
Frederic Zeitoun Maladie – La musique occupe une place importante dans la vie de Frédéric Zeitoun, et il en parle sur France 2. Cela ne veut pas dire qu’il ne voulait pas insulter certains des producteurs qui l’ont supplié de ne pas se présenter dans son fauteuil roulant lors de sa première apparition dans les média.
L’intégration de Télématin n’a pas été une difficulté du tout. “J’ai vu William Leymergie un jour et il a dit à Marie France : ‘Ce qui m’intéresse, ce sont vos chroniques.’ Il y a des gens formidables!”, lui avait-il déclaré.
Frédéric Zeitoun n’avait que huit jours lorsqu’il est arrivé en France en provenance de Tunisie en tant que paraplégique.France Sunday en 2011 l’a cité comme disant: “C’est mon père qui a choisi de me faire opérer le plus rapidement possible.” Il “se déplaçait toujours en fauteuil roulant”, selon le chroniqueur musical de France 2 TV.
Même lorsqu’il était enfant et adolescent, lorsque le regard des autres pouvait malheureusement devenir extrêmement lourd, il ne se détournait jamais de la caméra.Dans Gala le 17 juin, il déclarait : “Je ne veux pas faire pleurer les gens sur mon sort, mais c’est vrai que j’ai été stigmatisé dès mon plus jeune âge.”
Parce que je suis né avec ce handicap, j’ai appris très tôt que les intentions des gens n’étaient pas toujours bienveillantes et que la vie ne serait pas toujours simple.Après qu’on se soit moqué d’être le seul élève en fauteuil roulant de ma classe de lycée, j’ai réalisé que chanter avait un moyen de changer la perception que les gens avaient de moi.
J’ai rapidement décidé d’être optimiste face à la situation. Assis sur le fauteuil, il vaquait à ses occupations et défiait les stéréotypes. Je n’ai jamais eu peur d’aller à contre-courant.J’ai toujours voulu faire de la plongée sous-marine, et maintenant je peux dire que je l’ai fait ! Le quad a été mon tremplin pour apprendre à conduire une moto.
La présentation 2013 de Frédéric Zeitoun L’histoire enchantée du petit juif sur roues cherchait à démontrer que tout est possible.Même s’il parvient à s’en sortir avec son handicap, le chroniqueur n’en est pas moins outré par le traitement qu’il subit des autres. Il a récemment décrit un incident particulièrement choquant survenu dans une gare parisienne.
L’accessibilité n’est pas un handicap, mais plutôt un manque de sensibilisation.Pour Frédéric Zeitoun, cela a été déterminant. L’instant Deluxe a invité un journaliste de Télématin sur le plateau du vendredi 28 mai.
Le fait que Frédéric n’ait pas peur de parler ouvertement de ses combats quotidiens témoigne de son acceptation de son handicap. Pour lui, c’était l’occasion de se faire connaître et d’exprimer sa condition sans craindre d’être jugé.
Un homme de 59 ans a vécu une expérience assez horrible cette fois-ci.Un jour après sa sortie de détention, le chroniqueur a écrit sur son calvaire, dont il a profité pour se lancer dans une diatribe sur la “situation dégoûtante” qui s’était produite.
“Pour un reportage Télématin, je prends le train. D’après la SNCF, il semble que le successeur de mon assistant n’ait peut-être pas fait les démarches nécessaires pour m’identifier comme ayant un handicap physique”, détaille-t-il.
Après cela, il dit : “Vous devez arriver au moins 30 minutes avant l’heure de départ prévue ; mon train est arrivé à 11h39.Mon vol a atterri à 11h14 heure locale. En conséquence, je n’avais que 25 minutes d’avance, au lieu de 30 minutes.
Le temps limite est fixé à 30 minutes. Beaucoup d’argent. Frédéric, qui n’est pas du genre à se laisser intimider, intervient pour affronter un contrôleur dans un combat.Il essaie de lui expliquer le problème dans l’espoir qu’il reçoive de l’aide de ce dernier, mais en vain : « J’ai marché jusqu’à la plate-forme et j’ai rencontré un premier contrôleur, qui m’a dit : ‘Ah, ce n’est pas ma responsabilité, je ne supposez pas.
D’un simple tour de serrure, le sol s’éleva et je fus libre de monter.Cette indignation a enragé la journaliste, et elle est montée sur le plateau pour exprimer son indignation.Il prétend que “le regard des autres” est plus problématique que le handicap lui-même, et l’explique en disant : “Quand on dit à un gars qui a eu un accident de voiture que sa vie va être facile, on n’envisage pas le course d’obstacles à laquelle il est confronté.
Il s’est avéré qu’un deuxième contrôleur de train a reconnu Frédéric, et il a donc pu monter à bord du train juste à temps. Il a voulu faire passer un message à la SNCF et aux pouvoirs publics, s’attendant à ce qu’ils le regardent tous les deux : “Adaptons encore une fois les villes et rendons la ville au sens latin du terme accessible à tous. Il n’y a rien d’autre que nous Actuellement, nous sommes sur-handicapés.. Frédérique, comme indiqué précédemment, connaît bien les problèmes liés aux fauteuils roulants.
