
Asma Mhalla Wikipédia – La biographie d’Asma Mhalla indique qu’elle est titulaire d’un diplôme d’études supérieures d’une université européenne et qu’elle est une oratrice accomplie. L’accent est mis sur les implications politiques et géopolitiques de l’économie numérique. Découvrez les antécédents d’Asma Mhalla, y compris son âge, sa taille, son poids, sa situation familiale, son état civil et son évolution de carrière. Voyez à quel point il est riche cette année.
Voilà qui conclut notre discussion sur la longue biographie d’Asma Mhalla. Veuillez partager ce message avec vos amis et votre famille et laisser des commentaires si vous avez des questions ou des informations supplémentaires.
Ce matin, on m’a demandé de discuter d’un sujet qui me préoccupe depuis un certain temps maintenant : les normes émergentes selon lesquelles nous, ou du moins ceux que nous aspirons à être, vivons. Lorsque vous décrivez la structure, soyez précis. Semble-t-il qu’il y a eu un changement Est-ce un parasite.
Vous vous demandez peut-être en quoi cela a quelque chose à voir avec l’économie numérique, qui est mon domaine d’expertise. Eh bien, ce que je vois se passer dans l’économie numérique, ou plutôt la coopération entre les plateformes géantes et l’État, fait en réalité émerger une nouvelle gouvernance mondiale. C’est pourquoi j’ai été appelé à la première heure ce matin pour le montrer.
Ma première partie de cette « présentation », si vous voulez, ne traitera pas du tout des questions numériques, mais offrira plutôt une vision de l’état de droit. Dans l’ensemble, c’est une idée difficile à comprendre car il est difficile de cerner exactement ce que cela implique et ce qu’elle implique.
Par conséquent, c’est simplement pour planter un peu le décor. En remettant ma casquette d’éducateur, permettez-moi de commencer par dire que “surveillance” n’est pas un terme en quatre lettres.
Lorsque nous entendons le mot “surveillance”, nos esprits passent immédiatement à des interprétations plus extrêmes ou complotistes du sujet. Lorsque l’État de droit a émergé, c’est-à-dire lorsqu’on a tenté d’encadrer l’arbitraire par la législation, il fallait faire respecter la loi, donc la surveillance est née en même temps que l’État de droit.
Quel est le plan cependant? Comment un gouvernement central montre-t-il que ses lois sont respectées ? C’est facile : il suffit d’exercer le commandement. La question à laquelle il faut répondre aujourd’hui est de savoir si l’une des trois composantes du triptyque, ou l’un des trois aspects du triptyque, est à la dérive ou non.
On pourra en parler quand on aura plus de temps. Pour paraphraser un célèbre proverbe français, “pour chaque événement particulier, parfois même pour une anecdote, nous avons aujourd’hui ce réflexe de faire un projet de loi, de pousser un projet de loi, d’inventer une nouvelle loi”, je propose que les Français soient en fait assez adeptes de la droit.
Un rapport intrigant a été publié en 2016 par le Conseil d’État français. Il indique que le corpus législatif français a été multiplié par trois millions de mots. Ainsi, en France, il y a un réflexe de légiférer, qui est assez clair et qui s’explique aussi par cette forme de centralisation de l’État, qui décide un peu.
À mon avis, plutôt que d’être dans un état de dérive, nous vivons actuellement une réponse, un réflexe qui peut être compris dans le cadre du développement évolutif. En d’autres termes, nous traversons actuellement une période de profonds changements dans l’histoire de l’humanité et, par conséquent, nous sommes soit contraints de modifier le cadre juridique existant, soit obligés de concevoir de nouvelles lois afin de tenir compte de l’émergence économique, politique, etc structure.
L’aspect contrôle de mon triptyque soulève une question intéressante : si le contrôle de la population a été institué à l’origine pour protéger les civils, sert-il toujours cet objectif, ou l’État l’a-t-il usurpé d’une manière ou d’une autre pour assurer sa propre existence continue (ou l’a-t-il autrement utilisé pour transmettre ses propres ordre du jour)? Je prévois de développer cette enquête dans un moment. Et puis – et c’est là que j’ai sans doute le plus à dire – je discuterai de l’idée de gentillesse.
Nous pouvons avoir une conversation sur les deux autres préoccupations, et je ne pense pas que ce soient les deux domaines les plus fondamentalement problématiques. La question de la bienveillance est, en effet, centrale. Pour le dire succinctement et rapidement, les GAFAM sont les méta-plateformes qui détiennent actuellement le contrôle et la surveillance entre les mains des superviseurs, donc l’État d’un côté et les méta-plateformes de l’autre.
D’accord, donc je suppose que tout le monde connaît l’acronyme GAFAM. Ainsi, les Big Five sont Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft. Bien que ces deux managers aient déjà abordé la question du contrôle, j’aborderai ici le sujet. Que l’État maintienne ou non la primauté du droit pour le bien-être général est au cœur de la question de la bienfaisance.
Je ne sais pas si vous avez vu les derniers règlements approuvés en France, notamment un tout petit avant et autour des gilets jaunes, mais j’ai pensé nous mettre tous au courant au cas où. La première d’entre elles était une loi destinée à freiner la diffusion de fausses informations, tandis que la seconde vise à punir les contrevenants. En remontant plus loin dans le temps, vers la fin 2017, on a pérennisé dans le Code pénal toutes les dispositions de l’état d’urgence, la loi antiterroriste pour parler vite.
Ce qui est fascinant dans toutes ces réglementations, et ce qui pourrait être le plus gros problème, c’est que les phrases sont toujours incroyablement imprécises. Qui est exactement un terroriste.
Selon la cause de demain, les moyens de demain et le discours de demain [politique connexe, note du Président], nous pouvons tous être des terroristes potentiels. Avoir des lois aussi ouvertes est problématique car cela remet en jeu le concept de gentillesse, c’est-à-dire que cela dépend des esprits et des mains qui font les interprétations.
