
Yves Coppens Famille – Yves Coppens, paléontologue et paléoanthropologue français, professeur émérite au Muséum national d’histoire naturelle et au Collège de France, est né le août à Vannes (Morbihan) et mort le juin.
La découverte du fossile Australopithecus luther en Ethiopie en 1974, et son rôle de co-directeur de l’équipe qui l’a découvert, sont tous deux synonymes de son nom en France. Donald Johanson des États-Unis et Maurice Taieb de France Yves Coppens, né en 1934 à Vannes et mort à Paris en , a toujours été un passionné de préhistoire.
En Bretagne, il fait ses débuts de chercheur en creusant et en prospectant. En tant que l’un des co-découvreurs des origines de l’homme par Donald Johanson et Maurice, il est devenu un nom familier.
Le 24 novembre 1974, Taeb de l’Australopithecus afarensis nommé Lucy a été découvert sur les rives de la rivière Awash sur le site de Hadar en Éthiopie. Parce qu’il a été découvert dans des sols vieux d’environ 3,18 millions d’années, Lucy était le squelette fossile le plus ancien et le plus complet d’Australopithecus afarensis connu au moment de sa découverte.
Lucifer a longtemps été considérée comme le meilleur exemple d’une espèce qui a grandement contribué à la lignée humaine parce qu’elle était capable de bipédie au cours de sa vie. Grâce à la renommée de ses découvreurs, dont Yves Coppens. Il est maintenant largement admis que la branche Australopithecus afarensis n’existe pas.
La théorie de l’East Side Story avancée par Yves Coppens a également été remise en cause par les découvertes paléoanthropologiques des décennies suivantes. Il a proposé un argument convaincant selon lequel les hominines ont développé la bipédie à la suite d’une confluence de hasard et de nécessité.
Par le fait que certains hominidés auraient dû se lever pour voir plus loin dans ce cas particulier. changement climatique local provoqué par la naissance du Grand RiftAfricain.
Il s’agissait de pouvoir voir assez loin pour localiser la nourriture ou détecter à temps l’approche des prédateurs. Sur le site Hominidae.com, vous pouvez en savoir plus sur cette théorie et les raisons pour lesquelles elle a été largement discréditée.
En 1956, Yves Coppens s’inscrit au CNRS, Centre national de la recherche scientifique. Lorsqu’il quitte la Bretagne, il s’intéresse à une époque beaucoup plus ancienne et à un lieu beaucoup plus lointain, à savoir les limites du Tertiaire et du Quaternaire sous les tropiques de l’Ancien Monde.
C’est en fait en qu’il a commencé à organiser des projets d’exploration à grande échelle dans des endroits comme le Tchad, l’Éthiopie (vallée de l’Omo et bassin de l’Afar), la Tunisie, la Mauritanie, l’Indonésie et les Philippines avec l’aide de collaborateurs internationaux.
La quantité de fossiles (des centaines de tonnes) et de restes humains (près de 700) récoltés par ces campagnes est impressionnante, et l’étude qui en résultera sera tout aussi passionnante. Une hypothèse suggère que la séparation s’est produite en raison d’un changement dans l’environnement au cours des dix derniers millions d’années.
Ces trois étapes, qui remontent à des millions d’années (Coppens, ), s’enchaînent en une cyme ou une oreille, chacune servant de fondement et d’origine à celle qui la suit, tout en développant sa propre lignée dans manière originale et indépendante (Coppens, 1975).
Enfin, plus récemment, Yves Coppens a montré comment l’acquis l’a progressivement emporté sur l’inné et pourquoi, pendant 100 000 ans, l’évolution humaine s’est ralentie puis arrêtée, en fonction des vitesses différentielles d’évolution de la biologie et de la technologie.
C’est à cette époque qu’Yves Coppens entame son ascension dans les rangs du CNRS, et qu’il est finalement nommé à son poste actuel, celui de directeur adjoint du Musée de l’Homme et maître de conférences au Muséum national d’histoire naturelle.
En 1980, il est nommé directeur et professeur du Muséum, mais il n’exerce ces fonctions que trois ans avant d’être élu à la chaire de paléoanthropologie et de préhistoire du Collège de France en 1983. De nombreuses organisations nationales et internationales au sein desquelles il exerce, dirige les disciplines relevant de sa compétence.
Outre le Centre de recherches anthropologiques – Musée de l’Homme du CNRS et les Cahiers de, Yves Coppens a également dirigé un laboratoire rattaché au Centre national de la recherche scientifique. Les Travaux de Paléoanthropologie et Paléoanthropologie sont africains.Coppens a reçu le prix Edmond Hébert et le prix André C.
