mai 2022. Dans le second gouvernement du Borne, elle est nommée secrétaire d’État chargée de l’économie sociale et solidaire et de la vie associative. en juillet 2022.
Son père, Jean-Marc Schiappa, est historien, militant de la libre pensée et ardent lambertien. Sa mère, Catherine Marchi, est administratrice scolaire, féministe4, ancienne militante politique et syndicale et lambertienne trotskiste. Ils ont deux autres filles (5 et 6 ans) et un fils (6 ans).
Son père, lui-même troll militant, est régulièrement en désaccord avec ses prises de position publiques en raison du soutien de son fils à Emmanuel Macron.En 2021, il envisage de participer activement à la campagne présidentielle de Jean-Luc Mélenchon.
Elle a qualifié son mariage à 19 ans et son divorce de “grosse bévue” dans l’émission Touche pas à mon poste ! le 8 mars 2018. Elle se remarie en 2006 avec Cédric Bruguière, consultant en ressources humaines et essayiste ; le couple a maintenant deux filles.
Formation
La couverture de Paris Match présente un portrait du rédacteur en chef du magazine. Marlène Schiappa affirme qu’à 17 ans, elle s’est rebellée contre le trotskisme de son père en préparant, mais sans vraiment le passer, le concours d’entrée à la gendarmerie.
Elle étudie d’abord la géographie pendant un an à la Sorbonne après avoir obtenu un baccalauréat en option économique et sociale russe11, mais elle se désintéresse rapidement de la matière et change de département.
Par la suite, elle commence à travailler à la régie publicitaire Euro RSCG12. Puis, alors qu’elle est en congé maternité, elle reprend le chemin de l’école et décroche son baccalauréat en communication et nouveaux médias mention écriture électronique par une démarche de bilan des acquis à l’Université de Grenoble.
Suite à la naissance de sa fille en 2007, Marlène Schiappa a démissionné de son poste à Euro RSCG pour se consacrer à sa famille. À ce stade, elle comprend à quel point il est difficile de concilier travail et responsabilités familiales. En 2008, elle a lancé le populaire blog Maman travaille, qui se présente comme « le premier réseau de mères actives »14. Le site a rapidement gagné une audience considérable.
En 2008, le groupe se formalise en association à but non lucratif dédiée à la promotion de l’égalité parentale et de l’équilibre vie professionnelle/vie privée (conformément à la loi sur le congé parental de 1901) en délivrant dix propositions aux chefs d’entreprise et aux décideurs politiques.
Ces propositions comprenaient, entre autres, une pression pour des congés de paternité plus longs et une meilleure rémunération pendant ce temps libre. L’association organise régulièrement des ateliers, des conférences et des journées « Maman travaille19 ». Tout au long de ses études, elle a utilisé le terme « plafond de la maternité », qu’elle a développé.
Un groupe de mères actives s’est regroupé pour former le Pacte Transparence Crèches, avec l’intention de rendre publics les critères d’attribution des places en crèche selon des critères transparents. Plus de 20 000 personnes ont signé une pétition demandant que ce Pacte soit mis en œuvre dans le monde entier.
Les autres œuvres écrites d’Internet
Depuis 2007, elle a publié de nombreux articles sur les droits des femmes et des hommes sur ses différents blogs, dont Lespasionarias, Mamantravaille, Jaime-ma-famille avec Loc Lecanu21, et le Neuilly-Bondy Blog.
Livres et magazines sur le sexe et la sexualité
À partir de 2010, Marlène Schiappa publie plusieurs ouvrages sous le pseudonyme de Marie Minelli pour un recueil dégradé de matériel sexuellement explicite publié par La Musardine. D’autres critiques feront son éloge, notamment Daria Marx, qui dit reconnaître « plusieurs maladresses »24 au sujet d’un des livres insultant et grossophobe22,23.
En 2001, elle se présente à la mairie de Paris représentant le 15e arrondissement sur « une liste associative de gauche »25. En 2014, Marlène Schiappa était un nom familier. Elle est arrivée au Mans au tournant du millénaire et est actuellement représentée par le maire PS, Jean-Claude Boulard5. Elle s’est présentée aux élections locales de mars 2014 sur la liste maire de l’Union de la gauche, terminant à la quinzième place, bien qu’elle ne soit pas encore membre du PS.
Aux élections régionales d’Île-de-France de 2021, elle sera tête de liste pour la Liste de la majorité présidentielle (LREM) dans le 31e arrondissement de Paris. Interrogée sur une éventuelle candidature en janvier 2021.
Conseiller ministériel
La ministre de la Famille, de l’Enfance et des Droits des femmes Laurence Rossignol a été nommée à son 33e poste ministériel en mars 2016 à la suite d’un remaniement du gouvernement Manuel Valls (2). En juin 2016, sa mission sera terminée.
Aide au président français Emmanuel Macron
Lors de l’élection présidentielle de 2017, elle apporte son soutien à Emmanuel Macron, devenant finalement l’un de ses 100 délégués dans le pays. Poursuivre son implication dans le mouvement Plusieurs rendez-vous d’Emmanuel Macron ce mois-ci seront introduits par Marlène Schiappa (Lyon, Angers, Bastia, Le Mans).
Après l’élection, elle a été nommée à la tête du département chargé de promouvoir l’égalité femmes-hommes en coordonnant les efforts programmatiques du gouvernement dans ce domaine (pôle « égalité femmes-hommes »36) et en agissant comme déléguée à la question (pôle « égalité femmes-hommes »). hommes »), cette dernière étant surnommée la « grande cause nationale du quinquennat » par le gouvernement.