Affaire Jambert

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Affaire Jambert – Entre 1977 et 1979, neuf homicides et assassinats ont été perpétrés à Auxerre et dans ses environs, en France, sur des femmes de la DDASS atteintes de troubles mentaux légers, âgées de 16 à 27 ans.

Dès 1979, le gendarme Jambert, qui enquêtait sur les disparitions dans l’Yonne, avait prévenu Émile Louis qu’il en était le responsable. Il était chargé de l’affaire le 20 février 1980.

Le meurtrier de Sylviane Lesage, Émile Louis, a reçu un non-lieu en 1984 malgré le fait qu’il entretenait une relation avec la victime, comme l’a démontré le gendarme Jambert. Cependant, malgré le fait que le gendarme.

Jambert avait démontré qu’il existait toujours des liens entre Émile Louis et l’ensemble du groupe de personnes disparues, cette affaire a également été écartée de la course. De même, Christian Jambert a demandé au substitut du parquet d’Auxerre, Daniel Stilinovic, l’autorisation de poursuivre son enquête sur les disparitions.

René Meyer, le procureur de la République, a donné sa bénédiction. Cette affaire a mis Daniel Stilinovic sur la sellette pour faute grave, mais elle a finalement reculé et a été forcée de démissionner plus tôt que prévu.

En 1984, Christian Jambert adresse au parquet d’Auxerre un reportage qui met en cause Émile Louis et les réseaux sado-masochistes de l’Yonne voisine utilisant les filles de la DDASS. Christian Jambert.

Malgré l’absence de preuves, René Meyer, le procureur de la République, a demandé au gendarme de poursuivre l’enquête. Le rapport a été perdu et ne sera retrouvé qu’en 1996. Au final, Emile Louis a été arrêté, jugé et condamné en 2006 à.

Paris sur un appel à la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle avec 18 ans de mise à l’épreuve, où il est resté jusqu’à sa mort en prison en 2013. Contribution de l’auteur.

Le rôle de Christian Jambert dans l’arrestation d’Émile Louis a été unanimement reconnu par toutes les personnes impliquées dans l’affaire. Lors du procès d’Émile Louis, les gendarmes l’ont décrit comme un enquêteur hors pair, un professionnel modèle et une personnalité remarquable.

Le gendarme est retrouvé mort le 4 août 1997. Deux jours avant sa comparution comme témoin clé dans l’affaire Émile Louis, une affaire liée aux tortures d’Appoigny, il avait envisagé de se suicider en lui enfonçant une balle dans la tête.

A l’époque, aucune autopsie n’a été pratiquée faute de médecin agréé, qui a été remplacé par un médecin urgentiste qui avait fait les premières constatations et conclu au suicide, qui a été suivi par le Parquet.

Isabelle Jambert, la fille de Christian Jambert, est intriguée par les développements de l’affaire Émile Louis et décide de demander une nouvelle enquête sur les “causes de la mort” de son père.

Le corps de Christian Jambert a été exhumé en mars de cette année-là, et lors de l’autopsie de son corps à Paris en avril, deux orifices ont été trouvés sur sa caisse qui correspondaient aux entrées de deux projectiles, dessinés sous deux angles différents.

Selon l’autopsie, un premier projectile est entré dans le tempe et s’est logé au milieu du cerveau, tandis qu’un second projectile est entré par la bouche et a atteint l’arrière du cerveau. Le parquet révèle alors une enquête pénale contre X pour assassinat basée sur l’évaluation de l’autopsie que les deux impacts de balles ne sont pas compatibles avec un suicide.

Les juges chargés de l’enquête sur la mort d’un gendarme à l’Institut médico-légal de Lyon ont alors ordonné une contre-expertise. Deux autres orifices ont été découverts, bien que les professionnels de la santé soulignent que les blessures n’étaient pas nécessairement mortelles tout de suite.

Les médecins ont également noté que l’ouverture de la tempe pouvait être une balle qui avait ricoché à l’intérieur de la caisse et était rentrée au-dessus de la lèvre, soutenant ainsi la théorie de deux balles qui auraient été retrouvées à proximité du corps du gendarme.

Cette deuxième autopsie, réalisée sur un modèle de crâne de corbeau, n’exclut pas la possibilité d’un suicide. Suite à une étude des contours du crâne, un nouveau rapport de l’Institut d’études médico-légales de Strasbourg concluait à la possibilité d’un suicide en janvier 2006.

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A la demande des parties civiles, une nouvelle exhumation et une quatrième autopsie ont eu lieu à l’Institut médico-légal de Bordeaux en décembre 2007 après la fin des autopsies précédentes. Le vrai crâne est exposé, pas une imposture.

Un panel de spécialistes est incapable de parvenir à une décision unanime sur l’une des voies alternatives, y compris le suicide et l’assassinat. Le professeur, l’un des spécialistes. Le directeur de l’Institut médico-légal de Paris.

Dominique Lecomte, a découvert que plusieurs parties du crâne de corbeau avaient été perdues depuis la première autopsie, dont la mâchoire inférieure, une partie du transpercé orbitaire gauche, la selle turque et les incisives de la mâchoire supérieure.

Un non-lieu a été délivré à sa mort en février de la même année. Contrairement à ce qu’avait affirmé un expert dans le domaine de la balistique, la carabine a été retrouvée près du corps, un.

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