
William Thay Origine – William Thay, président et fondateur du Millénaire depuis 2018, veut « doter » la France d’un programme réformateur, disruptif et entièrement tourné vers l’intérêt national. tionnel.
Gaulliste, il promet que la France ne pourra retrouver son espoir qu’en se dotant d’un regard neuf sur la façon de construire la France d’après-crise, refaisant ainsi de la génération qui l’a traversée une nouvelle race de bâtisseurs.
Pour échapper à la tragédie française et à la ronde infernale du déclin et du creux, il faut briser le cycle. A 30 ans, William Thay veut se faire un nom, alors il commence à faire des apparitions dans divers talk-shows télévisés, multiplie les tribunes de spectateurs et frappe aux portes de tous les dirigeants de droite.
Le jeune homme est le leader d’un petit groupe de réflexion appelé Le Millénaire, fondé en avril 2018 par un groupe de militants. Leur objectif affiché est « d’œuvrer à la refondation idéologique de la droite avec une vision gaulliste-réformatrice-grandeur de la France ».
Quelqu’un avait déjà atteint le centenaire, alors le groupe d’amis s’est dit fièrement : “Pourquoi ne pas atteindre le millénaire.” Celui qui aspire à être un “homme de l’ombre” puissant avec un élu de premier plan cite en modèle le très influent cardinal de Richelieu et espère, plus modestement, être candidat aux élections régionales sur la liste de Valérie Pécresse.
Cette personne est capable d’être reçue par des élus de droite grâce à ses qualités relationnelles.Le jeune homme fournit des analyses de sondages, des notes thématiques et des projets politiques aux ténors de LR et aux candidats à la présidentielle.
Le Millénaire est un groupe de réflexion indépendant dont la mission est de proposer de nouvelles politiques publiques capables de répondre aux défis d’aujourd’hui et de demain.De jeunes professionnels d’horizons variés (ENA, Polytechnique, Grandes Ecoles de Commerce, PDG, etc.) se réunissent au Millénaire pour échanger sur les enjeux d’actualité et les perspectives d’avenir en envisageant la France en 2050.
a (groupe de réflexion) en anglais américain. Certains d’entre eux reçoivent leur argent de différents départements du gouvernement de l’État. La recherche et les recommandations politiques sont le pilier du travail d’un groupe de réflexion, qui est généralement axé sur la politique publique ou l’économie.
Les personnes intéressées par une discussion non experte sur les questions de politique publique sont rassemblées autour d’une personnalité politique ou d’un parti politique.En 2012, il y avait 6 603 think tanks enregistrés dans le monde, contre 6 480 en 2010.
De la fin des années 1960 au tournant du millénaire, le nombre de nouveaux think tanks a explosé. Près de cent cinquante nouveaux think tanks ont été créés chaque année dans le monde à leur apogée entre 1996 et 1998.
Depuis lors, leur croissance rapide s’est ralentie aux États-Unis 5 mais s’est accélérée en France, où ils sont également devenus de plus en plus influents dans la prise de décision politique. .
Les États-Unis comptent de loin le plus grand nombre de think tanks, suivis de la Chine 7.Le but premier d’un groupe de réflexion n’est pas seulement de mener des recherches. Afin de répondre aux “besoins et restrictions du domaine politique”, ils visent à modifier les croyances existantes.
Les groupes de réflexion assument une grande variété de responsabilités importantes. Ils font une différence dans la société en comblant le fossé entre le milieu universitaire et la politique et en appliquant des normes académiques rigoureuses à l’examen de sujets urgents.
Selon James McGann, directeur du programme Think Tanks and Civil Societies à l’Université de Pennsylvanie et éditeur du classement mondial des think tanks, lorsqu’il s’agit de “fixer des agendas politiques et de jeter des ponts entre le savoir et le pouvoir”, les think tanks sont indispensables. .
Les groupes de réflexion contribuent à façonner les politiques publiques de cinq manières, selon Richard N. Haass .Lorsqu’il s’agit de plaider en faveur d’un changement dans la société, la Fabian Society, créée à Londres en 1884, a la plus longue expérience en tant que groupe de réflexion.
L’Institut économique de Kiel (Allemagne, 1914) et l’Institut de recherche gouvernementale (rebaptisé plus tard Brookings Institution) ont suivi en 1910 et 1921, respectivement (1916). Deux groupes de réflexion sur les relations internationales, Chatham House (1920) et le Council on Foreign Relations (1921), ont été fondés après la Première Guerre mondiale.
De nombreux groupes de réflexion importants, tels que l’American Enterprise Institute (1943), la Rand Corporation (1946), la Société du Mont-Pèlerin (1947), l’Institut des affaires économiques (1955) et l’Institut Hudson (1961), ont émergé pendant et immédiatement après La Seconde Guerre mondiale. De plus, entre 1945 et 1975, 19 nouveaux think tanks sur 40 ont vu le jour en Allemagne.
Depuis 1973, les groupes de réflexion liés à Ronald Reagan et Margaret Thatcher ont pris de l’importance dans les pays anglo-saxons. Des institutions comme la Heritage Foundation, le Cato Institute et l’Adam Smith Institute (fondé « pour défier les notions keynésiennes » 20) n’en sont que quelques exemples.Les think tanks vont, en quelque sorte, refléter et intensifier les clivages idéologiques croissants dans ces nations. En conséquence, des groupes de réflexion plus libéraux comme.
