Saber Desfarges – Le mardi 22 novembre à 20h30 heure locale, l’équipe nationale française affrontera l’équipe nationale australienne lors de son premier match de la Coupe du monde de football 2022 au Qatar.
C’est environ 250 milles ou 400 kilomètres. En d’autres termes, Saber Desfarges a parcouru cette route de nombreuses fois auparavant. Il a reçu une grande partie de son éducation, y compris une licence de gestion, dans sa ville natale d’Auvergne. Quelques années plus tard, en 2012, je suis revenu à Paris. Avant de terminer ses études à l’INA, il décide de s’inscrire dans une école privée de journalisme (l’IEJ).
Après dix ans passés dans la capitale française, Saber Desfarges a été embauché par TF1 pour couvrir les matchs de l’équipe de France en tant que nouvel homme du réseau sur le terrain. Il a également intégré la rédaction de Téléfoot, la dominicale.
un nom bien connu de lui. En effet, le Clermontois faisait partie des nombreux journalistes embauchés par la chaîne du même nom, que Mediapro a lancée à l’été 2020 après que le conglomérat de médias espagnol a obtenu les droits de diffusion des matchs de Ligue 1. Une ligne supplémentaire sur son CV bien arrondi.
Il est la prochaine grande vedette du journalisme sportif. TF1. Lorsque Frédéric Calenge a été promu, laissant le poste de commentateur de terrain ouvert, Saber Desfarges a été recruté juste à temps pour la Coupe du monde 2022. Le voyage là-bas a commencé dans la chaîne de magasins Telefootbut, propriété de RMC, où le journaliste de 33 ans a couru avec Mohamed Bouhafsi. Ce n’était pas une relation facile.
Le numéro de L’Equipe de ce week-end est consacré au Clermontois Saber Ferrand, que l’écrivain décrit comme “talentueux, motivé, mais un peu trop sûr de lui au goût de certains”. La presse affirme également que Desfarges “n’a pas toujours respecté les processus mis en place par sa hiérarchie”.
Pour illustrer son propos, il se réfère à la citation désormais célèbre attribuée à Mohamed Bouhafsi, le journaliste de RMC qui a supervisé l’équipe de football. Il a été confirmé par François Pesenti, l’ancien directeur général de RMC Sporta, que les deux personnages principaux ont passé une pause hivernale amicale.
Dans son récit, François Pesenti fait référence aux connaissances acquises par Saber Desfarges et ses activités avec Mohamed Bouhafsi. Cependant, Saber ne l’avait pas toujours prévenu. Que ses données soient volées était une préoccupation majeure pour lui. L’ancien manager minimise cette approche en disant, “à l’époque, il y avait une grande nécessité sur l’info, et donc une grande course en interne pour l’obtenir”.
Saber Desfarges, selon le compte de l’Equipe, a été accusé d’avoir “publié ses scoops sur son compte Twitter avant celui de la rédaction”. Selon Pesenti, il existe maintenant une meilleure façon de faire les choses. Dès lors, tout appartient à l’histoire, et Saber Desfarges a continué.
David Astorga, désormais disponible sur Prime Video, manquera beaucoup aux puristes de la nostalgie. D’autres se souviendront de Frédéric Calenge, l’homme de terrain de TF1 depuis 2010. Les postes du PAF ne sont cependant pas pourvus en permanence, comme c’est le cas sur l’ensemble des chaînes du réseau.
Depuis le début de la Coupe du monde au Qatar, TF1, la chaîne française qui diffuse les matchs de l’équipe nationale, a un journaliste nommé Saber Desfarges posté près de la touche pour fournir des commentaires en couleur. Le natif de Clermont s’est imposé aux côtés de l’illustre combo de Grégoire Margotton et Bixente Lizarazu.
Après avoir terminé ses études dans le Puy-de-Dôme, il s’installe à Paris en 2012 pour s’inscrire dans une école de journalisme et finalement rejoindre les rangs des présentateurs de l’INA. En 2013, Saber Desfarges accepte une offre de scène de BFM TV et l’explique ainsi à Ouest-France : « Une centaine de retweets avaient déjà été faits. Mais je suis optimiste de nature, alors j’ai mis mon nom dans le chapeau. “
De plus, vous aimerez peut-être lire : Moqué pour ses dents, ce fan marocain de la Coupe du monde 2022 a toutes les raisons d’afficher un tout nouveau sourire. Il saisit bien cette opportunité puisqu’il envisage d’entrer dans le monde éditorial et d’occuper divers postes avant d’être embauché en 2016 par la rédaction de RMC Sport/BFM TV. Ensuite, Desfarges discute de l’Euro 2016, en le reliant aux Jeux Olympiques de Rio 2016.
Le journaliste, aujourd’hui âgé de 33 ans, s’apprête à relever un nouveau défi en 2020. C’est alors qu’il décide de rejoindre Mediapro, le réseau défaillant qui deviendra finalement sa nouvelle maison. Il travaillait pour Prime Video depuis le début de la saison précédente.
Pourtant, il ne se pose pas beaucoup de questions lorsque TF1 le contacte pour venir en aide aux équipes de Téléfoot. David Astorga est l’homme qu’il rencontre ensuite, et il grille l’ancien agent de terrain du réseau. Mais j’ai réussi à lui poser une question sur sa carrière et son parcours. J’ai fait de mon mieux pour bien jouer, mais Je doute qu’il s’en souvienne maintenant.”
Une fois arrivé à TF1, la chaîne lui propose le poste de reporter couvrant les matchs des Bleus en marge, alors que ce rôle n’a pas été évoqué lors des négociations contractuelles. Une tâche qu’il accepte volontiers, c’est pourquoi le tournoi a débuté par un match contre l’Australie.