Affaire Pont Neuf – Selon une source judiciaire, des hommes soupçonnés d’avoir repris la vitesse de la voiture vers une patrouille ont été mis en examen mercredi pour “homicide volontaire” sur le conducteur.
Le contact avec le public, le port d’armes et le contact avec les victimes font partie de l’expérience. En dehors de cela, il a un devoir de vigilance. En particulier lorsqu’il s’agit de légitime défense, il est impératif que les faits de nature criminelle continuent d’être recueillis et d’enquêter. Cette situation a été abandonnée pour le moment.
“L’homicide volontaire” est “hors sujet” pour Laurent-Franck Liénard, l’avocat du policier, selon l’AFP jeudi. S’agissant des tirs sur un véhicule, “la qualification utilisée dans ce cas [le conducteur du véhicule qui a été tué, ndlr] peut être discutable”.
Une peine de 30 ans de prison est la peine maximale pour homicide volontaire. Deux enquêtes ont été ouvertes sur la mort de deux hommes par des tirs de la police à Paris.
Que se passe t-il ici?Sur le quai des Orfèvres de l’Ile de la Cité, une patrouille de cinq policiers a abordé une voiture garée à contresens avec ses feux de détresse dimanche peu avant minuit.
Le rapport d’intervention de la police consulté par l’AFP indiquait que ce véhicule devait être examiné par des agents. Il aurait “couru vers l’un des fonctionnaires qui s’est éloigné pour l’éviter”, comme l’ont déclaré les policiers, alors qu’ils s’approchaient de l’avant de la voiture.
Un policier armé d’un fusil d’assaut présent sur les lieux a alors ouvert le feu sur le véhicule qui filait vers le Pont-Neuf et avait grimpé sur un terre-plein. Les enquêteurs disent qu’une dizaine de cartouches ont été tirées, avec “cinq ou six impacts” touchant les personnes présentes.
Ces policiers et gendarmes ont acheté un fusil d’assaut HK G36 afin de répondre aux tirs de Kalachnikov en réponse aux attentats jihadistes du 13 novembre 2015 à Paris. Les unités d’élite de la police et de la gendarmerie utilisent depuis longtemps le HK G36.
Sur le Pont-Neuf à Paris, un policier est tué par balle après la saisie de l’IGPN et l’audition du témoignage du tireur. En tant que membre du groupe de soutien de nuit de la société de sécurité de la ville, l’officier de 24 ans a été présenté mercredi à deux juges d’instruction.
Une unité chargée de la protection de la caserne de la Cité, qui abrite la préfecture de police, est connue sous le nom de Corps de sécurité criminelle (CSC). Lundi, il a été placé en garde à vue et interrogé par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN). Son avocat s’est refusé à tout commentaire lorsque l’AFP l’a contacté.
Le conducteur de ans et le passager avant de 31 ans de la voiture ont été retrouvés morts sur le sol à droite du véhicule, malgré les efforts des secours pour les sauver. Il est probable que tous deux soient nés à Paris au début du XXe siècle.
Il y a aussi des spéculations selon lesquelles ils sont bien connus pour leur consommation de stupéfiants et d’autres substances illégales. Le passager arrière de 42 ans, qui était jusqu’alors resté anonyme auprès des autorités, avait été hospitalisé après avoir été blessé au bras.
Selon une personne proche de l’enquête, les suspects ont été entendus.Saluez la mémoire de Boubacar et Fadigui, les deux hommes tués par balles par la police sur le Pont Neuf à Paris la veille du jour du scrutin.
Le e arrondissement, “où ils sont nés et ont grandi”, accueillera une marche blanche en leur honneur le maiA h, le cortège partira. À 15 heures. le 20, il y aura un meeting au 1, place Henri-Matisse. Selon les organisateurs, le cortège passera par les quartiers de Fadigui et Boubacar.
Il y avait un rassemblement organisé par les syndicats de police deux jours avant cette mobilisation, pour protester contre l’inculpation d’un policier qui a tiré les coups de feu mortels.
Les situations restent floues. Lors d’un accident sur le Pont-Neuf le dimanche 24 avril, deux hommes ont été tués et une troisième personne a été blessée sur la banquette arrière du véhicule.
