Acteur Remi Sans Famille – Dernière modification lundi 31 octobre 2021 à 20h30 Le roman Rémi sans famille d’Hector Malot a été publié pour la première fois en 1878, et la version cinématographique de 2018 est basée sur ce roman. Aux côtés de Maleaume Paquin, le film met en vedette Daniel Auteuil, Virginie Ledoyen et Ludivine Sagnier.
Ce jeune homme, qui avait 13 ans lorsque le film est sorti pour la première fois en salles, incarne l’orphelin de Rémi dont le parcours a touché le cœur de dizaines de milliers de téléspectateurs. Un acteur clé du film est né le 9 décembre 2005.
Au début de sa carrière, Maleaume Paquin était chanteur d’opéra dans le chœur de l’Opéra de Paris. Plus tard, il est passé au cinéma commercial. L’adolescent est découvert par le directeur de casting de Rémi sans famille alors qu’il travaille sur un plateau commercial.
Ce sera son premier travail d’acteur et lui ouvrira des portes dans les industries du cinéma et de la télévision ; en 2019, il sera aux côtés de François Damiens dans Ant, et en 2020, il incarnera un jeune Fred Testot dans la série La Mante. Il a joué une grande variété de rôles qui l’ont aidé à entrer dans l’industrie cinématographique.
Le jeune Rémi, orphelin, vit de passionnantes aventures après avoir été recueilli par la gentille Madame Barberin. Il a été confié au Signor Vitalis, mystérieux musicien itinérant, après avoir été enlevé à sa mère adoptive alors qu’il avait 10 ans.
Avec lui à ses côtés, il apprendra les ficelles du métier de saltimbanque et comment gagner sa vie grâce à son chant. Son long voyage à travers la France est plein de rencontres fortuites, d’amitiés et d’entraide ; il est accompagné de son fidèle chien Capi et d’un petit singe nommé Joli-Coeur.
Les exploits du jeune Rémi, orphelin recueilli par la gentille Madame Barberin. A l’âge de dix ans, il est enlevé à sa mère adoptive et confié aux soins du Signor Vitalis, un mystérieux musicien errant. Ensemble, ils apprendront les dures réalités de la vie saltimbanque et apprendront à chanter pour du pain.
Accompagné de son fidèle chien Capi et de sa petite sœur Joli-Coeur, il part pour un long voyage à travers la France à la recherche de ses origines, rencontrant en chemin des personnes qui deviennent des amis voire des alliés.
Après le succès de ses films La traque (film épouvante) et A toute épreuve (potache comique aux critiques mitigées), Antoine Blossier tente d’aborder un nouveau registre en adaptant l’un des romans les plus connus de la littérature jeunesse. Plusieurs films ont été adaptés du roman Sans famille d’Hector Malot, publié pour la première fois en 1878 ; la plus ancienne d’entre elles remonte à 1925.
La première partie d’une adaptation télévisée française en deux parties de soixante minutes a été créée le 25 décembre 1965 et a été suivie d’une série de courts métrages d’animation japonais qui sont devenus des films cultes au pays du soleil levant et une source de divertissement pour les Français. enfants dans les années 1980.
Ainsi, la plupart des téléspectateurs connaissent déjà le penchant mélodramatique de l’histoire. Tout en restant fidèle à la structure générale de l’histoire, Antoine Blossier apporte quelques modifications à l’œuvre originale afin de fournir un récit plus actuel, concis et lisible, en mettant l’accent sur la foi en l’avenir.
À travers les yeux d’un jeune garçon (Rémi) et centré sur les thèmes universels de l’amour, de la transmission, de l’accomplissement personnel et de la construction de la communauté, il choisit de nous entraîner dans une histoire d’aventure à la fois dramatique et vivante, avec des clins d’œil clairs aux classiques de Disney et un soupçon de Harry Potter ajouté pour faire bonne mesure.
Rémi, à l’aide de plusieurs flashbacks et d’un narrateur nommé Jacques Perrin transformé en un narrateur d’une pertinence et d’une douceur difficilement mesurable, raconte le parcours de sa vie lors de la dernière nuit de son existence.
Tout, du cimetière où il a été découvert à ses retrouvailles avec sa famille en Angleterre, est méticuleusement détaillé pour créer une atmosphère honnête mais jamais confuse entre fantasme et réalité.
D’un majestueux manoir anglais digne du monde de Dickens à des excursions à travers des paysages naturels lumineux qui auraient pu être tirés d’un magazine de voyage faisant l’éloge des villes les plus pittoresques de France, les différents décors fonctionnent en harmonie pour donner un air magique même aux réalités les plus sombres.
Une distribution qui parvient à être à la fois humaine et animale (les amoureux des chiens tomberont immédiatement amoureux des yeux expressifs du Border Collie) est accompagnée d’un récit alerte et exécuté sans un seul instant de temps mort.
Daniel Auteuil est plus que convaincant ; il s’amuse visiblement à nous faire partager la vigueur et le courage de cet homme dévasté par un lourd secret qu’il espère oublier en confessant sans vergogne ses fragilités et ses faux pas dans une révélation bouleversante.
Le binôme dynamique qu’il forme avec l’angélique Maleaume Paquin à la frimousse contribue à instaurer un ton optimiste tandis que les personnages secondaires mais richement développés nourrissent l’imaginaire.
Ici sont donc réunis tous les éléments nécessaires pour transformer cette adaptation réussie d’une œuvre du patrimoine français en un conte enchanteur et épique dans le plus pur style du genre. Les exploits du jeune Rémi, orphelin recueilli par la gentille Madame Barberin. A l’âge de dix ans, il est enlevé à sa mère adoptive et confié aux soins du Signor Vitalis, un mystérieux musicien errant.
Ensemble, ils apprendront les dures réalités de la vie saltimbanque et apprendront à chanter pour du pain. Avec l’aide de son fidèle chien Capi et d’un petit oiseau nommé Joli-Cur, il entreprend un long voyage à travers la France, où il rencontre de nouvelles personnes, noue de nouvelles amitiés et découvre la vérité sur ses origines.
