Sandrine Leclere – Ce n’est un secret pour personne qu’elle a longtemps été la voix de l’édition Sud de France 3 Poitou-Charentes à la télévision. Malheureusement, Sandrine Leclère est décédée. Au moment de sa mort, elle avait 49 ans.
Les téléspectateurs de France 3 Poitou-Charentes le connaissent et l’aiment depuis des années. Sandrine Leclère est décédée lundi soir “après des mois de dur combat contre la maladie”, indique la chaîne publique, visiblement profondément affectée par cette disparition.
Notre collègue était une femme de 49 ans. Rédactrice en chef de l’édition de Limoges et de l’édition bordelaise, elle avait incarné l’édition méridionale française. Ancienne professionnelle de la communication, Sandrine Leclère a découvert sa passion pour le journalisme au début des années 2000.
Elle a animé une chronique sur les sites locaux dans l’édition de mi-journée du journal Limousin Poitou-Charentes. Depuis ce matin, notre amie et collègue Sandrine Leclère avait succombé à la maladie après un long et épuisant combat.
Son édition du midi pour France 3 Poitou-Charentes s’était incarnée pendant des années avant qu’elle ne devienne rédactrice en chef des éditions de Limoges et Bordeaux. C’est un dimanche du printemps de l’année.
Poitiers est recouvert de neige. La rédaction de France 3 Poitou-Charentes, alors basée dans le quartier des Couronneries, a été surprise en arrivant de trouver le quartier recouvert de blanc.
Assise à son bureau, Sandrine Leclère s’écrie : “Et si on terminait le journal dehors sous la neige. Lorsqu’une partie du personnel fait une pause à la machine à café, l’excitation de Sandrine incite les autres à s’impliquer.
Un rédacteur en chef de Poitiers dit que “tout le monde a participé”, rappelant comment “tout le monde a participé”. Sur le parking, nous avons improvisé un set en faisant rentrer tous les fils, fibre et son, de la scène.
Utilisant le matériel mis à leur disposition et surtout dans le but de permettre aux lecteurs de vivre ce bref moment de joie : une légère couche de neige tombée plus tôt dans la matinée, Sandrine et son micro se sont mis en route pour faire le journal ce jour-là.
La rédaction de Limoges, où Sandrine occupait à l’époque le poste de rédactrice en chef, rappelle que “nous avons aimé travailler avec elle et l’avons fait dans un esprit agréable”. C’était une travailleuse infatigable qui ne se lassait jamais de faire ce qu’elle aimait.
L’équité, la force et la volonté d’aider les autres ont fait d’elle une excellente collègue de travail. Sandrine a débuté sa carrière dans le journalisme au début des années 2000 après avoir travaillé dans l’industrie de la communication.
Lorsqu’elle tient une chronique dans l’édition de midi de l’édition Limousin-Poitou-Charentes, elle privilégie les sites régionaux. C’était le poste idéal pour elle car elle avait un diplôme de webmaster et voulait travailler dans le journalisme, se souvient Fabrice Bidault, aujourd’hui rédacteur en chef adjoint à Limoges.
C’étaient les moments où elle exprimait déjà tout ce qu’elle était : son zèle et sa conviction ainsi que son extraordinaire capacité à faire éclater l’écran et à captiver l’attention. Sandrine a ensuite suivi une formation de journaliste.
Avant de devenir journaliste, elle a travaillé comme photojournaliste et rédactrice pour un magazine. Elle arpente le Poitou-Charentes appareil photo ou stylo à la main, devenant la présentatrice du journal de l’heure du midi de Poitiers.
En tant que rédactrice en chef adjointe de Poitiers, Patricia Périn construit avec elle un module de reportage centré sur la découverte d’un petit village de la région : la Route Bis. Comme le rappelle Patricia Périn, “elle en était émerveillée”.
Mes amis et moi avons fait un voyage dans une ville. Nous y sommes allés avec beaucoup de courage, espérant rencontrer de nouvelles personnes. “Elle était dans la vie comme dans Route Bis : pleine d’énergie et bienveillante”, raconte Sandrine Papin, présentatrice du journal régional à Bordeaux.
Rencontrer de nouvelles personnes et écouter leurs expériences était ce qu’elle aimait le plus dans la vie. Des rires honnêtes peuvent être entendus de temps en temps. Après des heures aussi. L’émotion était vive parmi les enquêteurs lorsqu’il a été porté disparu tôt ce matin.
Le rédacteur en chef adjoint à Limoges, Eric Muller, se souvient avec émotion de son passage à Brive, quand lui et ses collègues « faisaient des balades en autos tamponneuses » après une longue journée de travail (dans un carnaval).
Sandrine était la seule à pouvoir le faire ! Mon humeur est morose aujourd’hui. Peu de temps après, Sandrine rencontre Séverine Labenère, la maquilleuse des journaux télévisés de l’antenne de France 3 à Poitiers.
Elle était nouvelle sur France 3 quand je l’ai rencontrée pour la première fois. Elle travaillait pour une publication culturelle. L’intégrité était son objectif. Dès qu’elle l’a eue (en décembre 2007), nous l’avons tous célébrée.
N’est-ce pas ce qu’elle voulait ? Lorsqu’il s’agissait de prendre des décisions, elle était sujette à l’incertitude. Et c’est ainsi que le matin, Sandrine Leclère était prête à conquérir le monde. C’était l’habitude de Sandrine de nous demander, le sourire aux lèvres : « Comment allez-vous ?