
Affaire Frédéric Péchier – L’empoisonnement présumé de sept patients de la clinique Saint-Vincent de Besançon, en France, fait l’objet de l’affaire Frédéric Péchier. En mai 2019, dix-neuf nouveaux cas ont été ajoutés à la charge de travail.
Le docteur Péchier clame son innocence depuis le début de l’affaire.En 2017, le Dr Frédéric Péchier, anesthésiste de 47 ans, a été mis sous microscope pour la première fois pour sept embolies. Il avait été autorisé à poursuivre son travail pendant qu’il était en quarantaine.
L’enquête a été rouverte en mai de cette année, et l’anesthésiste est soupçonné par les enquêteurs d’avoir abusé de vingt-quatre personnes, dont un enfant de quatre ans.Des agissements suspects à la clinique Saint-Vincent de Besançon, en France, ont pu entraîner des arrêts cardiaques mortels dans certains cas, et dans d’autres cas, des séquelles extrêmement lourdes.
Le 16 mai 2019, le médecin a été provocateur devant le juge des libertés, qui a décidé de ne pas le placer en détention provisoire.A fin mai 2019, la défense estime que les enquêteurs n’ont apporté aucune preuve directement attribuable à cet anesthésiste qui pourrait permettre d’établir un lien entre ces embolies et ce professionnel de santé.
Dès le 30 septembre 2021, il entend mettre fin à ses jours en se défenestrant depuis le premier étage de la maison de ses parents près de Poitiers, où il se trouve depuis qu’il a été expulsé du Doubs par la justice. Son pronostic le plus important a pris du temps.
Cependant, une enquête est en cours sur d’éventuelles séquelles neurologiques du traumatisme crânien6. Le 5 octobre 2021, nos confrères de BFMTV révélaient que l’anesthésiste Frédéric Péchier, mis en examen dans l’affaire des détournements de fonds de l’hôpital de Besançon, avait tenté de se suicider.
C’est une situation terrible. Frédéric Péchier était mis en examen en 2019 pour 24 sorties de patients prévues entre 2008 et fin 2016.Neuf des victimes sont décédées. Concrètement, il lui est reproché de “polluer les ports de perfusion” de ces patients, comme le pointaient nos confrères du Point le 5 octobre 2021. Les victimes, âgées de 4 à 80 ans, lui auraient servi de cobayes pour démontrer sa capacités de réanimateur après avoir délibérément causé des arrêts cardiaques en eux.
Après avoir connu des conflits avec ses collègues, il a peut-être mis en place ce système. Le 5 octobre 2021, nos confrères de BFMTV révélaient que Frédéric Péchier avait tenté de mettre fin à ses jours dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre.
L’anesthésiste sera éloigné du domicile de ses parents, où il vit depuis le début de sa visite médicale et de sa garde à vue. Après sa tentative de suicide, un de ses avocats s’est confié sur son état de santé. Un homme de 49 ans aurait une dizaine de fractures et de nombreux hématomes.
Depuis le début de l’enquête, Frédéric Péchier est dans un profond désespoir. « Cela fait cinq ans qu’il a perdu son emploi et a été privé de son indépendance professionnelle et financière ; maintenant, il veut lui rendre service. Il n’en voit pas la fin » Selon les mots de Me Randall Schwerdorffer, «
Un père de famille qui prétend être innocent.Les deux autres avocats de l’anesthésiste, Me Jean-Yves Le Borgne et Me Lionel Béthune, se sont exprimés dans un communiqué relayé par nos confrères.
Ils ont rappelé que l’anesthésiste est le patriarche de la famille. Lors de son examen, il a été isolé non seulement de son lieu de travail, mais aussi de son domicile : « Accusé pendant des années d’homicides sur des patients, il n’a cessé de clamer son innocence et même de pointer du doigt l’impossibilité de certains des actes qui lui sont reprochés. .
Lorsqu’il a fait l’objet d’une enquête pénale, on l’a vu s’immiscer dans son travail, quitter la région où il habitait et être séparé de sa famille. L’espoir s’était estompé en raison du passage du temps et des erreurs de procédure.
Cela faisait plus de deux ans qu’il n’avait pas été entendu par la justice.” Le procureur de la République Frédéric Péchier a rendu mercredi 6 octobre un rapport sur l’état d’avancement de l’enquête.
“Je suis conscient du temps anormalement long mis par la justice dans cette affaire, mais cette affaire est tellement complexe que le temps pris par la justice ne peut plus être accéléré”, a déclaré le procureur, selon France 3 Régions, le même jour. .
A noter également : Décès de Magali Blandin : le rôle crucial qu’auraient joué ses parents biologiques dans sa mort Deux sœurs, deux frères, et un ami de la famille du clan Tribout, un ex-petit ami, siègent tous sur le banc des accusés.
Faiza Hassouni a été tuée par son jeune frère, Frédéric Tribout, à Dugny, en France, quatre ans plus tôt. Le jeudi 30 juin 2017, la famille Tribout a été reconnue coupable de son meurtre au palais de justice de Seine-Saint-Denis (Seine Saint-Denis).Lydia, 45 ans, Isabelle, 47 ans et David, 44 ans, sont accusés d’avoir.
