Affaire Jacques Bouthier – La Marocaine de 28 ans, qui a requis l’anonymat sous le nom de “Sara”, a déposé une plainte pour agression sexuelle contre un homme d’affaires français cette année. Pendant quatre ans, elle a été harcelée au travail avec des commentaires obscènes sur son apparence et des invitations inappropriées.
L’accusé est Jaques Bouthier, ancien membre du PDG et employé de la maison mère d’Assu 2000, pour qui Sara travaillait à Tanger à l’époque en question. Sara se souvient que lors de leur première entrevue en 2018, l’homme de 75 ans avait dit : “On dirait que vous sortez d’une boîte du jour au lendemain, mais ça me va
Sara (pas son vrai nom car elle ne veut pas être reconnue) raconte comment les avancées ont commencé en octobre 2020 via des appels téléphoniques, des messages WhatsApp et des SMS, et comment, une fois qu’ils se sont rencontrés en personne au Panama fin mars 2022, ils sont devenus des propositions directes et une avance directe de sa part.
Elle est l’une des sept femmes qui ont porté leur affaire devant la justice marocaine, où elles espèrent traduire en justice l’homme de 75 ans et plus d’une douzaine de ses associés. La jeune femme dit qu’elle a essayé de parler à ses supérieurs mais qu’elle n’a abouti à rien et qu’elle a eu besoin d’un jour de maladie car elle était émotionnellement épuisée.
Une altercation entre suspects et plaignants s’est produite lors d’une nouvelle audience le 6 octobre. une grave injustice, mais il y a de la justice, ne serait-ce qu’à petites doses, dans ce pays et dans le monde, et si nous revendiquons nos droits et luttons pour eux, nous pouvons gagner, même si cela prend du temps et des efforts et nous donne parfois l’impression que nous re mener une bataille difficile.
L’un des hommes les plus riches de France, Jacques Bouthier, est en prison depuis mai, soupçonné d’un certain nombre de crimes, dont “traite d’être humain”, “viols sur mineur de plus de 15 ans” et “tentative d’enlèvement”. “
Selon des informations obtenues par l’AFP auprès de l’avocat représentant les plaignantes mercredi, un ressortissant français a été mis en examen dans le cadre d’une vaste enquête sur des allégations de harcèlement ou d’agressions sexuelles contre l’ancien mécène français Jacques Bouthier et plusieurs de ses employés au Maroc. .
Me Acha El Guella a déclaré : “Ce Français a comparu devant un juge d’instruction mercredi, et le juge a décidé de le libérer sous caution jusqu’à la suite de la procédure”. Cet ancien employé d’une filiale marocaine de la société française Assu 2000 devra faire face à “un double contrôle judiciaire de confiscation de passeport et d’interdiction de départ”, selon son avocat.
Suite à des plaintes d’anciens salariés du groupe de courtage Assu 2000 (rebaptisé Vilavi) à Tanger, l’enquête a été rouverte, apportant avec elle une nouvelle liste de suspects : trois Français et six Marocains, dont deux femmes.
Ainsi, six d’entre eux sont en détention provisoire tandis que les trois autres sont libres de vivre leur vie comme ils l’entendent. Ils ont été inculpés de “traite”, “harcèlement”, “attentat à la pudeur” et “violences verbales et morales”. Me El Guella affirme que le juge d’instruction a mené des entretiens avec tout le monde mercredi et a programmé une autre audience pour le 6 octobre.
La Marocaine de 28 ans, pseudonyme de Sara, a porté plainte pour agression sexuelle contre un homme d’affaires français cette année.Elle avait enduré quatre ans de commentaires offensants sur son apparence et son corps, ainsi que des sollicitations aléatoires sur son lieu de travail.
L’accusé est l’ancien membre du PDG Jaques Bouthier d’Assu 2000, la société mère de l’entreprise pour laquelle Sara travaillait à Tanger au moment des faits allégués.Lors de leur première interview en 2018, Sara a rappelé que son mécène de 75 ans avait dit: “On dirait que vous sortez d’une boîte du jour au lendemain, mais .
