
Fils Jean Michel Jarre – Médecin porté disparu dans le Tarn ; son mari et ses parents restent sous surveillance prolongée. Delphine Jubillard a disparu dans le Tarn à l’hiver 2020. Depuis, elle ne montre plus signe de vie. Sa femme et la mère et le père de son fils montent la garde.
Le mari de Delphine Jubular, infirmière de 33 ans et mère de quatre enfants portée disparue dans le Tarn depuis six mois, restera en garde à vue jusqu’au vendredi 18 juin aux côtés de sa mère et de son beau-père, le procureur de Toulouse. dit jeudi.
La garde des gardes a été prolongée de 24 heures supplémentaires (c’est-à-dire jusqu’à vendredi, ndlr) par les magistrats instructeurs. Dominique Alzeari a ajouté que les avocats des gardiens sont présents lors de toutes les audiences et procédures judiciaires.
Leur interrogatoire a commencé le 16 juin en raison d’incohérences dans le récit du mari sur la disparition de la jeune femme de Cagnac-les-Mines, près d’Albi, dans la nuit du 15 au 16 décembre.
Delphine Jubillar aurait quitté la maison vers 23h00 le 15 décembre pour promener leurs deux chiens au milieu d’une tempête de neige tout en portant un doudoune blanc et portant un téléphone portable, comme l’a raconté son mari. Après son départ, son mari a affirmé que les chiens rentreraient à la maison.
Vers 16 heures, lorsque leur fille s’est mise à pleurer, Cédric Jubillar se serait rendu compte que sa femme n’était pas à la maison et aurait appelé ses amis du village dans l’espoir qu’elle loge chez l’un d’entre eux. Après cela, il a décidé d’appeler les autorités.
Des articles de presse affirment que le soir du 15 décembre vers 23h00, Delphine Jubillar a envoyé une photo d’elle habillée pour la nuit à un “confident” avant de se retirer pour la nuit. Depuis trente ans, Cédric Jubillar clame son innocence, laissant entendre que son ex-épouse a peut-être “volontairement disparu”. Fin avril, les juges qui l’instruisaient l’avaient entendu pendant une demi-heure en tant que « partie civile », ou victime.
En décembre dernier, il a participé à une battue citoyenne qui a attiré un million de personnes, et samedi dernier, il a rejoint 80 amis et collègues à Albi pour une marche commémorative en son honneur.
Le procureur de Toulouse Dominique Alzeari a salué mercredi le travail des enquêteurs de la police toulousaine, affirmant qu’ils ont mené “six mois d’enquêtes intenses, variées et complexes”.
Delphine Jubillard, infirmière de 33 ans et mère de trois enfants, est portée disparue dans le Tarn depuis six mois. Le procureur de Toulouse a indiqué jeudi que son mari resterait en garde à vue jusqu’à vendredi, ainsi que la mère de Delphine et le père de son beau.
La garde des gardes a été prolongée par les magistrats instructeurs d’une journée supplémentaire (c’est-à-dire jusqu’à vendredi, ndlr). Dominique Alzeari a ajouté que les avocats des gardiens sont présents lors de toutes les audiences et procédures judiciaires. Vendredi “dans la journée”, a-t-il confirmé, il y aura une conférence de presse.
Depuis mercredi, ils sont interrogés sur des incohérences dans le récit du mari de la disparition de la jeune femme de Cagnac-les-Mines, près d’Albi, dans la nuit du 15 au 16 décembre.
Fils Jean Michel Jarre: David Jarre
Delphine Jubillar aurait quitté la maison vers 23h00 le 15 décembre pour promener les deux chiens du couple tout de blanc vêtue et munie d’un téléphone portable, comme l’a raconté son mari. Après son départ, son mari a affirmé que les chiens rentreraient à la maison.
Cédric Jubillar se serait rendu compte que sa femme n’était pas à la maison vers 4 heures du matin grâce aux cris de leur fille, il aurait alors appelé ses amis du hameau pour voir si elle logeait chez l’un d’entre eux. Après cela, il a décidé d’appeler les autorités.
Une photo de Delphine Jubular en chemise de nuit aurait été envoyée à un “confident” le soir du 15 décembre vers 23h00, juste avant qu’elle ne se couche. Depuis trente ans, Cédric Jubillar clame son innocence, laissant entendre que son ex-épouse a peut-être “volontairement disparu”. Fin avril, les juges qui l’instruisaient l’avaient entendu pendant une demi-heure en tant que « partie civile », ou victime.
En décembre, il a participé à une battue citoyenne à laquelle ont assisté un million de personnes, et samedi dernier, il a rejoint 80 amis et collègues à Albi pour une marche commémorative en son honneur.
Mercredi, le procureur de Toulouse, Dominique Alzeari, a souligné les efforts des policiers toulousains de la Section de recherche pour avoir mené “six mois d’enquêtes intenses, diverses et complexes”.
Le procureur de Toulouse Dominique Alzéari a annoncé vendredi que Cédric Jubular avait été interrogé et interpellé dans le cadre de l’enquête sur la disparition à six mois de sa femme de 33 ans, Delphine Jubular, infirmière.
Il a récemment été placé sous caution obligatoire et fait actuellement l’objet d’une enquête pour meurtre volontaire par conjoint. M. Jubillar nie toute implication dans cette affaire, a déclaré le procureur lors d’une conférence de presse.
Une conférence de presse a été tenue vendredi par le parquet de Toulouse. Il a présenté les conclusions finales de l’enquête. Dominique Alzéari a notamment montré les contradictions de Cédric Jubillar, l’histoire du mari de Delphine.
Le 15 décembre, vers 23h00, Delphine Jubillar aurait quitté la maison pour promener les chiens tout en portant un doudoune blanc et en parlant sur son téléphone portable. Après son départ, son mari a affirmé que les chiens rentreraient à la maison.
Cédric Jubillar, réveillé à 04H par les cris de sa fille, se serait rendu compte que sa femme n’était pas là et aurait appelé ses amis du hameau dans l’espoir qu’elle logeait chez l’un d’entre eux. Après cela, il a décidé d’appeler les autorités.
Le procureur de la République de Toulouse a expliqué pourquoi la disparition de Delphine Jubular avait été initialement traitée avec suspicion lors d’une conférence de presse tenue vendredi.
