Affaire Lola 12 Ans – Dimanche après-midi, quatre personnes montaient toujours la garde dans le cadre de l’enquête ouverte après la découverte du corps de Lola, 12 ans, dans un sac plastique au pied de son immeuble parisien vendredi soir.
Une femme qui a été interrogée ce matin-là à Bois-Colombes, Hauts-de-Seine, était l’une des six personnes placées dans un service de vigilance dimanche en début d’après-midi. Jusqu’à présent, aucune information sur qui ils sont ou sur le rôle qu’ils ont pu jouer dans le meurtre de l’étudiant n’a filtré.
Après cette découverte macabre dans le 19e arrondissement de Paris, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour meurtre sur mineur de moins de 15 ans, qu’il a confiée à la brigade criminelle.
A 23h00, un SDF a alerté la police sur la découverte d’un carton opaque contenant le corps d’un adolescent dans la cour intérieure d’un immeuble de ce quartier de l’est parisien. Des tissus ont été utilisés pour cacher le corps de l’étudiant, selon des personnes proches du dossier.
L’un des six gardiens de service était le SDF, qui a appelé la police, mais le SDF “n’aurait pas joué de rôle de nature criminelle” dans l’affaire, selon la chaîne d’information en continu BFMTV.
Toujours selon les informations de nos confrères de BFMTV, la victime avait les pieds et les mains emmêlés lorsqu’elle a été découverte, et les chiffres 1 et 0 étaient “disposés” (placés) de façon étrange sur son corps.
Une autopsie pratiquée samedi après-midi a permis aux enquêteurs de conclure que Lola est morte asphyxiée, comme l’a indiqué une source au courant de l’affaire. L’examen initial a révélé de graves fractures crâniennes et un crâne partiellement arqué.
Les événements de samedi ont ébranlé les habitants du quartier. La mère d’un élève de CM2 du même collège Georges-Brassens que la victime a déclaré à l’AFP : “C’est horrible, horrible, j’ai peur de laisser mes enfants dans le quartier”.
Par ailleurs, le rectorat a annoncé dimanche soir qu’à partir de lundi matin, “des cellules de soutien psychologique pour les étudiants et pour les personnels du collège mais aussi pour.Samedi soir, les habitants se sont rassemblés devant le bâtiment où vivait la jeune Lola pour exprimer leur choc, leur incrédulité et leur tristesse.
Ils se sont finalement dispersés au milieu de la nuit. Une voisine affligée se plaint de ne plus supporter d’entendre « le bruit des valises à roulettes ».Dimanche soir, quatre personnes étaient toujours en garde à vue en lien avec le meurtre d’une adolescente de 12 ans dont le corps a été découvert dans un centre commercial parisien.
Dahbia B., un membre du SDF de 24 ans dont la santé mentale a été mise en cause, pourrait être responsable des atrocités commises contre le collégien. La voie d’un meurtre potentiellement aléatoire et sans cœur est privilégiée.
Dahbia B., Amine K., Friha B. et Rachid N., tous d’origine algérienne, pourraient être déférés devant un juge d’instruction lundi.Kamel, d’après ce que j’ai rapidement compris, trouve totalement inconcevable que son subordonné Amine K. ait consenti aux “actes de barbarie” perpétrés contre la victime. “
Nous sommes de la même ville en Algérie. Comme je vis en France depuis près de deux décennies, je l’ai invitée à rester avec moi. Il ne crée aucun problème. Il trébuche de droite à gauche.
Il devient rapidement évident que son partenaire est quelque peu déprimé. Il ne visitera jamais Paris, dit Kamel avec insistance. Il passe son temps entre mon appartement et les quatre routes (carrefour entre Asnières et Bois-Colombes) où il “boit” (traîne) avec d’autres personnes.
Dans le cadre de l’enquête sur le parquet parisien, quatre personnes restaient en surveillance constante ce dimanche matin. Deux hommes et deux femmes âgés de 26 à 43 ans ont été appréhendés pour “le meurtre d’un mineur de moins de 15 ans avec des actes de torture et de barbarie”, comme l’ont rapporté les médias français.
Tous sont nés en Algérie, et au moins l’un d’entre eux n’a pas de domicile permanent.Recroquevillée et entravée, elle a une gorge profonde et son corps est marqué d’inscriptions. L’autopsie de samedi a révélé que la cause du décès était la suffocation.
De plus, les parents alertent la police sur la disparition de leur fille Lola en publiant des photos d’elle et d’une silhouette suspecte sur les réseaux sociaux. “Les photos en basse résolution mises en ligne par les parents montrent une personne “vêtue d’un jean blanc, d’un pull blanc avec un col en fourrure et d’un sac à dos gris”. Avant de terminer, “Aidez-nous à la retrouver.”
Est-ce la même femme qui a été dénoncée à la police par un voisin ? Elle était décrite comme une “maghrébine” et “une trentaine d’années”. Elle avait demandé son aide pour porter une lourde “caisse” à deux reprises, comme il l’a témoigné.
La victime est une fillette de 12 ans identifiée uniquement comme “Lola” qui va à l’école dans la région et dont les parents ont signalé sa disparition plus tôt dans la journée. Le père de Lola a signalé sa disparition vendredi lorsqu’elle n’est pas revenue du Collège Georges-Brassens à proximité après les cours.
J’ai entendu dire que maman était allée à l’intendance du XIXe siècle. La collégienne, aux cheveux blonds mi-longs, portait un jean blanc troué, un col roulé blanc, une chemise blanche sans manches et des baskets blanches, et elle a mentionné le signal.