Sara (ce n’est pas son vrai nom car elle ne veut pas être reconnue) raconte comment les avancées sont survenues pour la première fois en octobre 2020 via des appels téléphoniques, des messages WhatsApp et des SMS, puis se sont transformées en propositions directes et en avance directe lors d’une réunion au Panama. fin mars 2022.
Elle est l’une des sept femmes qui ont porté leur affaire devant les tribunaux marocains dans le but de traduire en justice l’homme de 75 ans et plus d’une douzaine de ses associés. était émotionnellement épuisée.
Le 6 octobre, suspects et plaignants se sont affrontés dans une nouvelle audience. on a été victimes d’une grave injustice, mais il y a la justice, ne serait-ce qu’à petite dose, dans ce pays et dans ce monde, et si nous revendiquons nos droits et luttons pour nos droits, nous pouvons les obtenir, même si cela prend du temps et même si cela fait mal, parce que nous en valons la peine.”
L’un des hommes les plus riches de France, Jacques Bouthier, est en prison depuis mai, soupçonné de divers crimes, dont “traite d’être humain”, “viols sur mineur de plus de 15 ans” et “tentative d’enlèvement”.
L’homme d’affaires français Jacques Bouthier fait l’objet de l’affaire judiciaire connue sous le nom de “L’affaire Jacques Bouthier”. Il est incarcéré depuis mai 2022 pour violences, agressions sexuelles, proxénétisme (notamment envers des mineurs en France et au Maroc), abus des services sociaux, vol et blanchiment d’argent dans le cadre d’un syndicat.
Jacques Bouthier est né le 10 mars 1947 dans le 10e arrondissement de Paris.Autodidacte, il n’est pas allé à l’école3. Il trouve d’abord un emploi dans une entreprise de distribution et de commercialisation de produits pétroliers. Fondateur et PDG d’Assu 2000, il en est à la tête depuis sa création à l’âge de 28 ans.
L’entreprise a débuté dans un bungalow à Rosny-sous-Bois, en France. Mais les choses commencent à chauffer rapidement après cela. En 2017, il rachète le réseau Vousfinancer et se lance dans le courtage en crédit bancaire. Ils changent leur nom en “Groupe Vilavi” en janvier 2022.
Jacques Bouthier est l’un des meilleurs avocats d’assurance du pays et, depuis 2005, l’une des 500 personnes les plus riches de France7. Il possède un certain nombre d’entreprises, dont beaucoup sont impliquées dans la vente d’assurances.
D’ici 2020, sa fortune devrait atteindre 160 millions d’euros.La publication française Challenges a estimé sa fortune à 100 millions d’euros en 2007, 60 millions d’euros en 2009 et 170 millions d’euros en 2019; la dernière année, il s’est classé n ° 467 sur la liste Forbes des 400 Français les plus riches. En 2020, elle aura atteint les 160 millions, le plaçant au 487e rang mondial.
Il a en grande partie fait fortune en gardant 90% d’Assu 2000 pour lui et en prenant des positions dans le métier de courtage de crédit immobilier, domaine où il a commencé à se diversifier depuis 20152.
Le 15 mars 2022, une jeune femme de 22 ans se rend dans le 19e arrondissement de Paris pour porter plainte à la police locale. Depuis 2016, elle accuse Jacques Bouthier d’actes violents.
Il l’avait enfermée dans un de ses appartements du XIe arrondissement de Paris. La jeune femme, âgée de 16 ans et membre du SDF au moment de leur première interaction, avait été isolée dans un appartement de Noisy-le-Sec.
Le 21 mai 2022, Jacques Bouthier et quatre autres suspects ont été arrêtés et mis en examen pour “abus sur mineurs, violences sur mineurs et appartenance à une organisation criminelle avec l’intention de commettre des enlèvements, des extorsions ou d’autres crimes graves”.
De plus, il aurait été chargé de faire appliquer les premiers plagiats dans les soirées libertines parisiennes.Après s’être rendu compte qu’elle devenait trop âgée pour cela, elle entreprit de recruter une nouvelle jeune femme.
