
Bernard Giraudeau Jeune – Il est entré dans ce monde en 1947, et sa ville natale était La Rochelle. Bernard Giraudeau, l’acteur, réalisateur, producteur, scénariste et auteur qu’il est devenu, était destiné à un tout autre métier. L’état d’esprit d’un mécanicien. Bernard s’est inscrit au programme d’apprentis mécaniciens de flotte à l’âge de 16 ans. (Marine).
Après avoir attendu un an, il a fait ses débuts en premier. Il a servi dans la marine de 1964 à 1966, puis est parti pour devenir acteur. En 1970, il entre au Conservatoire et reçoit le premier prix de comédie classique et moderne.
Cette séduisante tentatrice aux yeux bleus était une star de la scène comique du début des années 1980, grâce à des films comme “Year of the Jellyfish” (1984). Dans les cinquante parties suivantes qu’il a tentées au cinéma, à la télévision et au théâtre, il a rencontré plus ou moins de succès.
Réalisateur, acteur, producteur et auteur français Bernard Giraudeau (nom complet Bernard René Giraudeau) Après une vie de 63 ans, il est décédé en 2010. Il est né en 1947. Après avoir passé sept ans dans les Marines, Bernard Giraudeau décide de changer de carrière et s’inscrit au Conservatoire national supérieur d’art dramatique pour étudier la comédie. Ses premiers rôles d’acteur étaient dans la production théâtrale de 1971 de Pauvre France! et le film de 1973 La Poursuite implacable.
A partir de 1988, il travaille également comme réalisateur tout en poursuivant sa carrière d’acteur. A cette époque, Bernard Giraudeau écrit et publie également plusieurs livres, dont Transamazonienne et Le Marin à l’ancre. On lui a diagnostiqué un cancer en l’an 2000. L’humoriste lutte contre sa maladie depuis dix ans après une ablation de la langue.
Finalement, il décède le 17 juillet 2010, laissant derrière lui ses deux enfants célèbres, l’acteur Gal Giraudeau et l’actrice Sara Giraudeau. On dit que ses yeux étaient complètement voilés par son adoration pour Bernard Giraudeau. Quand Anny Duperey et l’acteur aux yeux brillants sont choisis pour la pièce The Trojan War Will Not Happen dans les années 1970 à New York, elle tombe amoureuse de lui.
Leur récit d’origine se lit comme un conte imaginaire. Leur premier baiser a eu lieu sur le toit-terrasse d’un hôtel surplombant Central Park. “C’était à mi-chemin entre une relation passionnée et une coopération d’interprètes”, confiait-elle à Gala en 2015.
Anny Duperey est très amoureuse de son compagnon et ferait n’importe quoi pour garder sa relation avec le réalisateur. Homme à femmes de renom, Bernard Giraudeau a toujours pu compter sur Anny Duperey, qui mettait un point d’honneur à être un véritable ange gardien pour son homme, quels que soient ses exploits.
Je ne voulais pas voir, et si je savais, je détournais le regard en me disant que ce qu’il faisait avec un autre ne me regardait pas” a ainsi avoué l’actrice d’Une grande famille. Anny Duperey commence à prendre ses distances avec l’acteur malgré tous ses efforts pour maintenir leur proximité.
Dans la question À cause de sa nature et de l’obscurité de sa personnalité. « Nous avions tout pour être heureux : de beaux enfants, du travail, de l’argent, et il sentait que le bonheur était terne.
Il était indigné de tout. Il était assez pessimiste tout le temps que je me disais “je n’y arriverai pas” et j’ai fini par rompre avec lui”. J’ai peur d’avoir finalement mis fin aux choses alors qu’il était trop tard”, a-t-elle rapporté à Paris Match. La séparation est intervenue en 1991.
Plus tard, dans le nouveau millénaire, les médecins ont déterminé que Bernard Giraudeau avait un cancer du rein. Lorsqu’on lui diagnostique une métastase pulmonaire cinq ans après leur premier coup de foudre, Anny Duperey est là pour lui à chaque étape.
Après avoir réglé nos différends, nous sommes maintenant en paix les uns avec les autres. Cet effort courageux était malgré, plutôt qu’à cause de, sa maladie. Le président et directeur de la 23e Nuit des Molières (2009) qui suivait un traitement contre le cancer a finalement succombé à sa maladie en 2010.
Ce banal dépressif ne voulait rien d’autre que s’évader de la vie ordinaire, alors il a pris la route. Impatient et éternellement insatisfait, il prétendait avoir «toujours débordé dans l’extrême», avoir cru que c’était mieux ailleurs et avoir été poussé par son incapacité à trouver le bonheur à poursuivre des efforts infructueux. L’auteur, acteur, comédien et cinéaste Bernard Giraudeau est décédé le 17 juillet à l’âge de 63 ans.
Le petit-fils d’un cap-hornier, fils d’un militaire que les déploiements (respectivement en Indochine et en Algérie) l’ont éloigné trop longtemps de chez lui, est né à La Rochelle le 18 juin 1947.
A 16 ans, Bernard Giraudeau s’engage dans la Marine Nationale pour servir comme mécanicien sur la Jeanne d’Arc, spécialiste de la “turbine-diesel-chaudière”, avec l’intention de faire le tour du monde.
“Pompon rouge sur la tête comme une pomme”, il bourlingue pendant quatre ans avant de tenter une autre aventure pour conjurer son désespoir et son ennui. C’était la manche gagnante du tour de la comédie.
Débuts catastrophiques. En raison de son vocabulaire pauvre et de sa démarche maladroite, il est contraint de traîner dans l’ombre, par les accessoires et les costumes. Après quelques temps passés à travailler et à suivre des cours de danse et d’élocution, il finit par s’inscrire au Conservatoire, où son interprétation du monologue des Noces de Figaro lui vaut le prestigieux premier prix de comédie classique et contemporaine. Au contraire, il n’éprouve aucune réticence à entrer dans l’établissement francophone qui l’accueille à bras ouverts. Côté carrière, elle démarre au début des années 1970.
