Gael Robic Est Il De La Famille De Jean Robic – Jean Robic lors de la 19e journée du Tour de France 1947. Jean Robic est né le 10 juin 1921 à Condé-lès-Vouziers, Ardennes, et mort le 6 octobre 1980, dans un accident de voiture à Clay-Souilly, Seine et Marne, France. Marne est une cycliste française connue pour sa vitesse et son agilité.
Généalogie de Jean ROBIC
Jean Robic, cycliste français, est né le 10 juin 1921 à Condé-lès-Vouziers Ardennes et mort le 6 octobre 1980 à Clay-Souilly en Seine-et-Marne. Professionnel de 1943 à 1961, il remporte de nombreuses courses dont le Tour de France 1947 et le titre mondial de cyclo-cross 1950.
Vu dans Libération : “La colère noire du nain jaune”
Les Robics étaient originaires du Morbihan, mais après les destructions causées par les guerres de 14-18, les Ardennes avaient désespérément besoin d’armes. Ainsi, Jean est né le 10 juin 1921, dans la commune de Condé-les-Vouziers (Ardennes).
Radenac rend hommage au petit Jean Robic
Ses parents, Jean Robic et Rose Le Lay, sont également originaires de Radenac, mais le futur champion a vu le jour dans les Ardennes, où son père avait servi, en 1921.Encyclopédie Universalis : Jean Robic (1921-1980) www.universalis.fr encyclopédie jean-robic
Encyclopédie jean-robic Cached PersonnalitéCarrière Vie personnelle Le cycliste français Jean Robic Condé (né le 19 juin 1921 à VuzEx et figure populaire en France. Son tempérament était si fougueux et provocateur qu’il a gagné les surnoms de “Trompe la mort” et “Rogue” pour toutes les fois où il s’est écrasé pendant les courses.
Visitez universalis.fr pour la liste complète. En 1943, Jean Robic se joint à l’équipe professionnelle connue sous le nom de le Génial – L’équipe de Lucife. Pour le premier Tour de France d’après-guerre en 1947, Jean Robic est choisi pour rouler dans l’équipe de l’Ouest, une sorte d’équipe bretonne dont il sera longtemps le porte-drapeau. résultats de recherche sur universalis.
Après sa retraite, il tient un café dans le quartier breton de Montparnasse à Paris, où il ne se lasse pas de raconter des histoires à ses habitués. Le 6 octobre 1980, il est tué dans un accident de voiture à Claye-Souilly (Seine-et-Marne). Retrouvez la liste complète sur universalis.fr.
Il y aura une étape du Tour de France à Radenac. Ils connaissaient bien Jean Robic, alors il les a accueillis dans son hôtel : « Avec mon père, qui était un grand allié de la famille, nous avons été accueillis à l’hôtel de Jean Robic. En souvenir de lui, il était toujours souriant et assez confiant.
Jean-Loup Robic, le fils du légendaire Jean Robic, est âgé de 65 ans. Mon père aurait été fier d’avoir quelques circuits qui portent son nom. Quand il s’agissait de Radenac, il était complètement sous le charme. Adolescent, il se rend à vélo à la Bottine, hameau de Radenac situé à environ 1,5 km du centre-ville, où il suit des cours pour apprendre le métier de charron tonnelier.
Plus tard, il m’a donné des conseils judicieux que j’ai portés avec moi tout au long de ma carrière de cycliste. J’ai gagné le championnat d’Ile-de-France de cyclo-cross. Mais, il n’y a aucun moyen de le faire correspondre. Il s’est vanté que j’avais de meilleures qualités physiques que lui.
Mais je n’ai pas eu son courage ! Benoît Le Breton (né en novembre 1930 à Radenac) et son épouse Jeanine (née en mai 1934 en Algérie) ainsi que Claude Faucheux (né en décembre 1933 à Radenac) sont des personnalités bien connues de la communauté et gardent de bons souvenirs de la vie à Radenac dans les années qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale.
Etape à Vannes, 1947, une année que Radenac n’oubliera jamais. A 26 ans, Jean Robic junior remporte le Tour de France la première année après la Seconde Guerre mondiale.Il paraît que la scène est arrivée à Vannes. Plusieurs d’entre nous, dont mon père, raconte Claude Faucheux, avions parcouru en camion avec Théodore Nogues une traversée de la benne au vent mais sans conséquence de voir notre ami Jean Robic qui s’autoproclamait l’un des prétendants au podium.
Ce furent des moments heureux que Claude Faucheux n’oubliera jamais, remplis de cette sorte de joie profonde qui ne vient que du triomphe d’un athlète radenacien. Nous avons été accueillis à l’hôtel de Jean Robic à bras ouverts car mon père était un ami proche de la famille.
À ce jour, je peux encore l’imaginer souriant et se sentant complètement en sécurité. Ainsi, personne n’a été surpris lorsque Biquet (souvent appelé “Bieg”) a survolé la compétition dans la dernière ligne droite et a terminé premier de la “Côte des délices du cœur” à Paris. Il connaissait très bien la région. Il a travaillé dans cet établissement, notamment en sa qualité de propriétaire de club à Clamart.
Pour la petite ville du centre du Morbihan, la victoire d’une Radenacaise dans le Tour de France était un motif de fête. Beaucoup se souviennent encore de la phrase « Radenac était devenu illustre », qui était populaire parmi l’ancienne génération.
» Il y avait une variété de courses à choisir, y compris celles à vélo, à pied, etc. Claude Faucheux note que « Jean Robic participait souvent à la principale » à chaque retour au pays. Il y avait différents groupes d’âge avec leur propre ensemble de cours. Je me souviens d’avoir vu une pancarte qui disait «
la race des vieux », à partir de 50 ans. Je n’étais pas bâclé ; une pause chanceuse m’a donné la chance de conclure les choses. L’année 1947 a également été l’année où j’ai eu mon premier vélo, un Schwinn rouge brillant. Dans les années qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, il était inhabituel de recevoir un tel cadeau.
