Christophe Beaugrand Enfant – Dans une interview accordée à Télé Jours le lundi octobre Christophe Beaugrand s’est confié sur la mère porteuse de son fils Valentin dans Télé Jours.
Un sujet que l’hôte aborde rarement.Christophe Beaugrand et Ghislain Gerin ont accueilli leur premier enfant, Valentin, le novembre .
À Las Vegas, une mère porteuse a donné naissance au deuxième enfant. La gestation pour autrui est un acte médical qui permet aux couples incapables de concevoir naturellement de faire appel à un tiers pour porter leur enfant (une mère porteuse).
Il revisite ce merveilleux chapitre de sa vie dans un nouveau livre, Fils à Papa(s), qui sortira le 7 octobre. Télé 7 Jours a publié une interview du journaliste où il a révélé la naissance de son fils Valentin et la mère porteuse qui l’a porté.
Il est un fervent partisan de la maternité de substitution.Dans ses colonnes de magazine et dans son livre, le père de Valentin explique le processus de demande d’une mère porteuse.
Pour commencer, un « œuf donneur » est jumelé à un couple qui espère fonder une famille. Si tu veux en voir plus, on t’enverra sur un site où tu trouveras plein de photos et d’informations… Au final, ils te choisissent”, explique Christophe Beaugrand.”
Les mères porteuses qui ont mis leur propre vie entre parenthèses pendant quelques mois pour donner étaient admirables avant même que je rencontre Whitney. Whitney est évidemment très chère à mon cœur “” C’est elle qui a porté mon enfant “, a reconnu le journaliste en parlant de la femme qui l’avait portée.
Christophe Beaugrand a tenu à clarifier les choses en évoquant les avis des autres sur cette pratique médicale : « Les arguments fallacieux contre le GPA me dérangent beaucoup. Je comprends qu’on puisse s’opposer, même philosophiquement, au GPA.
Non, il ne s’agit pas de riches parisiens qui changent d’internet. Selon certaines estimations, les couples hétérosexuels représentent un pourcentage important des candidats à la maternité de substitution. Malgré les difficultés, c’est un parcours ardu ” Pour plus d’informations, veuillez consulter le lien suivant :
Cela en vaut la peine.Peu importe le coût, les parents doivent être protégés. Pour de nombreux couples homosexuels, le désir de paternité est contrarié par la loi française, qui interdit le recours aux mères porteuses. Une mère porteuse ne peut pas être utilisée par les hommes si la procréation assistée est désormais légale pour les femmes.
Des centaines de couples se rendent dans d’autres pays qui autorisent la maternité de substitution afin d’éviter cette interdiction. Christophe, animateur, en fait partie.
Ghislain Gerin, son mari, accompagne Beaugrand aux États-Unis. Le 7 octobre, Papa’s Boy(s), un livre sur son parcours depuis la conception de leur enfant jusqu’à leur retour en France, sera publié. Il y raconte les démarches compliquées qu’il a dû accomplir pour faire reconnaître leur droit de filiation.
Femme Actuelle : Qu’est-ce qui vous a inspiré pour écrire ce livre ?En guise de cadeau pour notre fils Valentin, Christophe Beaugrand avait commencé à composer quelques nouvelles et poèmes.
Pour préserver la mémoire familiale de l’histoire, j’ai dû l’écrire. Cependant, je ne savais pas quel livre lire. Rédacteur en chef des éditions Plon, Grégory Berthier-Saudrais, m’a persuadé que mon témoignage pouvait influencer l’opinion publique.
Vous dites que même enfant, vous aviez un fort désir d’avoir des enfants à vous…
En fait, CB a commencé à l’âge de dix ans ! Je crois que cela a quelque chose à voir avec le fait que mon homosexualité a été découverte et l’anxiété qui en a résulté.
Il faudrait faire le deuil de cette paternité pour que je m’accepte comme je me sentais. A l’époque, fonder une famille en tant que couple gay était impensable.
Vous décrivez votre expérience en tant que mère porteuse aux États-Unis. L’expérience de l’humoriste Jarry a servi de catalyseur pour vous. En racontant votre histoire, avez-vous ressenti un sentiment d’obligation ?
En fait, CB, c’est l’histoire de Jarry qui a tout déclenché. C’est à mon tour de raconter l’histoire de Ghislain et moi. La question de savoir par où commencer est incontournable lorsqu’on se lance dans un voyage de cette ampleur. Il y a beaucoup de pouvoir dans la publicité de bouche à oreille. Ma stratégie ressemble à une passation de pouvoir.
Tous les couples gays qui espèrent fonder une famille devraient lire ce livre, vous ne pensez pas ?CB : Félicitations à tous ceux qui sont arrivés jusqu’ici ! J’espère que notre histoire sensibilisera et fera accepter la parentalité homosexuelle.
Une grande partie de ce que nous avons entendu sur la maternité de substitution est ridicule. La Manif pour tous, notamment, véhicule beaucoup de clichés, mais ce que nous avons vu et ce que beaucoup d’autres autour de moi ont vu était bien différent. Malgré le fait que certains pays emploient des pratiques douteuses, le système aux États-Unis est tout à fait légitime et digne de confiance.
Mais c’est incroyablement cher…CB : C’est évident. Les frais médicaux, en revanche, sont exorbitants. Aux États-Unis, le nombre moyen de naissances par an est de .