Veronique Queffelec – Les secteurs périphériques tels que la santé, l’environnement, la sécurité, la finance, les technologies de pointe et les médias sont des cibles privilégiées pour les stratégies de lobbying et d’influence. Le framework INFLUENCE, en ligne et hors ligne. * L’intelligence économique implique la cartographie du paysage politique, économique, social et concurrentiel d’une région.
Conseils auprès d’organismes publics, de syndicats, d’associations professionnelles et d’entreprises successivement dans de nombreux pays, notamment l’Inde et le sous-continent indien. * Elaboration et suivi d’un conseil stratégique (domaine politique ou économique). Les différences de culture, qu’elles soient bilatérales ou multilatérales, sont analysées et clarifiées.
Tables rondes, colloques, conventions internationales sont autant de choses qui peuvent être organisées par ce groupe. Pour être précis, il y aura six débats économiques télévisés pour la présidence du Sénat. Compétences Lobbying Affaires publiques Intelligence économique (en collaboration avec FILTERIS) Un plan d’influence, avec un accent sur les plateformes en ligne et les médias sociaux.
La capacité de négocier, de communiquer efficacement au sein des institutions et de la politique, de gérer les crises, d’arbitrer les différends et d’organiser des conférences internationales est essentielle.
INTERVENTIONS Auprès ou pour des Etats, Organismes Publics, Organisations Internationales, Syndicats, Associations Professionnelles, Entreprises Publiques ou Privées, France, Europe, Sous-Continent Indien, ou Africains.
Relations diplomatiques entre l’Inde et l’Europe Administrateurs d’EUROMAX CAPITAL Implantés en Inde, en Afrique, aux Emirats Arabes Unis et en Grande-Bretagne ; enregistré auprès de la Financial Conduct Authority (FCA ; régulateur britannique des services financiers) à Londres du 15 septembre 2014 au 15 février 2016. Le seul administrateur non indien est VQ. VQ est la seule femme responsable.
Excusez-moi, mais je discute actuellement en ligne avec des personnes aux États-Unis. Dès que ce n’est pas avec les États-Unis, c’est avec l’Inde, Berlin ou Bruxelles. Dans tous les sens du terme, Véronique Queffélec est une personne virtuelle. Internet, téléphone. Elle passe la plupart de son temps soit au téléphone soit devant son ordinateur.
LinkedIn est un service en ligne qui stocke ses coordonnées et lui permet d’organiser ses nombreux réseaux . Elle y a enregistré 892 contacts. C’est une occasion rare de voir quelque chose comme ça dans la chair, face à face.
Parfois, elle parvient à se libérer de la prison virtuelle où l’interaction humaine et les méthodes de communication conventionnelles ont été remplacées par des humanoïdes, mais seulement parfois.
Il est clair à première vue que les cheveux de feu et les yeux émeraude de cette femme sont le reflet de son héritage celtique. Breton, avec toutes les vertus et tous les défauts de cette communauté unique : bravoure, détermination, obstination et penchant pour les horizons lointains.
Elle aime dire ce qu’elle pense, mais son travail l’oblige à se taire. Elle se considère comme une figure influente qui a opéré en arrière-plan mais qui mérite d’être sous les feux de la rampe. Amanda Sthers, écrivain et étourdissante tout comme sa mère, est sa fille. Elle et son mari, Patrick Bruel, ont deux enfants.
C’est incroyable de penser que la femme vive en face de moi est déjà grand-mère, et qu’elle travaille dans un métier appelé “lobbying”, qui, comme elle le dit, “existe sous différentes formes et d’autres noms depuis la nuit des temps”.
Sous le règne de Louis XIV, les courtisans du château de Versailles usent de leurs infâmes talents de persuasion pour obtenir de leurs créanciers tout ce qu’ils veulent en plaidant leur cause, en présence du Roi, auprès des puissants du moment. Le terme lobbying est originaire des États-Unis, où il signifiait simplement parcourir les couloirs pour rencontrer des législateurs et d’autres décideurs.
Il est courant en France d’employer des intermédiaires dans les situations où une entreprise, une région, voire un État, a besoin d’aide pour mener à bien un projet ou parer à un verdict défavorable.
Comment êtes-vous devenu un lobbyiste de premier plan en France ? En fait, j’ai inventé ce terme en France pour la toute première fois. Pendant mon séjour en France, j’ai fait les bases d’une carrière respectable. En 1986, j’ai fait mes débuts.
Titulaire de trois diplômes universitaires supérieurs (DEA de droit public, Certificat de droit de l’environnement et DEA de sciences politiques), je connais bien les rouages de l’appareil politique et administratif. Pendant mes études de droit, j’ai effectué un stage d’un an au Conseil d’État et à la Cour de cassation auprès d’un avocat.
Les fonctions d’un avocat peuvent également inclure le lobbying. Au lieu d’argumenter ou de plaider en justice, vous devez le faire devant diverses autorités publiques, dont des décideurs politiques et administratifs.
Ça ressemble à une sorte d’influence qui s’accroupit à moi. Faux, pas du tout. Pour la simple raison qu’influencer n’est pas la même chose que colporter de l’influence. C’est un crime qui est défini en détail tout au long de la loi pénale et qui a des conséquences juridiques.
Les réseaux d’influence existent lorsque des individus ou des organisations ayant une autorité publique, une responsabilité de service public ou un mandat public sont connectés les uns aux autres.
On est loin du lobbying étant donné que toute forme d’échange se traduit par des dons . A la demande d’entreprises, de groupements professionnels et d’administrations, je forme et convertis les décideurs en France et dans le monde.
Je suis chargé de les informer des inconvénients potentiels (juridiques, sociaux, économiques et techniques) et des avantages (le cas échéant) d’une certaine ligne de conduite, perspective ou position. L’influence est le bon terme pour cela.
