Carlos Martens Bilongo Origine Parents – Carlos Martens Bilongo est un éducateur et homme politique français né le 31 décembre 1990 à Villiers-le-Bel en Île-de-France. Son père est congolais et sa mère est angolaise. Il a grandi dans le quartier de Derrière-les-Murs-de-Monseigneur avec ses six frères et sœurs.
Après avoir terminé ses études secondaires à Saint-Exupéry, il poursuit ses études au Lycée de la Tourelle, où il décroche un baccalauréat dans la discipline qu’il a choisie.Puis il décide d’aller en école de commerce et s’inscrit à Isifa plus valeurs cfa Paris Sud, dont il sort en 2012 avec un BTS d’études techniques et commerciales. Après une autre année, le jeune homme décroche un certificat en vente et marketing.
Après ses études, Carlos Martens Bilongo a rejoint Az Métal en contrat d’apprentissage de six ans, d’abord comme assistant technico-commercial puis comme chargé d’affaires. A partir de 2019, il enseignera l’économie et le droit au lycée Alexandre-Dumas dans l’arrondissement parisien des Hauts-de-Seine.
Le 19 juin 2022, il recueille 61,72 % des voix au second tour de scrutin pour devenir député de la 8e circonscription du Val-d’Oise sous la bannière de La France Insoumise.L’éducatrice travaille également comme coach sportif à côté.
Plus particulièrement, il prépare la chanteuse Aya Nakamura pour la tournée soutenant son deuxième album studio, également intitulé Nakamura. Il est également actif dans le secteur associatif et membre du groupe écologiste Triangle de Gonesse.
Lors d’une séance de questions au gouvernement le 3 novembre 2022, il évoque le sort des migrants en Méditerranée, mais est interrompu par le délégué du Rassemblement national Grégoire de Fournas, qui crie : « Qu’il(s) retourne(t ) en Afrique !”
La remarque raciste suscite l’indignation dans l’hémicycle, obligeant Yal Braun-Pivet à mettre fin à la rencontre. Le législateur français Carlos Martens Bilongo a accusé le Rassemblement national (RN) d’insultes racistes le 3 novembre 2022. Certaines des choses que Grégoire de Fournas aurait pu lui dire dans l’hémicycle parlementaire. Le législateur RN avait demandé son retour en Afrique.
L’Assemblée nationale française est bien vivante. Alors qu’il s’exprimait contre les drames humains causés par l’immigration clandestine, il a été interrompu par le député du Rassemblement national Grégoire de Fournas, qui a crié “Qu’il(s) retourne(nt) en Afrique”.
Au son d’une cloche dans la salle du Sénat, la présidente Yael Braun-Pivet lève la séance “au vu de la gravité des faits” et “au vu de l’émotion légitime” exprimée par les membres présents. Bien que cela puisse sembler évident à partir de la vidéo, les faits ne sont pas si simples.
En effet, après avoir entendu “Qu’il retourne en Afrique”, Carlos Martens Bilongo dénonce publiquement une attaque contre lui. C’était une insulte contre son héritage et sa couleur de peau. Commentaires extrêmement racistes et offensants.
Grégoire de Fournas se défend en expliquant que sa contribution était pertinente sur le sujet traité – les drames humains causés par l’immigration clandestine – et qu’il avait précédemment lancé “Qu’ils retournent en Afrique” .
Pour éviter les drames humains et les catastrophes, ils doivent retourner ou rester en Afrique. Une intrusion importune et condescendante qui ne peut plus être punie pénalement mais qui a des effets durables sur les Africains. Une nuance dimensionnelle. Des affirmations irréfutables, pourtant Grégoire de Fournas a fait des affirmations extrêmes avant…
Carlos Martens Bilongon est député du parti La France insoumise dans la circonscription Val d’Oise de Villiers-le-Bel. Une polémique qui contribuera à détourner l’attention des propos désastreux de Jean-Luc Mélenchon sur le déclin du français en Algérie.
En effet, le patron de la NUPES a diffusé de fausses informations sur le remplacement du français par l’anglais sur le nouveau billet de 2000 dinars hier 2 novembre.Après qu’un législateur d’extrême droite a crié “retour en Afrique” à un collègue noir, suscitant la colère de toutes les couches de la société, l’Assemblée nationale a accepté vendredi de le sanctionner avec une suspension inhabituelle de 15 jours et une réduction de salaire.
Grégoire de Fournas, membre nouvellement élu du Rassemblement national, a affirmé que son explosion était dirigée contre un navire transportant des migrants secourus de la Méditerranée et non contre personne personnellement.
Le conseil de la chambre basse de l’Assemblée nationale a recommandé la sanction maximale autorisée par son règlement, qui protège généralement le droit des parlementaires à la liberté d’expression pendant les séances.Ce n’était que la deuxième fois sous la Ve République française (formée par Charles de Gaulle en 1958) qu’un député était publiquement réprimandé.
L’incident s’est produit à un moment de tensions accrues sur l’immigration, le gouvernement du président Emmanuel Macron promettant une nouvelle répression face aux affirmations selon lesquelles il n’a pas réussi à arrêter les nouveaux arrivants ou à expulser ceux dont les demandes de résidence ont été refusées.
Jeudi, Carlos Martens Bilongo, membre du parti socialiste La France insoumise (LFI), a interpellé le gouvernement sur la demande de l’ONG SOS Méditerranée d’aider Paris à trouver un port pour le navire qui a secouru 234 migrants en mer ces derniers jours.
De nombreux parlementaires ont été surpris lorsque de Fournas, un viticulteur du département du sud de la Gironde, a déclaré : “Il devrait retourner en Afrique !” Puisque “it” et “he” ont la même prononciation en français, cela a peut-être amené certains à croire que de Fournas lançait une attaque personnelle contre Bilongo.
Yael Braun-Pivet, la présidente de l’assemblée, a déclaré après le vote : « Le racisme, quelle que soit sa cible, est une répudiation des idéaux républicains qui nous unissent dans cette assemblée.