
Jean-Yves Halimi Age – Jean-Yves Halimi rend hommage à sa maman, Gisèle Halimi : “Maman, aujourd’hui entouré de ma famille et devant les plus hauts représentants de la Nation, je me sens un peu seul.” Pour gagner sa mère dans sa jeunesse, il se vantait souvent : « Je suis membre du MLF, le Parti freudien marxiste-léniniste ».
Jean-Yves Halimi avait une relation difficile avec sa défunte mère, la célèbre avocate Gisèle Halimi ; il attribue à la psychanalyse la béquille qui l’a aidé à surmonter son chagrin. En plus de déplorer publiquement son incapacité à avoir des filles à la place de ses trois fils, elle a gravement endommagé son fils aîné, Jean-Yves, par une série d’incidents qu’il préfère garder pour lui.
Il y eut aussi des victimes collatérales. Et c’est pourquoi on a fait appel à Freud (et au gauchisme, autre béquille utile). Cependant, la psychanalyse n’a jamais intéressé ma mère. Comme elle le disait, « tout est une question de volonté ». Quand on la regarde, on se dit qu’on peut déplacer des montagnes sans recourir à la psychanalyse. Mais nous ne sommes pas tous bâtis comme elle !»
Gisèle Halimi s’est battue pour la dépénalisation de l’avortement et la criminalisation des violences conjugales en tant que porte-parole des combattants du FLN pendant la guerre d’Algérie. Après le procès de Bobigny en 1972, les choses ont radicalement changé. Elle était absente et souvent cruelle dans le rôle de mère. Au sein de sa fratrie, Jean-Yves est le seul à avoir procréé. Le seul souhait d’un enfant seul pour sa mère
Son fils, Jean-Yves Halimi, a été accueilli sur le plateau de C à Vous à l’occasion de l’hommage national à feu l’avocate Gisèle Halimi, qui s’est tenu le 8 mars au palais de justice de Paris. Ce dernier a fait une allusion au passage à son frère journaliste Serge, qui avait décliné une invitation à assister à la cérémonie.
En hommage à la défunte militante féministe et ancienne avocate Gisèle Halimi, décédée en juillet 2020 à l’âge de 93 ans, Emmanuel Macron a désigné juillet 2020 comme journée de deuil national. Les plus hauts responsables de la nation étaient là, ainsi que Jean-Yves Halimi, avocat et fils aîné d’un autre avocat, qui a prononcé un discours émouvant sur sa mère.
Les tempêtes, les éclipses, les hivers et les étés faisaient tous partie de notre expérience. La météo imprévisible de notre relation n’a cependant jamais été entachée par les nuages sombres de l’indifférence, qui seuls auraient pu altérer la fermeté de notre lien”, a-t-il déclaré.
Serge Halimi, l’autre fils de Gisèle, a décidé de sauter la cérémonie car son frère Jean-Yves serait là. Il a affirmé que l’Elysée tentait de faire une rentrée politique à un moment terrible, alors que le pays était déjà mobilisé contre “une réforme des retraites extrêmement injuste” à laquelle sa défunte mère se serait fermement opposée. Selon son fils, Emmanuel Macron aurait reçu un chaleureux “bravo de Gisèle Halimi”.
Mercredi, l’équipe de C à Vous a reçu la visite de Jean-Yves Halimi, qui a poursuivi la tirade de son frère. Après l’annonce par Macron de vouloir inscrire l’avortement dans la Constitution, l’avocat est persuadé que sa mère aurait dit “Félicitations à Macron”, contrairement à la mère de Serge Halimi.
Jean-Yves Halimi Age: 71 ans
Je ne veux pas me disputer avec mon frère, que j’aime beaucoup, mais il a fait semblant d’avoir égaré mon numéro de téléphone pendant quelques jours. Je vais juste lui dire deux choses : “Un homme ne peut pas s’en empêcher” et “C’est parfois utile de construire son surmoi””, a-t-il marmonné avant de lâcher la bombe. On imagine que les tensions sont vives entre les deux fils de Gisèle Halimi.
Jean-Yves Halimi, le fils de Gisèle Halimi, a été accueilli sur le podium C à Vous au Palais de justice de Paris le 8 mars pour un hommage national au défunt avocat. Ce dernier a brièvement évoqué son frère Serge, un journaliste qui a refusé d’assister à la cérémonie.
Ce mercredi 8 mars prochain est internationalement reconnu comme la Journée des droits des femmes. L’ancienne militante féministe et avocate Gisèle Halimi sera morte depuis un an au moment où Emmanuel Macron choisit de lui rendre un hommage national en juillet 2020, l’année où elle aurait eu 93 ans. Jean-Yves Halimi, avocat et fils adulte d’un autre avocat, a prononcé un discours émouvant sur sa relation avec sa mère et figurait parmi les personnalités les plus en vue présentes.
Néanmoins, le ciel mercuriel de notre relation n’a jamais été obscurci par le sombre manteau de l’indifférence, qui seule aurait pu fragiliser notre lien” a-t-il déclaré. Serge Halimi, l’autre fils de Gisèle, a décidé de sauter la cérémonie même si son frère Jean-Yves était là.
Cet individu a accusé l’Elysée de chercher la rédemption politique tout en notant que le moment est mal choisi alors que la nation est actuellement unie contre ce qu’il appelle “une réforme incroyablement injuste des retraites”, à laquelle sa défunte mère aurait été “farouchement opposée” si elle était encore en vie.
En l’an 2020, le 28 juillet, Gisèle Halimi est décédée à Paris. L’avocate féministe, qui avait 93 ans, avait trois enfants. Gisèle Halimi fait partie des femmes qui ont changé la France à jamais. La famille de la célèbre avocate franco-tunisienne a annoncé le 28 juillet qu’elle était décédée à Paris. La veille, elle a fêté ses 93 ans.
Au fil des années, elle est devenue une véritable figure du féminisme après avoir lutté pour l’indépendance de son pays, la Tunisie, ainsi que pour l’Algérie. En 1971, elle co-fonde avec Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir l’association pour les droits reproductifs des femmes, Choisir la cause des femmes.
