Edith Piaf Maladie – La polyarthrite rhumatode est le type le plus courant de rhumatisme inflammatoire chronique. Elle touche 0,8% de la population (600.000 personnes en France), avec une forte préférence pour les femmes, qui représentent les trois quarts des malades.
La polyarthrite rhumatode entraîne des troubles fonctionnels importants ainsi que des douleurs. Plusieurs célébrités ont été tuées, dont la chanteuse Édith Piaf et les peintres Auguste Renoir et Raoul Dufy.
L’Edith PIAF est sur son lit de mort. L’AFFICHE EST PETITE. Le « jeune PIAF » n’existe plus. Le monde de la chanson a perdu l’une de ses plus brillantes stars d’Edith PIAF. C’est l’année de son mariage…
Edith PIAF épousa SARAPO, mais elle resta « la gamine PIAF », que la maladie avait déjà rongée et qui venait de mourir, la plus célèbre de toutes ayant quarante-sept ans. Le deuil était mené par Théo SARAPO, qui était suivi par des dizaines de milliers d’admirateurs de la grande Edith, et si le spectacle du Père Lachaise, lors des obsèques, n’était pas emprunt de recueillement et du calme souhaité, il est probable que Edith PIAF, après une existence hors série, a dû connaître jusqu’à sa dernière demeure un destin exceptionnel.
Yves MONTAND et Gilbert BECAUD sont présents. Décès, comédien, comédien, cinéma, chanteur, chanteur Jean-Claude BRIALY est présent dans la chute 60912 A). Edith PIAF devint Madame SARAPO, mais c’était pour tous le souvenir de « la môme PIAF », que la maladie avait déjà ravagée et qui allait mourir il y a un siècle et demi.
Théo SARAPO ouvrit la marche, suivi de dizaines de milliers d’admirateurs de la grande Edith, et si le spectacle du Père LACHAISE, au moment des obsèques, n’était pas un emprunt du calme souhaité, il est indéniable qu’Edith PIAF, après une vie hors du commun, méritait d’avoir un destin extraordinaire.
Édith Piaf, née Édith Giovanna Gassion le 19 décembre 1915 à Paris et morte le 10 octobre 1963 à Grasse, était une chanteuse de music-hall et de variétés française. Considérée comme l’archétype de la chanteuse française, elle est toujours l’interprète francophone la plus célèbre, en France comme à l’étranger, près de cinquante ans après sa mort.
Connue à ses débuts sous le nom de « La Môme Piaf », elle est l’auteur de nombreux tubes devenus des standards du répertoire, dont La Vie en Rose, Non, je ne regrette rien, Hymne à l’amour, Mon légionnaire, La Foule, Milord, Mon Dieu et L’Accordéoniste.
Artiste de métier connue et chanteuse tragique, elle an inspirée de nombreux compositeurs, fut le mentor de nombreux jeunes artistes et une renommée internationale, malgré une gêne par de graves problèmes de santé et un décès prématuré à 47 ans.
La légende, née de l’imagination d’un journaliste et secrètement entretenue par Piaf, est née le 19 décembre 1915, à Paris, au 72 rue de Belleville, dans le 20e arrondissement, d’après la plaque installée sur la maison sise à cette adresse – certaines sources précisent même qu’elle est née sur les marches menant à l’entrée de l’immeuble.
Or, selon son acte civil, Édith Giovanna Gassion est née au 4, rue de la Chine, l’adresse de l’hôpital Tenon, qui est effectivement l’un des établissements médicaux les plus proches de l’avenue de Belleville. Édith Piaf, née pendant la Grande Dépression, est une interprète dont les ancêtres sont impliqués dans les arts depuis deux générations.
Edith Piaf est la fille de Louis Alphonse Gassion, artiste de cirque contorsionniste (né le 10 mai 1881 à Castillon, Calvados, mort le 3 mars 1944 à Paris), et d’Annetta Maillard (4 août 1895-6 février 1945), chanteuse de rue née à Livourne (Italie).
Louis Alphonse Gassion est le fils de Victor Alphonse Gassion, natif de Falaise et artiste de cirque, et de Léontine Louise Descamps, patronne d’une maison près de Bernay en Normandie. Annetta Maillard est la fille d’Auguste Eugène Maillard (1866-1912) et d’Emma Sad Ben Mohamed, artiste de cirque marocaine née à Mogador en 1827 et morte à Montluçon en 1890, et de Marguerite Bracco, immigrée italienne née à Murazzano en 1830 et mort à Paris en 1898.
Selon Arletty, sur La Danse mauresque, l’un des panneaux de Toulouse-Décor Lautrec de la Goulue Baraque, Emma Sad pourrait être la danseuse mauresque assise à droite, derrière La Goulue. Louis Gassion et Annetta Maillard ont eu un deuxième enfant, Herbert Gassion, le 31 août 1918, à Marseille.
Herbert disait de sa mère, « Une grande artiste, mais qui n’a pas su forcer sa chance… Elle a chanté au Chat Noir, au Mikado, au Monocle… », et Arletty nous dit que « c’était ce n’est pas la mère qui avait la voix de la fille, c’était la fille qui avait la voix de la mère.”
Line Marsa, sa mère, étant trop pauvre pour l’élever, elle est donnée à Emma Said Ben Mohammed, sa grand-mère maternelle. Sa grand-mère ne se préoccuperait pas d’elle, laissant la jeune fille se débrouiller seule, ignorante de l’eau et de l’hygiène. Selon la légende, ses biberons seraient contraints de boire du vin rouge.
Elle reste dans cette pauvre maison pendant 18 mois avant que son père ne lui permette de retourner au front, ou peut-être que sa mère, Zéphora, se confie à sa grand-mère paternelle, patronne d’une maison près de Bernay, en Normandie. Edith est choisie par les prostituées de la maison, mangeant pour la première fois, s’habillant joliment, et buvant du lait de Normandie.