L Affaire Thomas Crown 1999 – Thomas Crown, financier bien connu, collectionneur d’art et généreux mécène, a le goût du risque et de l’aventure. Malgré sa confiance en lui, il continue d’être un solitaire invétéré avec seulement
Chaque fois qu’ils avaient une brève aventure. Il a sauté le déjeuner ces dernières semaines pour pouvoir prendre son temps pour admirer un tableau de Van Gogh dans le plus grand musée de la ville. C’est un point soulevé par le conservateur.
lui une valeur incalculable dont le financier reste indifférent Le musée est un jour envahi par un commando de quatre hommes. Le Monet est caché dans la sacoche de Crown en ce moment. L’homme d’affaires Thomas Crown, à la fois riche et séduisant, fait l’objet de cet article.
organise un braquage de banque pour éviter l’ennui et assouvir son désir de danger. Des hommes de main exécutent parfaitement son plan, puis il récupère l’argent volé dans une poubelle après le hold-up. L’enquêteur de police Vickie Anderson travaille pour une compagnie d’assurance.
pour les besoins de son enquête, se rapproche de Crown Par les soupçons de la jeune femme, le milliardaire qui se croyait en sécurité est inquiet. un homme autrefois marié nommé Thomas Crown
Le patron d’une grande banque de Boston, un milliardaire, estime que sa vie de luxe ne le comble plus. Il se prépare minutieusement, dans le but de retrouver l’émotion de l’aventure.
Pas moins de neuf complices ont été impliqués dans le braquage, ce qui ne manquera pas de déstabiliser la police. Il pense que sa propre banque est le meilleur endroit pour effectuer ses cambriolages. Le cliché est une totale réussite. Bien que cette enquête ait été menée par
Thomas s’enfuit en Suisse pour cacher son argent au commissaire Malone, incapable de trouver une solution à l’affaire. Cet enquêteur est charmant et compétent, et il est envoyé par la compagnie d’assurance de la banque.
Steve McQueen et Faye Dunaway ont joué respectivement le rôle de Vicky Anderson et Vicky Anderson. J’adore comment ça s’est passé. Le tournage s’est bien passé et le réalisateur Norman Jewison est… presque… satisfait du résultat. L’assemblage sera un vrai challenge.
Alan R. Trustman, un avocat de Boston, a écrit le scénario de quarante pages de ce qui allait devenir The Thomas Crown Affair, qui raconte l’histoire d’un homme démotivé.
Un multimillionnaire se lance dans un cambriolage à grande vitesse. En conséquence, le metteur en scène sera libre d’expérimenter la scénographie et la technologie. Le split lui servira donc de pionnier.
Quelques mois plus tôt, lors d’une exposition à Montréal, il découvre un procédé de création d’écrans multiples (écrans divisés en écrans plus petits).
Certains réalisateurs ont utilisé cette technique.Dans L’affaire Thomas Crown, elle n’est pas seulement motivée par les visuels, mais aussi par l’histoire et la séquence hold-up pilotée de loin par Steve McQueen.Anecdote : Les scènes à un certain moment étaient mémorables.
L’intérieur du banquet a été filmé à l’aide d’une “caméra discrète”. Seuls la police et le personnel ont été informés du tournage, pas les clients. Il en est de même pour les scènes de théâtre. Ce sont des “vrais gens” plutôt que des “figurants”.Côté casting, nous espérions avoir Sean Connery et Anouk Aymée, mais aucun des acteurs n’était intéressé.
Échec et matDeux scènes et une chanson ont fait de ce film une partie de l’histoire du cinéma.
La scène du jeu d’échecs, une scène sans dialogue, mais seulement des allusions.Dans le second, qui découle du premier, se trouve le plus long baiser entre Steve McQueen et Faye Dunaway.
A l’époque, tout tournait autour du cinéma. 55 secondes était le temps exact qu’il a fallu. Ce fut long pour les deux acteurs car la tournée de cette scène a duré plus de huit heures réparties sur plusieurs jours.
Los Angeles est devenue la maison de Michel Legrand après qu’il ait été nominé pour un Oscar pour son travail sur Les Parapluies de Cherbourg. De nombreuses portes lui ont été ouvertes par Quincy Jones et Henry Mancini. Cependant, le vivote. Jusqu’en 1968, lorsque Norman Jewison appelle à un remaniement.
Dans le documentaire de Gregory Monro, “Michel legrand – Sans demi-mesure”, Michel Legrand raconte cet incident particulier. Jewison lui donne un aperçu du premier acte du film. Cela a duré cinq heures. Après
Lors de cette présentation, le réalisateur et Hal Ashby (le monteur) ont avoué à Michel Legrand qu’ils étaient perdus : ils ne savaient pas comment faire le film ! Réponse du compositeur
Je pense que j’ai une idée, et je pense que la musique va tout décider.Il leur conseille de prendre des vacances et dit avoir besoin de six semaines pour composer toute la musique du film.
Sans plus tarder, je préférerais ne plus revoir le film. Je vais laisser le crayon faire son truc, et c’est lui qui déterminera la durée de chaque scène. Jewison acquiesce.
C’est unique parce qu’à Hollywood, la musique d’un film est généralement créée et ajoutée après le tournage du film. Michel Legrand se met au travail, écrit et enregistre une heure et demie de musique. normand