Willy Atonio Rugby Poids – Quand on compare l’équipe de France à ses adversaires dans cette série, ce qui ressort c’est la jeunesse, le manque d’expérience, le poids des attaquants, les gabarits plus légers et plus courts en 3/4, et l’excellent alignement.
Il n’est pas surprenant que la France soit largement présente dans le classement des joueurs les plus lourds, les plus jeunes et les plus grands. Aucun des joueurs les plus expérimentés n’a de problème avec cela.
Les attaquants gallois et anglais sont sensiblement plus grands que les 3/4 irlandais.Grâce à cette expérience inédite, nous avons désormais une vision plus claire des forces et des faiblesses de la nouvelle équipe de France par rapport à ses concurrents.
Willy Atonio Rugby Poids : 150 kg
Interrogé dans les colonnes de Midi Olympique à quelques heures du match face aux Gallois, le Toulonnais Romain Taofifenua se confesse en avance sur la 3e journée du Tournoi des Six Nations contre le pays de Galles.
Richard Hibbard (Gloucester) a été ajouté au banc du Pays de Galles tandis que Luke Charteris a remplacé Jake Ball dans le onze de départ. C’est une autre preuve qu’ils ont l’intention de perturber notre alignement.
Il y a deux mètres et 135 kilogrammes dedans.Cela n’a jamais été un problème pour moi. Quant aux poussoirs actuels, ils sont également solides. Je comprendrai si vous sautez un peu plus bas que d’habitude le samedi. C’est quelque chose que Bernard Laporte me rappelle toujours.
Apparemment, ils s’attendent à ce que j’exerce plus de domination sur la piste en faisant un meilleur usage de mon physique. Maintenant, je vois. C’était un meurtrier. Nous nous sommes assis dans les tribunes avec mon frère cadet, Sébastien (membre clé de l’Union Bordeaux-Bègles), pour assister ensemble à chacun de ses matchs.
Je n’avais aucune raison de m’inquiéter de son bien-être. Il n’a jamais été la cible d’arrestations. La communauté du rugby tenait mon père en haute estime.
Il n’a pas l’intention de faire du mal à qui que ce soit. Il est satisfait du travail que j’ai fait jusqu’à présent cette saison. Le coach veut aussi que je m’intéresse davantage au jeu, que je me mette en danger avec le ballon, que je libère toute ma puissance au numéro 10, et que je m’offre plus.
Ayant signé à Toulon, j’étais conscient que me trouver une place serait un challenge. Mais je suis venu pour une autre raison. Pendant mon séjour à Perpignan, j’ai développé une routine. Sachant que je serais inclus dans le groupe des 23 chaque week-end, je me suis préparé à la possibilité d’être celui qui commencerait la rencontre.
J’ai été obligé de donner une claque sur les fesses.Pour la première fois de ma carrière professionnelle, je me suis entraîné à Toulon avec le préparateur physique du club, Paul Stridgeon, un Anglais.
Je me suis réveillé à 7h30 tous les matins pour commencer ma journée de travail. De plus, j’ai dû abandonner mon aliment réconfortant préféré : les féculents. Je n’ai pas mangé de pâtes, de riz ou de pain pendant environ trois mois.
J’ai perdu 12 livres. Quand j’ai commencé à l’utiliser, cela a eu un effet profond sur mon style de jeu. Je peux me déplacer plus librement sur le terrain aujourd’hui. J’ai retourné les féculents, mais je suis très prudent maintenant.
J’ai pris du poids comme tout le monde sur l’île.Oui. J’ai toujours été la personne la plus lourde et la plus grosse de la pièce. Nous y sommes habitués. C’est pire. Je l’avoue : enfant, j’étais un fainéant.
J’avais besoin d’une bonne bouffée d’énergie. Oui, je pense que oui. Mon père en est bien conscient. Bernard Laporte et Serge Blanco sont également de la partie. Oui, c’est ce que je veux dire. Bakkies Botha, Brad Thorn et d’autres.
Ils sont à la fois tranchants, puissants et agiles, ce qui en fait une formidable combinaison. Deux vrais méchants sont également sur le terrain avec eux. C’est épuisant, cela ne fait aucun doute. Bakkies Botha, cependant, n’est pas quelqu’un que je suis.
Du coup, il a des qualités qui me manquent, et inversement. Et pourtant… s’ils me donnent la chance de prouver mon agressivité et de me faire confiance, je le ferai !.En matière de rugby international, Philippe Saint-André affirme qu’il n’a pas tenu plus de quarante minutes avec Uini Atonio. Comment puis-je le savoir ? Je n’ai jamais fait partie de la rotation régulière de l’équipe de France.
Je me suis consacré à effacer toutes les appréhensions persistantes.Il y avait quatre membres de l’équipe qui a remporté le championnat du monde dimanche dernier qui avaient des pères qui s’étaient déjà fait un nom dans le rugby.
Brennan, Carbonel, Gimbert et Ntamack.Trevor, le guerrier irlandais de Toulouse, Alain, le “Carbo” toulonnais, Philippe, le redoutable Bèglais puis Parisien Rapetous, et Emile, la panthère toulousaine…
Daniel (Montpellier, ex-Toulouse), Louis (Toulon), Jules (Bordeaux-Bègles) et Romain (Toulouse), en revanche, la rejoindront.Quatre aspirants français au rugby, s’ils héritent du patronyme, hériteront de quelques prédispositions au maniement des jouets ovales, comme ils l’ont fait dimanche dernier lorsqu’ils sont devenus champions du monde à 20 ans.
“Oui, parfois pour gérer aussi”, confie Didier Retière, ancien pilier et père d’Arthur, professionnel à La Rochelle. “Directeur technique national et père d’Arthur. Ce sont généralement des enfants qui avaient un ballon de rugby dans les mains quand ils étaient plus jeunes, et qui ont définitivement participé.