
Mari De Faustine Bollaert Marc Levy – Anciennement connu sous son prénom, Maxime Drouot est né le 19 février 1976 à Herblay, Val-d’Oise, France. Il a grandi en banlieue parisienne en tant que fils d’un directeur artistique de magazine et d’une secrétaire générale. Lors d’un voyage en Thaïlande avec sa grand-mère à l’âge de 12 ans, il tient son premier journal.
Il voyage fréquemment aux États-Unis jusqu’à l’âge de 17 ans. Cette jeunesse nomade va stimuler sa sensibilité littéraire. Sa mère lui a inculqué l’amour de la lecture, et après avoir découvert les œuvres d’auteurs comme Stephen King et Tolkien, il a été obligé de s’essayer à l’écriture.
Diplôme en poche, l’étudiant imaginatif s’inscrit aux cours de théâtre de l’Institut Simon à Paris. Il participe à de nombreux castings et finit par décrocher un petit rôle dans le blockbuster Angélique, marquise des anges de Robert Hossein en 1995.
Caché, il écrit patiemment des histoires dans l’espoir qu’un des autres comédiens de la troupe les remarque. Il l’encourage alors à composer des œuvres théâtrales. Maxime compose sa première pièce de théâtre, intitulée « Le Mal », alors qu’il est en pleine émeute. Il n’a pas été publié, mais il est déterminé à continuer dans cette voie. Il assume une variété de petits boulots et effectue quelques concerts publicitaires pour subvenir à ses besoins.
À la fin des années 1990, il commence à travailler comme vendeur dans un magasin Fnac de la région de Saint-Lazare, notamment dans le rayon consacré aux romans policiers. Son véritable amour est l’écriture et il envisage d’écrire un roman sérialisé sur un tueur en série. Perfectionniste obsessionnel, il compte passer l’année prochaine des études de criminologie à l’université de Saint Denis. L’un de ses professeurs, médecin et juriste à l’Institut médico-légal de Paris, lui donne l’occasion d’observer pour la première fois une autopsie en novembre 1999.
Son premier roman, intitulé “L’âme du mal”, est un travail en cours, et il consacre ses soirées à l’écrire. En 2002, il trouve un avocat chez l’éditeur Michel Lafon, qui accepte de sortir le livre. Le livre devient un succès instantané, et les parutions suivantes d’In Tenebris (2003) et de Maléfices (2004) complètent la trilogie (La trilogie du mal). En conséquence, elle devient un best-seller, se vendant à plus de 400 000 exemplaires.
Après cela, Maxime Chattam s’est concentré uniquement sur la rédaction de procédures policières. En 2003, son roman “Le cinquième Règne”, écrit en 1999, remporte le “Prix du roman Fantastic’Arts” au festival de Gérardmer. L’auteur prolifique sort généralement un roman par an (comme Le song du temps, Les arcanes du chaos et Predators). Outre des romans, il écrit également des nouvelles et adapte sa “Trilogie du Mal” en bandes dessinées. En juin 2016, son vingt et unième roman, intitulé “Le coma des mortels”, avait été rendu public.
En ce qui concerne sa vie personnelle, Maxime Chattam est marié à l’animatrice Faustine Bollaert depuis l’été 2012. Le 18 juillet 2013, ils deviennent parents d’une petite fille qu’ils ont prénommée Abbie. Le 24 juillet 2015, a vu la naissance du deuxième enfant du couple, un fils qu’ils ont nommé Peter. Maxime Chattam, invité assidu de la radio Europe 1, a une nouvelle fois livré une anecdote humoristique. L’auteur a un large éventail d’intérêts, il n’hésitera donc pas à mener des recherches approfondies avant de commencer un nouveau roman.
Par exemple, Maxime Chattam s’est intéressé à savoir si certains « prélèvements chez un type extrêmement spécifique de victimes et dans des cas de mutilation du corps » étaient réalisables. C’est une question vraiment lancinante : pour tester si cela fonctionnerait si le tueur en série brûlait une partie du corps, j’ai suggéré de l’essayer dans un de mes livres. Ils pensaient que c’était une question vraiment intrigante.
Les dirigeants de l’IRCGN ont cédé aux pressions du mari de Faustine Bollaert et ont accepté de réécrire le protocole en question “afin que les médecins légistes puissent potentiellement intervenir de ce côté pour récupérer l’ADN”, comme l’a dit Maxime Chattam. Et c’est ainsi que l’imagination débordante d’un romantique a donné naissance à un tout nouveau protocole !
Seize ans se sont écoulés depuis la parution de son premier roman ; si c’était vrai… New York est une ville où il fait bon vivre, et les événements qui y sont relatés Avec la sortie d’Une fille comme elle, son douzième roman (éd. Robert Laffont, 384 pages, 21,50 euros), Marc Levy a consolidé sa position comme l’un des auteurs français les plus lus dans le monde, avec plus de 40 millions d’exemplaires vendus et des traductions dans 49 langues différentes. C’est lors d’un passage de Faustine Bollaert à Paris qu’elle a été invitée à se joindre à elle pour une dégustation.
Maxime Chattam, invité assidu de la radio Europe 1, a une nouvelle fois livré une anecdote humoristique. L’auteur a un large éventail d’intérêts, il n’hésitera donc pas à mener des recherches approfondies avant de commencer un nouveau roman.
Cela dure depuis plus de huit ans entre Maxime Chattam et Faustine Bollaert. Les parents de Peter et Abbie, les tourtereaux, ont souvent dit que c’est sur les patins à roulettes que leur histoire d’amour a commencé. Il n’est pas choquant d’apprendre que Maxime Chattam est un écrivain particulièrement attiré par les événements bizarres et les styles d’écriture horribles.
Les gens sont choqués d’apprendre que je vis comme un homme attiré par le macabre et l’obscurité, mais ils doivent savoir que j’étais une adolescente attirée par le noir, a-t-elle déclaré. J’ai été confrontée à très jeune à la mort, de façon régulière, et ça a développé chez moi un intérêt pour le sujet », avait nommé Faustine Bollaert à ce sujet dans les colonnes de Voici. Mais si Maxime Chattam aime mélanger réalité et fiction dans ses romans sur le meurtre et autres tragédies, il aime aussi le premier.Il n’est pas nécessaire d’anodiser cette question.
