Emile Disparu Vernet Retrouvé Aujourd’hui Dans Un Puits – François Balique, le maire du village, rappelle quant à lui que si la zone forestière est « escarpée », il n’existe cependant pas de lieux _ accidentogènes », de type puits, par exemple.
Ici, tout le monde se connaît et tout le monde est sous surveillance constante. De même, François Balique estime qu’à ce stade, “on saurait” si un inconnu avait été repéré. Lundi matin vers 7 heures, l’édile a pour mission de « briefer » les soldats du 1er Régiment de génie étranger sur le terrain local.
Leur commandant les a chargés de mener des recherches « judiciaires » afin de localiser des « indices » sur des « scènes de crime » ou « dans diverses caches ». Un gendarme de la Pointe confirme que la division de recherche de Marseille a sollicité ce régiment pour “un ratissage précis”.
Plusieurs villageois se tiennent de l’autre côté du périmètre, qui n’a pas été bouclé lundi, et regardent les gendarmes opérer d’un air sédatif. . “Nous sommes très surpris et inquiets”, déclare Bernard, retraité. Ce gamin de la campagne a du mal à accepter l’hypothèse du scientifique voyou. Vous avez vu à quel point c’est étroit là-haut, n’est-ce pas ? Et bien sûr, il faut être informé.
Ce n’est pas comme ça qu’on monte là-haut, s’est-il exclamé. La famille du petit Emilio est décrite par Bernard comme « très catholique », « discrète » et « nombreuse », malgré le manque de familiarité de Bernard avec elle.
Un autre local confirme : « On ne les connaît pas vraiment ; les grands-parents ont une douzaine d’enfants, donc ils ont tendance à rester seuls ». Au village, si vous ne voulez pas laisser libre cours à votre imagination, Bernard dit doucement : “C’est important d’entendre ce que les témoins et les membres de la famille ont à dire.”
On croise les doigts pour que ça ne finisse pas comme le petit Grégory. Plus d’une cinquantaine de policiers travaillent désormais à l’ombre des sommets du Vernet. En revanche, une source policière a voulu préciser ce qui s’est passé lundi matin, affirmant que “la phase de recherche a été interrompue”.
La phase « enquête » se poursuit. Deux ans après la disparition du petit Emile, la vie dans la ville du Haut-Vernet dans les Alpes provençales s’est à nouveau calmée. Mais désormais, rien n’est comparable. En fait, même si le maire du village a prolongé l’interdiction d’entrer dans la colonie, tous ceux qui y vivent sont toujours hantés par le mystère.
On doutait qu’il ait disparu tout seul dans les bois, mais on en est désormais sûr, comme l’explique aux journalistes du Figaro un riverain utilisant le pseudonyme de Pierre. C’est triste à dire, mais peut-être qu’aller cueillir des champignons ou chasser le cerf pourrait apporter des nouvelles.
Le mot sortira toujours ; personne ne sera laissé dans le noir. Cependant, de nouvelles perquisitions ont été menées lundi dans le village, à quelques centaines de mètres seulement du domicile des grands-parents d’Emile. au cœur de cette enquête ?
Une dalle de béton qui faisait l’objet d’enquêtes depuis juillet dernier. En fait, un « sonar » avait repéré quelque chose d’inhabituel dans cette zone. Une source proche de l’enquête a déclaré au Figaro : « Les enquêteurs viennent de découvrir que cette dalle était de très mauvaise qualité, avec des morceaux de polystyrène et de l’agglomérat. » Quoi qu’il en soit,
Les rumeurs d’une atmosphère suspecte au sein de la petite ville ne cessent de se répandre depuis des semaines. Mais la réponse des habitants à ces rumeurs est très claire. Pierre s’écria : « Conneries ! (en français).
Encore une fois, ce n’était que l’imagination de quelques journalistes. Je fais la navette depuis Aix-en-Provence tous les week-ends et je n’ai jamais eu de problème. Tout va bien, je vais donc rendre visite à Paulette ce soir et à Gigi demain au moulin.
Il ne fait aucun doute que nous ne sommes pas définitivement collés les uns aux autres. Pour l’heure, l’enquête secrète se poursuit malgré la difficulté d’obtenir des informations à jour. En réalité, les deux juges instructeurs roulent dans le même sens
Le maire de la commune où le petit Emile a disparu le 8 juillet, François Balique, a tenu une déclaration choquante qui ne laisse aucun doute sur la stabilité mentale des détectives qui enquêtent sur l’affaire.