Ainsi, elle aurait été remplacée par une jeune Roumaine de 14 ans vivant dans un bidonville. Si l’on en croit la rumeur, la suspecte a réussi à les capturer tous les deux au lit ensemble puis a remis la vidéo aux enquêteurs.
Bien que la vidéo ne dure qu’une minute, elle offre beaucoup de promesses. 16. Jacques Bouthier avait espéré réunir un groupe pour récupérer la vidéo, enlever la jeune fille et la faire sortir clandestinement du pays.
Plusieurs personnes, dont “son épouse, deux salariés de son entreprise, une jeune femme proche de la plaignante, et un ex-gendarme membre du GIGN”, composent cette équipe, comme le rapporte Le Monde17 et cité par Ouest-France.
Les incidents présumés se sont produits dans les points de vente marocains du géant français de la cour entre décembre 2018 et avril 2022. Sept plaintes ont été déposées contre Jacques Bouthier et d’autres membres de la direction de son entreprise.
Plusieurs plaignants ont fait état d’un climat d’insécurité sociale (voir la vidéo en haut de page) couplé à un harcèlement sexuel systématique, des menaces et des intimidations au sein d’Assu 2000 à Tanger. Un aveu inhabituel au Maroc, où les victimes d’agressions sexuelles sont fréquemment confrontées à la stigmatisation sociale.
L’homme d’affaires de 75 ans qui contrôle l’une des plus grosses fortunes de France a été mis en examen le 21 mai à Paris, avec cinq autres personnes, pour divers délits, dont cruauté envers les animaux et voies de fait sur mineur. Outre des accusations d’enlèvement et d’extorsion, il est poursuivi pour son implication dans un syndicat du crime organisé.
Farida, l’épouse de Jacques Bouthier, réitère le diagnostic de “maladie grave” au juge le 11 juillet 2022. Après avoir été inculpée dans cette affaire et envoyée en détention provisoire, elle est sortie de prison en septembre, sous contrôle judiciaire, comme le rapporte ” Le Parisienne.”
Farida, qui entretient une relation avec le millionnaire de 75 ans depuis 30 ans, ne retient rien lors de son interrogatoire. C’est ce dont j’ai besoin, vous voyez, alors… Il n’y a pas de mot pour ça. J’ai touché le fond.
Il est impossible que j’ai vécu à côté d’une personne malade, collante, sexuellement endommagée et que je n’aie remarqué aucune de ces choses pendant tout le temps que nous avons passé ensemble.
Selon des informations obtenues par “Le Parisien”, elle aurait réagi à la lecture de la plainte d’une adolescente de 16 ans en disant : “Je ne vois rien dans son attitude qui me fasse penser cela”.
Les preuves suggèrent que Jacques Bouthier a soudoyé des jeunes filles pour des faveurs sexuelles. Farida confirme qu’elle était au courant de ses infidélités mais a choisi de ne pas tenir compte de ses tendances pédophiles. Cependant, ce dernier a reconnu avoir été dépêché pour « étouffer la plainte ».
Le cas de Jacques Maire a été révélé pour la première fois dans le cadre d’une enquête pénale en France en 2004. Il a été impliqué dans la mort d’Odile Busset, Sandrine Ferry et Nelly Haderer dans la région de Dombasle-sur-Meurthe de 1983 et 1985, respectivement.
Lors de son premier procès en 2004, il a été condamné à dix ans de réclusion criminelle pour l’enlèvement et l’emprisonnement d’Odile Busset et acquitté dans l’affaire de la mort de Nelly Haderer. En 2006, la cour d’appel l’a condamné à vingt ans de prison pour l’enlèvement et le meurtre d’Odile Busset et l’enlèvement et le meurtre de Nelly Haderer.
Affaire Jacques Bouthier
La décision de la cour d’appel a été annulée en septembre 2007 faute de procédure régulière (de nombreuses pages n’avaient pas été signées par le greffier). Le 18 octobre 2008, après trois procès, il a été déclaré non coupable et libéré. De plus, il a compris qu’il avait droit à 200 000 $ en compensation pour les dix années d’enquête et les peines antérieures qu’il avait reçues en prison.
