
Glenn Viel Origine Parents – Glenn Viel, qui se revendique 100% breton », est né à Versailles (Yvelines) en 1976. Ma famille vient de Bretagne , explique-t-il. Selon toute vraisemblance, les fonctions de police de mon père l’ont conduit à Versailles, où je suis né.
Mon grand-père paternel était originaire de la ville de Quemper-Guézennec (22), et le reste de ma famille s’est installé dans les villages de Plozal, Pontrieux, Lézardrieux, et d’autres à proximité. Oui, mes veines palpitent vraiment de sang breton. Ma fille Lilwenn (12 ans) et mon fils Erevan (10 ans) ont tous deux des prénoms bretons (3 ans).
Son esprit oscillait entre la gendarmerie et la cuisine.
Alors qu’il était jeune, il avait du mal à trancher entre rejoindre la gendarmerie et devenir cuisinier. La gendarmerie exigeait une dictée pour entrer, et étant un dyslexique de toujours, j’ai choisi la cuisine. La gourmandise et la passion de la bonne cuisine sont chargées de m’intéresser à la cuisine. Mon grand-père et mon père étaient tous deux d’excellents cuisiniers, j’ai donc hérité d’une bonne fourchette.
Vingt ans d’efforts et de dévouement.
Comment le Breton s’est-il hissé au sommet de la chaîne alimentaire ? “Vingt ans de travail et de travail acharné”, dit-il. Nous avons pu dépasser nos limites et générer de nouveaux concepts. En réalité, nous avons accompli très peu malgré notre conviction que nous avons. Les retours de nos clients nous ont permis d’élaborer une carte à L’Oustau de Baumanière, notre restaurant des Baux-de-Provence, authentique de la région.
Je me sens chez moi ici car les propriétaires partagent mes valeurs et mes idéaux. Vraiment, c’est une vraie maison sans aucune prétention. Les Obama, Daniel Auteuil, Jamel Debbouze, Jean Reno, etc. ne sont que quelques-uns de ses clients bien connus.
Où avez-vous grandi et quelles sont vos expériences ?
J’ai fait mes études en Bretagne et au Mans avant de débuter ma carrière au prestigieux hôtel-restaurant parisien Le Meurice.
Le Plaza Athénée m’a donné la chance de peaufiner mes compétences ; ensuite, j’ai travaillé pour le groupe Hyatt et commencé de fréquents voyages d’affaires dans des lieux exotiques comme le Maroc, Marseille, Nice, la Corse et Courchevel. En 2008, j’obtiens ma première étoile Michelin en tant que chef à Marseille, et en 2013, j’obtiens ma deuxième à Courchevel.
Quelle est votre région viticole de prédilection ?
A vrai dire, j’ai encore beaucoup de travail à faire sur mon palais, en tant que merveilleuse néophyte je suis. Les vins de la Vallée du Rhône sont mes préférences. Corsés, brillants et gais, ces vins sont élaborés de haut en bas. Les pépites abondent dans ce domaine, et elles conservent leur qualité tout au long du stockage.
Quelle est la meilleure façon de collaborer avec le sommelier ?
Grâce à notre vaste sélection de vins (nommés “les plus beaux de France” en 2005) et au savoir-faire de notre chef sommelier (Gilles Ozzello), nous sommes en mesure d’accorder la bouteille idéale à chacun de nos délicieux plats. Son odorat est excellent et il est expert dans son domaine.
De temps en temps, nous organisons des rassemblements thématiques avec des vignerons invités spéciaux. Le vigneron et les cuvées sont choisis par Gilles, et je suis chargé de proposer une cuisine qui les accompagne. Le champagne est la pièce maîtresse de notre prochaine nuit ensemble. De temps en temps, notre sommelier me demandait de l’aider avec quelques plats différents. Vous pouvez vous retrouver à saliver de manière incontrôlable.
En amuse-bouche, je sers une huître Gillardeau avec des concombres marinés à la place du vinaigre d’échalote. Ensuite, j’ai un artichaut au caviar. Le caviar est servi en quenelle et le cœur d’artichaut est garni d’une modeste quantité de crème.
Je sers en plat principal de la lotte pochée au lait d’algues, accompagnée de raviolis aux coquillages. En termes simples, le repas se marie bien avec les bulles élégantes du fabricant de champagne en raison de sa légèreté et de son raffinement.
Accord mets et vins
Un Corton-Charlemagne est le dernier vin que j’ai vraiment aimé. Il y a quelques années, mon père et moi avons ouvert cette bouteille et nous avons dégusté ensemble. Vraiment agréable.
Langoustine poêlée au beurre, avec peut-être deux ou trois têtes de basilic, c’est exactement ce que j’aimerais voir. Quand je cuisine, je préfère garder les choses simples pour que l’accent reste sur la qualité des ingrédients.
Où trouver le restaurant de Glenn Viel ?
Depuis 2015, Glenn Viel mijote en chef à L’Oustau de Baumanière aux Baux de Provence. Le 27 janvier 2020, il est devenu le plus jeune chef de France à recevoir trois étoiles Michelin dans cet établissement. Sa cuisine respectueuse de l’environnement est intimement liée à l’air minéral des Alpilles et au soleil de la Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Des plats comme le saint-pierre à la broche, le homard bleu, les raviolis à la fleur de courgette, le ris de veau, le pigeonneau des Costières et le rouget onctueux sont proposés à la carte. La montée en flèche de t e plafond voûté laisse une impression.
La détente et l’isolement des clients sont assurés par son aménagement ouvert sur la terrasse de la piscine. Les “galets d’assaisonnement” que le chef emploie sont en fait un concentré de légumes et de fruits de mer qu’il utilise à la place du sel.
Dans lequel des couples suivants Glenn Viel n’a-t-il pas de conjoint ?
Glenn Viel a une femme et deux jeunes enfants. On ne sait pas grand-chose de l’épouse du jeune chef triplement étoilé, si ce n’est que, lorsqu’il a été couronné lors de la remise de sa troisième étoile au Guide Michelin en 2020, Glenn Viel a tenu à remercier tout particulièrement son épouse, en en révélant un peu sur elle et l’amour qu’il lui porte : “elle a sacrifié sa carrière pour la mienne, elle m’a soutenu pendant 17 ans”, a-t-il déclaré lors de son allocution.