Depuis le 8 juillet dernier, il ne donne aucun signe de vie. Cela fait plus d’un mois et demi qu’Emile, un petit garçon de deux ans et demi, a disparu du hameau du Haut-Vernet, où il résidait chez ses grands-parents.
La perspective de retrouver l’enfant vivant s’était certes amenuisée à ce stade, mais l’idée n’avait jamais été formulée clairement par les protagonistes de l’affaire. Lors d’un entretien avec nos amis de SudInfo, le maire du Vernet François Balique a mis le pied à terre et a évoqué sans détour les craintes partagées par les riverains.
Il n’y a pas de gouffres dans cette zone. Dans un premier temps, François Balique a déclaré : « Émile n’a pas disparu, ce n’est pas possible », en évoquant au micro, devant nos amis, l’avancée de l’enquête et les nombreuses pistes qui restaient à explorer.
Je suis convaincu qu’il n’est plus là sous aucune forme, mort ou vivant. J’ai participé à chaque enquête et à chaque batailleQu’il soit vivant ou mort, je suis certain qu’un adulte l’a ému.
Quelques semaines après la disparition d’Émile, les chances de retrouver l’enfant vivant semblent avoir diminué, et l’expression « mort ou vivant » est utilisée à maintes reprises pour renforcer cette idée.
Cependant, le mystère entourant l’affaire continue de croître alors que les enquêteurs ne fournissent que peu de mises à jour sur leurs progrès et que la famille d’Emile choisit de garder le silence.
Cela devient fastidieux, mais nous continuons de faire confiance aux enquêteurs. Le maire de Vernet déplore au micro de SudInfo : « Ils font ce qu’ils peuvent. Mais une information capitale se dégage : un lieu précis qui retient l’essentiel de l’attention des enquêteurs.
C’est une fontaine à moins de cent cinquante mètres de la maison du grand-père et de la grand-mère. Les trois chiens de trait de Saint-Hubert ont suivi l’odeur de l’enfant jusqu’à cette fontaine, où elle semble s’être éteinte.
Le petit Emile connaît bien cette fontaine, auprès de laquelle il s’était rendu à plusieurs reprises, accompagné de membre de sa famille, mais également seul.REPORTAGE. L’enquête sur la disparition d’un bambin à Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) depuis samedi a pris une nouvelle tournure. Des auditions sont en cours.
Le jardin derrière la maison en pierre semble figé dans le temps. Le tracteur jaune de l’enfant était garé devant une cabane perchée de manière précaire sur un épais tronc d’arbre. C’est ici que Émile S., 2 ans, a disparu le samedi 8 juillet vers 17h30.
Aucun signe du petit garçon au halo d’ange, aux cheveux blonds et aux yeux marron n’a été trouvé malgré des recherches approfondies au fil des années. Plus de 800 personnes se sont rassemblées samedi et dimanche dans le village de Vernet, dans les Alpes de Haute Provence, au nord-est de Digne-les-Bains, pour tenter de retrouver un petit-enfant disparu. Pas d’Utilisation.
Depuis, la ville est déserte. Avant de se coucher, le maire a demandé aux habitants de ne plus se présenter aux fouilles aléatoires. Il est temps de recourir à des « moyens spécialisés », a-t-il déclaré. Les portes des maisons du quartier du Haut Vernet, où vivent les grands-parents d’Emile et où il a été vu pour la dernière fois par au moins deux personnes, restent verrouillées.
Le seul bruit qu’on entend au petit matin dans ce hameau endormi de moins de vingt-cinq âmes est le caquètement de la population locale de canards. Le 11 juillet, à la place des pompiers ou des chiens cynophiles, il y avait des dizaines de gendarmes : un escadron de gendarmerie de haute montagne, des enquêteurs de la préfecture de police de Marseille, des gendarmes mobiles, et même des militaires du 1er régiment étranger de Génie.
Selon Rémy Avon, procureur de la République de Digne, les gendarmes ne semblent plus espérer retrouver le petit garçon dans le périmètre où des perquisitions sont menées depuis deux jours. Naturellement, nous gardons toujours l’espoir de pouvoir le retrouver vivant et en bonne santé ailleurs. Les chiens l’auraient repéré s’il était mort à l’intérieur de la clôture.
Désormais, la police recherche uniquement les détails les plus cruciaux, tels que les entretiens avec des témoins et un examen approfondi des enregistrements téléphoniques de toute personne susceptible d’avoir. Il reste encore deux maisons qui doivent faire l’objet de « visites domiciliaires » ou de perquisitions. Par ailleurs, tous les riverains répertoriés dans la base de données judiciaires automatisée des auteurs de crimes sexuels ou violents (Fijais).