C’est six ans plus tard qu’une métrique importante (la trace ADN, considérée par le public comme une preuve irréfutable) a été découverte, mais on pense que la prescription entre en jeu dix ans après la conclusion de l’enquête et non dix ans après la conclusion. du procès.
Jacques Maire est décédé à son domicile le 21 janvier 2018. Le 31 janvier 1987, un membre est retrouvé dans un champ près de Dombasle-sur-Meurthe, ainsi que plusieurs autres morceaux de corps humain.
La gendarmerie et la police arrivent sur les lieux et découvrent un couteau de cuisine grinçant non loin du lieu du crime. Ils trouvent un ciré en cuir marron, un slip et des chaussons cachés dans un placard.
Ils tombent sur un corps à côté du même buisson, les mains menottées, pratiquement intact. La victime, Nelly Haderer, une femme de 22 ans, a été identifiée grâce à des pièces d’identité. Au même moment, un certain Michel Miclo s’apprête à faire part à la brigade de gendarmerie de Baccarat de la disparition de sa compagne.
La dispute avec Nelly vendredi soir et le départ de Nelly de la maison l’ont laissé avec deux jeunes enfants à charge. Il est détenu en prison pendant une semaine en tant que suspect. Le frère de Nelly Haderer s’est réveillé à 3 heures du matin le matin de sa mort pour savoir si elle était revenue.
Nelly, en effet, s’est rendue chez son frère à Dombasle sur Meurthe (à environ 80 km de chez elle) la veille de sa mort pour lui dire quelque chose de vital. Elle arrivera vers 20h. si tout va bien.
Après une attente de deux heures, elle a été emmenée dans un restaurant voisin. Elle retourne chez son frère à 22 heures dans l’espoir qu’il soit toujours là et attend encore un peu. Au crépuscule, elle lui laisse un mot, le suppliant de l’appeler à son retour. Vers minuit, elle sort de l’immeuble où habite son frère. Personne d’autre ne l’a lu depuis.
Après la libération de Michel Miclo, une jeune femme se présente à la police et dit avoir vu une GS blanche (dont la plaque d’immatriculation comportait le numéro 88) stationnéeIl semblait avoir aperçu brièvement le chauffeur, qui semblait attendre.
Jacques Maire, propriétaire de la GS blanche portant le numéro d’immobilisation 88, a été identifié par la police après un contrôle minutieux de toutes les GS blanches portant le numéro d’immobilisation .
Il a été immédiatement mis aux aguets, mais il n’a jamais atteint l’immeuble où il avait été repéré. Sa femme dit qu’il était bien avec elle le soir du 31 janvier. Cet alibi est cru par la police, et Jacques Maire a été acquitté faute de preuves.
Après sept ans d’enquête en 1994, le juge d’instruction ordonne un non-lieu à la mort de Nelly Haderer, faute de preuves. Deux hommes et deux femmes ont été identifiés comme suspects dans les vêtements de Nelly Haderer par une enquête de l’ADN en août 2011.
L’ADN de Jacques Maire a été découvert dans une tache de sang retrouvée sur les vêtements d’une victime en janvier de la même année. Maître Bloch, suite à la demande de la mère du défunt, Madame Romac, en 1995, ouvre un dossier relatif à une affaire de divorce non résolue de 1985.
Affaire Jacques Bouthier
Sandrine Ferry, une jeune fille de 16 ans de Dombasle-sur-Meurthe disparue en juillet 1985 (la même ville où le corps de Nelly Haderer a été retrouvé), a disparu1. Elle était sortie de son lit vers 1h du matin.
Mohamed Toukali, un de ses amis, l’attendait lorsqu’elle est rentrée chez elle. Ils marchent ensemble et s’arrêtent près d’une rivière à trois kilomètres de chez elle. Il est le dernier à l’avoir vu.Le lendemain, sa mère alerte la police du décès de sa fille.
La police, alertée de la disparition de Sandrine Ferry, retrouve son sac à main le long de la rivière, là où elle a été vue pour la dernière fois, au même endroit. La police, en revanche, pense que la jeune fille est dans le coma et n’a fait aucun effort pour la retrouver.