Marie Laforêt Parents

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Marie Laforêt Parents – Matena Doumenach est née à Soulac-sur-Mer, Gironde, le 5 octobre 1939. Elle a eu une éducation difficile en tant que fille de Jean Doumenach, un prisonnier industriel de guerre en Allemagne.

Dès la promotion de son père au poste de directeur d’une usine ferroviaire à Valenciennes en mai 1945, la famille s’y installe. Lorsqu’elle est arrivée à Paris avec sa famille à l’adolescence, elle sortait à peine de l’adolescence. Elle découvre le théâtre au lycée et, à 16 ans, joue dans Les Fausses Confidentiels de Marivaux dans le cadre d’un spectacle de fin d’année.

Elle est allée au concours de théâtre Naissance d’une star d’Europe 1 avec sa sœur Alexandra alors qu’elles étaient toutes les deux étudiantes. Elle s’est initialement inscrite pour se débarrasser d’une partie de sa conscience de soi.

Un rôle dans le prochain film de Louis Malle, Une Victoire d’après Joseph Conrad, surprend complètement la jeune fille qui a remporté le concours. Marie Laforêt est choisie pour Plein Soleil (1960) de René Clément, face à Alain Delon et Maurice Ronet, après l’annulation définitive du projet de film.

La Fille aux yeux d’or (1961), Le Rouge et le Noir (1961) et Léviathan (1962) ne sont que quelques-uns des films dans lesquels elle apparaît (1962).

Henri Verneuil et Edouard Molinaro font partie des nombreux réalisateurs avec lesquels elle a collaboré dans sa carrière, dont Claude Chabrol, Georges Lautner, et Edouard Molinaro (Les Morfalous).

En 1987, elle travaille avec le réalisateur Gérard Mordillat sur le film Fucking Fernand, qui lui vaut une nomination au César de la meilleure actrice dans un second rôle. L’actrice est apparue pour la première fois à l’affiche de Dis-moi oui d’Alexandre Arcady en 1995, après avoir travaillé pour des cinéastes italiens dans les années 1990.

L’acteur, que l’on voit rarement sur grand écran, a choisi ses rôles avec soin (Villa Vanille en 1998, Les Offices de Dieu 2008). Elle a été nominée au Molière de la meilleure actrice en 1999 pour son interprétation de Maria Callas dans la pièce Master Class. En 2008, elle est revenue au rôle de chanteuse pour certaines des performances les plus mémorables de Master Class.

Marie Laforêt débute sa carrière de chanteuse à la fin des années 1950 à la même période. Son roman de 1963, Les vendanges de l’amour, est un succès retentissant. Une dizaine d’albums aux accents souvent folkloriques sortent entre 1964 et 1979 et contribuent au développement de la “world music” française (Que calo la vida, La cantante dagli occhi d’Oro, etc.).

Lorsqu’elle est finalement revenue à l’enregistrement en 1993, elle l’a fait avec un nouvel album intitulé Recognitions, qu’elle a signé et publié sous son propre nom.

Il y a cinq mariages dans la vie privée de Marie Laforêt. Le mariage qu’elle a eu avec le cinéaste Jean-Bernard Albicocco a été de courte durée. Lisa Azuelos (née en 1965) et Jean-Mehdi-Abraham Azuelos (né en 1968) sont ses deux enfants avec Judas Azuelos, qu’elle s’est remarié en 1965. (né en 1967).

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Alain Kahn-Sriber et Eve-Marie Deborah Kahn-Sriber se sont mariés en 1971 et ont eu une fille (née en 1974). Elle a épousé Pierre Meyer en 1980, mais l’union a été de courte durée. Elle a épousé Eric de Lavandeyra une cinquième fois en 1990 et est divorcée depuis.

Marie Laforêt est décédée en Suisse le 2 novembre 2019, à l’âge de 80 ans. Depuis plus de 30 ans, la chanteuse et comédienne surnommée “la fille aux yeux verts” vit à Genève, en Suisse, où elle est née.

Les racines catalanes et basques sont évidentes dans son prénom, Matena; le nom de famille de son père, Douménach, est catalan (correspondant à Domenech en catalan). Elle se fait parfois appeler “Ariègeoise”.

Olette, un village des Pyrénées-Orientales en France, est la maison ancestrale de son père, l’homme d’affaires Jean Douménach. C’est son grand-père, Louis Douménach, qui a construit les cabanes de Soulac, et c’est son arrière-grand-père, Louis Douménach, qui dirigeait les filatures de Lavelanet.

Ils ont cherché refuge à Cahors et à Lavelanet, la ville de leurs ancêtres, pendant la Seconde Guerre mondiale. La famille s’installe à Valenciennes après la guerre, lorsque leur père revient en mai 1945.

Elle a fréquenté le lycée Jean-de-La Fontaine à Paris après être devenue plus religieuse et avoir envisagé de rejoindre un couvent.

Le concours “Naissance d’une étoile”, organisé par Europe n° 1 en 1959, est la première étape de sa carrière. Elle aurait pu prendre la place de sa sœur en un clin d’œil… Le film “Freedom” de Louis Trunk l’a choisie.

Jean-Gabriel Albicocco, le réalisateur qui l’a choisie pour deux de ses films d’après les romans d’Honoré de Balzac, l’a épousée en 1961. Albicocco, décédé en 2001, a réalisé “La Fille aux yeux d’or”, une adaptation cinématographique du roman de Balzac , et “Le Rat d’Amérique”, une adaptation cinématographique de la pièce de Jacques Lanzmann.

En février 1963, “Les Vendanges de l’amour” de Danyel Gérard l’élève au rang de célébrité. “Frantz”, “Les Vendangeances de l’amour” et “Manchester and Liverpool” ne sont que quelques-unes de ses autres réalisations notables.

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